Maroc flag l'Ambassade du Maroc en Riyad

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» Puis-je visiter Maroc sans visa?

Commentaires au sujet de cette l'Ambassade

fadila199599@yahoo.fr
Mon, 21 Jan 2013 07:33 EST
goo to ombassy du maroc iss give to your eneuformain goode for your fadila
حصلت اختي على عقد عمل من شخص ع.م بن م بن ف ال كل شي مر على احسن ما يرام العمل كان كخادمة لمجرد وصولها 5 ساعات فقط اتصلت تريد العودة ولعودتها طلبوا منا مبلغ 3 المليون سنتيم مغربية والا تيضعونها في السجن... لجهلنا بالقوانين لا نعرف مادا نفعل سفرها كان يوم29/06/2011 واتصال بنت مشغلها يوم 30/06/2011 المرجوا المساعدة العاجلة لان ما نقروه في الدرايد والنيت عن عقود العمل المزيفة والتي تكون لغرض غير شريف يدعو فعلا لشك والتخوف من الاتصال العاجل ولا مبرر للعودة باسرع ما يمكن
------------------------الوثائق الازمة
انا شابه مغربية ةخطيبي مصري مقيم بالسعودية المرجو اعلامي بالوثائق الازمة لاتمام زواجنا من جهتي وجهته مع العلم ان له زوجة اولى مقيمه ببلده وشكرا
المرجو امدادي بهذه المعلومات في اقرب وقت
fadila199599@yahoo.fr-
daiz rabat maroc
Sun, 6 Jan 2013 20:06 EST
abhato aan akhi daiz mohamed
jaa ila ardi almamlaka alaarabya assaaoudya sanat 1995 yaamalo gabbasan amroho alan 46 sana almarjo alittisal bi alhatif attali 0671700182 chokran jazilan
fatima ajaiout maroc
Sun, 6 Jan 2013 19:41 EST
abhato aan ibni daiz mohamed
ibni safara ila assaaodya mondo 1995 aokdat aamal gabbas ismoho daiz mohamed almarjo mosaadati wa chokran
Ali
Sat, 1 Dec 2012 11:24 EST
Salam alaykom wa rahmatollah

Y a til des chleuhs à al khobar ?????

anaya fil janoubya...si ya des personnes qui veulent former un groupe inshallah mrhba bikom
Chabbaki moujib
Fri, 19 Oct 2012 19:27 EDT
Pour les femme marocaine
Je voulais parlais dans ce nouveau sujet d'un sujet choquant , et tabou : les exclaves sexuelles marocaine au golfe



Parties travailler dans les pays du Golfe comme coiffeuses ou hôtesses, des milliers de Marocaines se retrouvent séquestrées, battues et forcées à se prostituer. Cherchant à s’évader, certaines sont emprisonnées ou même assassinées ! Et le Maroc se tait, au nom de “considérations diplomatiques”. Il est temps de briser cette scandaleuse omerta.


La scène se passe dans la capitale d'un riche pays du Golfe. Une fille en chemise de nuit entre en courant dans l'ambassade du Maroc. En pleurs, elle demande aux fonctionnaires de la rapatrier illico presto à
Casablanca. “Faites vite, je vous en supplie ! Sinon, ils viendront me chercher pour me ramener de force au cabaret !”, crie-t-elle. Visiblement, la fille a peur. Elle n'arrête pas de se retourner pour vérifier si on ne l'a pas suivie. Les fonctionnaires de l'ambassade lui demandent son passeport. “Je ne l'ai pas sur moi. Mon patron l'a confisqué depuis mon arrivée ici”, répond-elle. Les employés de l'ambassade finissent par accéder à sa demande et entreprennent la préparation du laissez-passer qui lui permettra de regagner le Maroc…

Prostitution forcée
L'histoire de cette jeune fille de l'ambassade, toute récente, n'est pas un fait divers exceptionnel, ni un cas isolé. Elle ressemble à celles de centaines de Marocaines qui partent travailler en tant que gouvernantes, coiffeuses ou hôtesses dans les pays du Golfe, pour se retrouver otages de réseaux de trafic humain. Séquestrées, souvent maltraitées, elles sont forcées à exercer dans les milieux de la nuit et, étape suivante, à se prostituer. “J'ai commis l'erreur de ma vie en les laissant partir. Ce qui me console, c'est que j'ai pu les sauver avant qu'elles ne se retrouvent dans le circuit de la prostitution”, hoquette Ahmed, la cinquantaine bien entamée, en racontant l'histoire de ses deux filles de 23 et 25 ans. Les deux ont été séquestrées de longues semaines en Jordanie, après avoir refusé de “danser et de coucher avec les clients” de l'hôtel cinq étoiles où elles étaient censées travailler comme hôtesses d'accueil. “Depuis leur retour, elles refusent de parler de ce qui leur est arrivé. Le sujet est devenu tabou à la maison”, souffle-t-il avec des yeux embués.

