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Commentaires au sujet de cette l'Ambassade

Ibrahima Koutou
Tue, 17 May 2011 03:46 EDT
Le nouveau monde
Israël dans le giron du nouveau monde moyen-oriental
Par Y.Mérabet

Le Mossad, l’organisation des renseignements israéliens la plus secrète de l’État d’Israël, devient de-facto le porte-parole officiel du gouvernement. Meir Dagan, son ancien responsable jusqu’en décembre 2010, s’exprime de manière régulière face aux médias et son devoir de réserve implique que les dirigeants israéliens cautionnent certainement ses propos. En dépendant directement du premier ministre, il occupait un rang de super ministre, en faisant de lui le deuxième personnage du gouvernement. Sa position à l’égard de l’Iran n’a jamais été figée et elle a évolué en fonction des circonstances politiques du moment et des faits probants portés à la connaissance de l’opinion internationale.
En janvier 2006, il avait exposé, devant la commission de la défense de la Knesset, ses prévisions apocalyptiques sur le Proche-Orient. Il avait alors soulevé le problème du réarmement à outrance de la Syrie par l’Iran et avait qualifié la situation avec le Liban de « danger pour Israël » en raison des multiples transferts d’armes syriennes vers le Hezbollah.

Il caractérisait alors la situation d’explosive et Tsahal, n'a pas hésité de tenir au sérieux ses propos pour mener à la guerre du Liban de juillet 2006. Les résultats attendus par cette expédition ne furent à l'avantage des troupes du Hezbollah. Pour la première la première fois dans l'histoire des arabes, une milice ultra-religieuse infligea une défaite à Israël. Tsahal fut humilié et réduit à une petite armée,le mythe invincible est levé. Meir Dagan vise l'Iran cette fois-ci, il pousse les États-Unis et la communauté e européenne à contre-carré le programme nucléaire par mesure de rétorsion et se prépare même à bombarder les sites avec l'aide de l'Arabie Saoudite et l'Égypte.
Meir Dagan s’était à nouveau exprimé devant la commission en juin 2009 en évoquant le programme nucléaire iranien : « Si le projet ne rencontre pas d’obstacle technologique, les iraniens auront une bombe prête à l’emploi en 2014 ». Ils aspiraient selon lui à mettre en route plus de dix mille centrifugeuses d’ici 2012 et il prônait une action d’envergure avant la fin 2009 pour stopper le programme. Le gouvernement n’avait alors apporté aucun démenti à cette analyse mais les journalistes avaient interprété ces propos comme préfigurant une attaque militaire sans se douter qu’elle prendrait en fait une autre forme plus insidieuse.
Le chef du Mossad, Meir Dagan, était déjà convaincu que l’option militaire, souvent avancée , contre l’Iran n’était pas la meilleure solution pour empêcher la mise au point d’une arme nucléaire iranienne.
Israël ne pouvait pas envisager une action semblable à celle de septembre 2007 qui avait entrainé la destruction par l’aviation israélienne de l’usine nucléaire syrienne dans un site près de Dayr a-Zwar. Avec l’accord des américains, les israéliens avaient alors cherché à envoyer un message de menace à l’Iran qui l’a complètement ignoré. Cette éradication d’un site unique entrait dans les compétences militaires israéliennes mais les iraniens, qui avaient appris la leçon syrienne, ont disséminé leurs installations à travers tout le pays tout en créant, par diversion, des usines nucléaires civiles soumises au contrôle occidental.
Les israéliens ont effectivement hésité à frapper les sites de peur que ces derniers sont chargés en plutonium et des risques encourus par la sécurité de la région, ou la prolifération nucléaire atteindra des proportions plus dangereuses que celle de Fukushima. De toute façon, depuis que le réacteur nucléaire de Busher est en charge, d'éventuelles frappes israélites deviennent incertaines sinon impossibles.
D'autre par les répercussions d’une telle attaque sur l’action du Hezbollah et de tous autres groupes activistes de la région auraient réagi de manière brutalement et simultanément par une pluie de missiles sur Israël. Encore, ils étaient convaincu que l'Iran avec toutes ses raisons à riposter violamment avec des armes très avancées pour réduire la petite Israël en poussière.
Les silences de la Maison Blanche accréditaient l’idée qu’elle refusait à s’engager dans une aventure militaire et qu’Israël se verrait contraint d’agir seul . Des anciens du Mossad prévoyaient la guerre et des fuites bien orchestrées faisaient état de vols d’entrainement au dessus de Gibraltar pour préparer l’attaque. En prévision d'une attaque israélite sur l'Iran et l'embrassement infernale du bassin méditerranéen ou sont basés les 80% de la flotte des forces occidentales (OTAN et NATO), il devient impératif de libérer le contrôle des deux portes d'accès maritimes; le golfe d'Aden et le détroit de Gilbraltar (coté marocain).
Mais la plupart des analystes occidentaux et israéliens estimaient que l’attaque de l’Iran passait d’abord par la mise au pas de la Syrie et du Hezbollah. En fait, le Mossad avait bien pris la décision d’attaquer l’Iran mais le combat allait prendre une tournure moins militaire. Il décida d’utiliser des sous-traitants parmi l’opposition iranienne , bien implantée en Iran, pour organiser des opérations clandestines traduites par l’assassinat dans des attentats ciblés de plusieurs scientifiques impliqués dans les activités nucléaires. Il a aussi commandité les mystérieuses explosions qui ont eu lieu sur une base de missiles de Khorramabad le 16 octobre 2010.