Depuis des années, ce sujet dont on ne parle qu'à mots couverts est en train de prendre pourtant une ampleur sans précédent, sans que les Etats (marocain compris) ne daignent s'y attaquer ouvertement. De nombreuses personnes sont ainsi sacrifiées sur l'autel des relations diplomatiques, des enjeux économiques ou tout simplement pour sauvegarder “l'honneur national”, piqué au vif chaque fois que le mot “Marocaine” est prononcé dans l'une de ces pétro-monarchies. Dans l'imaginaire moyen-oriental, comme cela nous a été plusieurs fois confirmé par des témoins, une Marocaine est vue au pire comme “une prostituée”, au mieux comme “une voleuse de maris ou une sorcière”.

Derrière ce stéréotype se cachent en fait de véritables drames. Sous couvert d'anonymat, un haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur jordanien parle de plus de 30 000 filles marocaines vivant en Jordanie, travaillant dans diverses activités. Le chiffre paraît assez excessif, pour un pays qui ne compte que 5,3 millions d'habitants. Et il est en tout cas vivement contesté par le Maroc. “Ces chiffres fantaisistes sont le résultat d'une guerre entre réseaux. Il existe en tout et pour tout 141 filles marocaines inscrites comme artistes”, tonne un responsable au consulat marocain à Amman. En Jordanie, le mot “artiste” est une appellation fourre-tout, sous laquelle s'inscrivent toutes les travailleuses de la nuit (barmaids, danseuses, chanteuses…). Quand elles atterrissent en terre jordanienne, les jeunes femmes sont tenues de s'inscrire auprès du syndicat des artistes qui leur délivre “une autorisation d'exercer”. Mais le plus souvent, cette carte sert de couverture à d'autres activités nocturnes.

Il reste cependant difficile d'établir un recensement fiable des Marocaines installés en Jordanie, en raison des réseaux d'immigration clandestine. “Durant les cinq dernières années, des milliers de Marocaines sont entrées en Jordanie, en tant que touristes, en provenance d'autres pays du Golfe, particulièrement les Emirats Arabes Unis”, affirment des sources sécuritaires jordaniennes. Cela montre bien que les réseaux de prostitution sont devenus transnationaux dans cette région du globe : il est courant que les réseaux de prostitution déplacent leurs “protégées” dans un pays voisin ou les revendent à une filière locale.

Résultat : les calculs sont brouillés. Exemple : pendant la guerre au Liban, l'été dernier, les autorités marocaines croyaient avoir rapatrié tous les Marocains. Mais à la fin des hostilités, surprise : quatre cents Marocaines sont subitement apparues dans les rues libanaises. Elles n'étaient répertoriées par aucun service d'immigration ni par aucun consulat ou ambassade.

La loi du silence
Ce qui est sûr en revanche, c'est que les responsables marocains entrent dans une colère noire dès qu'on effleure le sujet sensible de la traite des Marocaines. C'est que le phénomène recèle des enjeux financiers qui les dépassent. Pour alimenter la machine touristique, qui tourne à plein régime grâce à la demande des nababs arabes, les opérateurs touristiques du Golfe recrutent des filles étrangères à tour de bras : Européennes de l'Est, Maghrébines, Egyptiennes et Asiatiques. Et pour cause, la “main d'œuvre” locale ne se prête guère à de tels emplois. Une Jordanienne ou une Syrienne ne peuvent travailler dans des lieux de divertissement nocturne, de peur de perdre la vie. Dans cette contrée du monde, le crime d'honneur est toujours bien ancré dans les mœurs… et puni par la justice avec une certaine mansuétude.

Le Maroc se trouve ainsi pris entre le marteau et l'enclume. Certaines ambassades marocaines parlent ouvertement du phénomène, comme c'est le cas en Jordanie, en Syrie et au Liban, sans doute en raison de la gravité des problèmes rencontrés sur place. A contrario, au Koweït, au Bahreïn et au Qatar, les lois et les mentalités sont beaucoup plus fermées. Alors, les ambassades contactées préfèrent de loin la discrétion… Jusqu'à quand ? “Nous nous concertons avec les Jordaniens, mais sans chercher à donner un caractère officiel à nos consultations. Nous ne pouvons pas faire la police chez eux”, convient une source marocaine “bien informée” à Amman. En 2005, deux filles ont été retrouvées mortes dans des circonstances douteuses. “Les Jordaniens ont refusé de nous donner le bilan de l'autopsie. Pourtant, nous savons que l'une s'est suicidée et que l'autre aurait été tuée”, précise notre source. Pourquoi le Maroc s'est-il abstenu de communiquer officiellement ses protestations ? De peur de dévoiler une réalité qui n'arrange personne ?

En tout cas, l'omerta des Etats entretient le flou même sur les contrôles aux frontières. Officiellement, l'entrée en territoire jordanien n'est pas soumise à un visa. Mais les autorités du pays n'hésitent pas à réactiver les opérations d'expulsion et de refoulement chaque fois qu'un scandale éclate dans les médias. Aujourd'hui, toute Marocaine de moins de 40 ans ne peut désormais transiter par l'aéroport de Amman qu'en compagnie de son mari ou d'un proche, à moins qu'elle ne soit munie d'une invitation professionnelle “convaincante”. Résultat : des Marocaines invitées dans le cadre de leur profession ont fait les frais de ces procédures irrationnelles. Exemple : une journaliste du quotidien Attajdid, voilée de surcroît, a dû passer la nuit à l'aéroport de Amman en attendant une autorisation d'entrée au territoire, délivrée directement par le ministère jordanien de l'Intérieur. Une autre journaliste a subi le même sort : “Le policier m'a longuement regardée et m'a lancé sur un air provocateur : ‘C'est bien la première fois que je vois une Marocaine travaillant comme journaliste !’”, raconte-t-elle.

Lutter contre l'esclavage sexuel en verrouillant les frontières n'apparaît pas comme une solution réaliste et viable. D'autant que les Marocaines qui émigrent dans un pays au Golfe ne sont pas toutes des victimes de réseaux de trafic humain ou d'esclavage sexuel. Une grande partie d'entre elles a choisi d'y aller chercher fortune, chacune à sa manière (voir encadré).

C'est pour cette raison que les agents consulaires ne se font pas d'illusions. “Le problème doit être résolu au Maroc d'abord. Les autorités doivent enquêter sur toute jeune fille qui désire se rendre dans un pays du Golfe. Les contrats de travail doivent être validés par le ministère de l'Emploi et les services consulaires”, tempête un responsable de l'ambassade du Maroc en Syrie. Pour autant, une telle solution est difficilement envisageable pour deux raisons. D'abord, aucun visa n'est exigé pour se rendre au pays de Bachar Al Assad et les filles y voyagent en tant que touristes. De quel droit les autorités marocaines les empêcheraient-elles de voyager ? Ensuite, enquêter sur toutes celles qui veulent se rendre dans un pays du Golfe ne résoudra rien. En raison du durcissement des contrôles dans les vols à destination de certains pays (Arabie saoudite, Emirats Arabes Unis, Koweït, Bahreïn et Qatar), les filles transitent actuellement par trois escales où le visa n'est pas requis : la Tunisie, la Turquie et la Syrie. Une fois sur place, leurs “tuteurs” les acheminent sans problème vers les destinations finales. Certaines filles poussent l'astuce jusqu'à aller en Thaïlande avant de rallier un pays du Proche-Orient. Comment, dans ces conditions, cerner les chemins labyrinthiques des réseaux du charme monnayé ? “Ma curiosité s'éveille dès que je vois une fille seule qui ne sait pas comment s'installer dans un fauteuil d'avion”, glisse le sociologue Abdelfettah Ezzine.

Pour 4000 DH par mois
Malgré les sérieux tours de vis dans les aéroports des pays d'accueil, le phénomène continue à prendre de l'ampleur. Chaque jour, l'ambassade marocaine en Syrie reçoit une moyenne de trois Marocaines cherchant secours. L'année dernière, l'ambassade a adressé une missive virulente à Rabat, demandant une intervention urgente du gouvernement pour stopper le flux des Marocaines “artistes”, dont le nombre avoisine les 2000 rien qu'à Damas. Son ras-le-bol a atteint un tel degré qu'elle est allées jusqu'à dénoncer de possibles complicités dans l'appareil sécuritaire syrien.