La première attaque d’Israël sur l'Iran a bien eu lieu en septembre 2009 mais sous forme cybernétique à l’aide du virus Stuxnet qui a rendu inutilisables près de 20% des centrifugeuses iraniennes. C'est encore une leçon apprise par l'Iran pour prévoir une protection efficace ses installations nucléaires, 50% du contrôle informatique fut remplacé par le manuel.

Il se pourrait que le code qui a été introduit dans les ordinateurs iraniens est encore actif et, grâce à des fonctions dormantes, ses effets néfastes lui permettent d’évoluer et de commettre d’autres attaques. Cette désorganisation des moyens de contrôle des centrifugeuses à poussé les russes à demander le report de la mise en service de l’usine de Bushehr qui vient de reprendre ses activités dans la deuxième quinzaine du mois mai 2011, une fois que les réserves iraniennes fussent levées .

Israël, convaincu de la réalité du nucléaire iranien, se rétracte

Meir Dagan avait ouvertement estimé en janvier 2011 que le sabotage des installations iraniennes avait porté ses fruits et sous estimer la vigilance des iraniens. Il avait assuré, devant la commission de la défense de la Knesset, que le programme nucléaire de Téhéran avait pris un retard de « plusieurs années ». Il est encore sorti de sa réserve le 6 mai 2011, à l’Université hébraïque de Jérusalem, en évoquant l’éventualité d’une frappe militaire contre les installations nucléaires iraniennes. Il a radicalement repoussé une telle éventualité comme étant « la chose la plus stupide que j’ai jamais entendue »
Il a ainsi confirmé les difficultés de distinguer les infrastructures nucléaires civiles des usines militaires. Par ailleurs, venant d’un officier qui a été à la tête d’une officine qui a souvent commandité des actions réprouvées par le droit, il a usé d’une argumentation juridique pour étayer son propos : « L’AIEA contrôle les installations civiles pas les secrètes. Une frappe sur ces installations serait manifestement illégale au regard du droit international ».

Juste quelques jours avant le déclenchement de la "révolte arabe", le chef du Mossad, Meïr Dagan, a effectué une visite secrète en Arabie Saoudite. “Dagan a eu des entretiens en Arabie saoudite sur l’Iran, et son programme nucléaire, sans pour autant dévoilé les noms des responsables saoudiens qu’il a rencontrés”. Les mêmes sources évoquent des rapports faisant état “d’une coopération secrète croissante entre Israël et l’Arabie Saoudite, dont une coordination défensive, en prévision d’une éventuelle opération militaire contre les installations nucléaires iraniennes”.
JSSNews, a rapporté il y a deux mois, que le système saoudien de défense aérienne, a été suspendu pendant de nombreuses heures, lors de manœuvres militaires saoudiennes, pour simuler un scénario où les avions militaires israéliens transiteraient par l’espace aérien saoudien pour attaquer l’Iran. Par la suite, des hélicoptères et des avions militaires israéliens ont atterri en Arabie saoudite pour y installer des équipements, chose que le Royaume cacherait à son peuple.
L'Arabie Saoudite, a été sérieusement dopée par Israël pour l'ériger en ennemie contre l'Iran : “Que l’Iran ne nous mette pas au défi !”
disait son Altesse Royale le Prince Sultan Bin Abdulaziz Al SAOUD, Ministre de la Défense et de l’Aviation et Inspecteur Général.