À la base, explique l'expert en migrations, Mohamed Khachani, le problème réside dans l'institution du kafil (le tuteur). Aucun étranger ne peut résider dans les pays du Golfe sans un tuteur censé “le protéger”. Or, des kafils peu scrupuleux n'hésitent pas à exploiter leurs protégées dans d'autres métiers que ceux mentionnés sur un éventuel contrat de travail. Ils leur retirent leurs passeports et leurs billets de retour, les mettant devant le fait accompli. “J'ai tenté de me suicider quand on m'a demandé de me mettre en petite tenue et de descendre servir les clients du bar. Je pleurais tout le temps et je refusais de manger. Au bout de 28 jours, ils étaient contraints de me laisser rentrer au pays”, raconte Khadija, originaire de Tadla, qui a passé 28 jours en Syrie.
En cas de résistance, les filles sont battues et privées de leur maigre rétribution. “Une fois, j'ai refusé d'accompagner un vieil homme. Il m'a tirée par les cheveux et m'a presque violée. Non seulement je n'ai pas été payée, mais mon tuteur m'a enfermé edans ma chambre pendant deux jours sans nourriture”, se rappelle Saïda, une autre victime de la filière syrienne.
Constamment escortées par des garde-chiourmes les rares fois où elles sortent en ville pour faire leurs emplettes, quelques filles arrivent à leur fausser compagnie pour aller demander de l'aide. Mais elles ne sont pas nombreuses. “Leurs proxénètes leur font croire qu'elles vont être mises en prison si elles s'adressent à leurs consulats”, affirme une source diplomatique. Elles se résignent alors, en attendant qu'un hypothétique soupirant vienne les épouser et les délivrer de l'esclavage sexuel. Les fugueuses, quand elles sont rattrapées par la police, sont aussitôt mises en détention, en attendant de les remettre à leur tuteur. Car sortir sans la permission du kafil est, en effet, considéré comme un délit. “À cause d'une tentative d'évasion ratée, mes filles sont restées en prison à Amman pendant 18 jours. Là-bas, elles ont rencontré des Marocaines qui croupissaient dans les geôles depuis des mois”, raconte leur père Mustapha.

L'inadéquation des lois entre le Maroc et les pays du Golfe est en effet le véritable problème derrière le développement de la traite. Mais les acteurs associatifs conviennent qu'il faut combattre les réseaux à la base, en amont, c'est-à-dire au Maroc. Selon un magistrat, les mafias au Maroc sont pilotées par des Jordaniens, des Irakiens et des Syriens. Avec, systématiquement, la complicité d'une Marocaine qui sert d'intermédiaire avec les filles convoitées. Leurs terrains de chasse sont classiques : salons de coiffure, hammams, cafés ou soirées privées. Recrutées dans les milieux modestes et les campagnes, ces filles “de troisième division”, selon l'expression d'un connaisseur du dossier, partent avec des contrats de travail pour lesquels elles ont payé entre 10 000 et 30 000 DH. Sur place, elles sont séquestrées et obligées de se prostituer pour payer leurs frais de séjour. Les salaires, annoncés dans le contrat de base, et qui sont déjà modestes (4000 DH tout au plus), sont ponctionnés d'une moitié et versés… à l'employeur !

La mobilisation des ONG
Depuis quelques mois, le milieu associatif commence à s'activer pour lever le silence sur ce drame et pousser les politiques à agir. À l'occasion des consultations menées sur le futur Conseil des MRE, trois membres du CCDH ont effectué une visite dans certains pays du Proche-Orient pour s'enquérir de l'état des Marocains du Golfe, “ces oubliés de l'histoire”, comme les qualifie Mohamed Khachani, professeur universitaire et expert en mouvements migratoires. Ce dernier a réalisé une étude pour le compte de la Fondation Hassan II, bientôt publiée, dont l'objectif est d'attirer l'attention sur cette communauté souillée par les préjugés. L'image de la “Marocaine prostituée” et du “Marocain proxénète” a entraîné des dommages collatéraux. “Ma sœur est directrice dans une multinationale à Dubaï. Une fois, elle était invitée à une réception. Rentrée chez elle, elle reçoit un coup de fil d'un des invités qui lui demande une rencontre galante. Depuis ce soir, elle ne décline plus son identité marocaine. En société, elle est devenue désormais algérienne !”, raconte, dépitée, une ressortissante marocaine installée en Europe.

Pour Mohamed Khachani, il est temps de rectifier le tir. “Cette investigation me tenait à cœur car j'ai vu combien nos concitoyennes souffrent là-bas”, dit-il. Les témoignages qu'il a pu recueillir en Libye, en Arabie Saoudite, aux Emirats Arabes Unis, au Sultanat d'Oman et en Jordanie ont abouti à un constat qui confirme celui émis par les ambassades marocaines : éviter de rejeter l'entière responsabilité sur les pays du Golfe et remédier au problème à partir du Maroc. “Il faut analyser les raisons de cette obsession qu'ont les Marocaines de quitter le pays malgré les dangers encourus”, précise le professeur.

“Nous ne sommes pas dans une logique de dénonciation, mais nous voulons sensibiliser et appeler les Marocaines à plus de vigilance”, admet le sociologue Abdelfettah Ezzine, qui a vécu pendant quatre ans dans un pays du Golfe. Un réseau international de solidarité avec les Marocaines du Golfe s'est récemment constitué en Europe. Pourquoi pas au Maroc ? “C'est plus facile de faire du lobbying à partir des vieilles démocraties”, nous a-t-on expliqué. Surtout, le Maroc peut ainsi éviter une confrontation directe avec les riches émirs qui viennent investir chez lui. Composé de personnalités et d'ONG marocaines très actives en Europe, le réseau a commencé par faire circuler une pétition demandant aux gouvernements d'assumer leurs responsabilités. Jusqu'à présent, plus de 6500 signatures ont été recueillies (www.gopetition.com). Et un rapport sera remis en juillet prochain à l'ONU. Autant dire que le scandale des Marocaines du Golfe prome
kefaoui mina 0522915881 0664268626
Mon, 15 Oct 2012 08:55 EDT
demande de visa moujamala
bonjour monsieur l'ambassade je suis une femme marocaine agée de 57 ans j'ai participer au 9or3a lhaj cinq fois et j'avait pas la hance et maintenanat je souffre de plusieur maladies et je souhaite y aller a la mecca je vous en pris de m'aider .et je demande a allah de vous donné bonne santé et tout ce que vous souhaité et merci
zouhair
Sun, 16 Sep 2012 13:11 EDT
frére disparu à makka
salam,
je viens vers vous cher fréres et chére soeur (surtout ceux qui habitent à mekka ou en arbie saoudite en général) pour m'aider à trouver mon petit frére qui n'est pas rentrer le 02/09/12 au maroc aprés une oumra avec mon pére.
il s'appelle ILOU ABDENABI agé de 29 ans et il a des problemes phsychatriques.
en fait il est parti avec mon pére pour faire oumra de ramdan mais il n'est pas rentré au maroc et il est rsté avec sa seule djelaba sur lui, sans argent ni telephone ni medicaments ni passeport. on n'a pas de nouvelles de lui et on ne sait pas quoi faire, mon pére avait déja fait une déclaration auprés de la police de mekka et moi je ne peux pas aller à makke en ce moment vu que les autorité saoudienne ne donnent que des visas hajj en ce moments.
mes soeurs,mes fréres, celui ou celle qui a eu le meme vecu, qui peut nous renseigner ou habite à mekka ou a des connaissance la bas merci de me contacter ou bien faire faire quelque chose juste pour qu'on a juste de nouvelles de mon frére.
mes coordonnées: Zouhair ilou
ilou17@hotmail.com
0033661121934
jazakom allah khayren wa howa la youdi3o ajra men ahsana 3amala
salam alikom
ouafik meryem
Sun, 6 May 2012 07:16 EDT
la carte nationale
bonjour je suis marocaine residante en arabie et j'ai besoin de faire la nouvelle carte nationalle .je telephone a l'embassade ils ne repondent jamais,puisque je reside au khobar je voulai savoir les papier dont j'aurai besoin pour la carte avant de partir a l'embassade.si vous avez une idee veuiller m'aider s'il vous plait. et merci a tous.
RAJAE
Sat, 14 Apr 2012 15:34 EDT
S OS
BONJOUR
je suis marocains mariee avec un homme de nationnalite saoudien ,je reside ici et apres 3 ans de marriage il m'as devorce pour la troisieme fois, j'ai deux filles moin de 2 ans, il m'as toujours abatus il est tres agressif avec moi j'ai peur beaucoup puisqu'il m'as menace de me tuer, mon corps et completement marque acause de leur agressivite,il m'as menace si je vais parler avec quelqu'un je suis encore a sa maison, SVP aidez moi je peux pas resister cette terrible vie, je suis depressee ,demoralisee, je suis seule iciet j'en ai aucune idee sur les lois de cet pays,aidez moi pour aller a mon pays, il m'as abattus comme un animale, je suis un homme. hasbiya allaho wa ni3ma alwakil.
jalal
Thu, 1 Mar 2012 06:23 EST
sos
je sui un jeun marocin an saudi avec ma seur,mon sponsor qui l a prisonier sa maison minnan je demande de notre ambassade de la liberer de ce sovage plaese perssone ici ne veut nos ecouter qu est ce je peut fairt une question pour mr l ambassadeur est merci

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