Vers un rapprochement (Israël-Egypte-Iran)

Ankara, médiateur de l’Iran

Elle a également voté contre la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU du 9 juin, renforçant les sanctions économiques internationales contre l’Iran. Peu avant, elle avait présenté avec le Brésil, une proposition d’échange de combustible nucléaire entre l’Iran et les grandes puissances, visant à faciliter un compromis sur le dossier nucléaire, mais qui a été rejetée par les autres pays. Le rapprochement de la Turquie et de l’Iran, qui représentent à eux deux plus de 150 millions d’habitants, s’est également accompagné d’un renforcement des relations économiques et commerciales qui ont atteint 10 milliards de dollars, selon les chiffres officiels, avec pour objectif commun de les faire passer à 30 milliards de dollars entre 2013 et 2015.

L'Iran veut renforcer ses relations commerciales avec la Turquie pour réduire la place des Émirats arabes unis dans son commerce extérieur, après les restrictions bancaires imposées par les Émirats à la suite des sanctions économiques internationales. L’Iran, qui exporte déjà quotidiennement entre 15 et 18 millions de m3 de gaz vers la Turquie, a signé en juillet un contrat d’un milliard d’euros avec une compagnie turque pour la construction d’un gazoduc de 660 km qui permettra d’exporter, chaque jour, 60 millions de m3 de gaz d’ici trois ans vers la Turquie et l’Europe. Enfin, M. Erdogan, lui-même sunnite, a participé pour la première fois à Istanbul à la première fois aux cérémonies chiites d’Achoura, en présence d’Ali Akbar Velayati, principal conseiller pour les affaires internationales du guide suprême iranien l’ayatollah Ali Khamenei. Une première dans un pays sunnite à laquelle les médias iraniens ont donné un large écho.
La Turquie est un pays puissant, avec une position stratégique et des points communs idéologiques et culturels avec l’Iran”, a déclaré M. Salehi soulignant que le renforcement des relations avec la Turquie était une “priorité”. Longtemps considéré comme l’allié stratégique et même militaire d’Israël dans la région, la Turquie s’est rapprochée des pays arabes et de l’Iran, en particulier après l’offensive d’Israël contre la bande de Gaza en décembre 2008, puis l’attaque de la marine israélienne contre une flottille d’aide humanitaire en route vers Gaza, au cours duquel neuf Turcs ont été tués. Ce qui a provoqué une vive colère de la Turquie contre Israël. Signe du changement intervenu, Ankara a retiré en août l’Iran de la liste des pays constituant une menace pour elle, selon le document définissant la sécurité nationale du pays.
L’Iran et la Turquie n’ont cessé de se rapprocher ces dernières années sur le plan politique, mais aussi économique, la Turquie devenant un allié de poids pour les Iraniens dans leurs délicates négociations nucléaires.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Ali-Akbar Salehi a déclaré à Téhéran que l'Iran et l'Égypte étaient résolument décidés à renouer leurs relations bilatérales, a rapporté l'agence de presse officielle IRNA le 08 mai 2011.
Faisant référence aux grands potentiels dont regorgent les deux pays, M. Salehi a souligné que ces ressources potentielles avaient permis de préparer le terrain pour la reprise des relations bilatérales dans les domaines politique, économique et culturel. A propos de sa prochaine visite en Indonésie pour participer à la réunion ministérielle du Mouvement des Non-alignés (MNA), Ali-Akbar Salehi a noté qu'il allait rencontrer son homologue égyptien en marge de la réunion, a rapporté l'agence IRNA.
L'Iran et l'Égypte sont deux pays importants de la région et leur coopération doit profiter à tous les pays islamiques, voire à toute la région, a-t-il ajouté.L'Iran avait rompu ses relations avec l'Égypte après que le Caire eut signé les accords de Camp David de 1978 avec le régime israélien et qu'il eut accordé l'asile au monarque déchu de l'Iran, Mohammad-Reza Pahlav

Les figures politiques politiques égyptiennes, enhardis par la 'révolte arabe', gardent un œil vigilant sur les prochaines élections, et convergent leurs politiques conformément aux échos de l'opinion publique. Ils cherchent dans cette procédure, à régénérer l’influence sur toute la région, influence, rudement affaiblie durant les années où leur pays se comportait en allié prévisible de Washington et d’Israël, depuis le traité de paix de 1979 avec Israël.
La première grande démonstration de cette nouvelle tactique a été l'entente négociée par l’Égypte visant la réconciliation des partis laïques palestiniens du Fatah avec ceux de leur rival, le Hamas. "Nous ouvrons une nouvelle page," a déclaré l'Ambassadeur Menha Bakhoum, porte-parole du ministère des Affaires étrangères égyptiennes. L'Égypte reprend le rôle qui lui a été une fois, confisqué."
Les manœuvres de l’Égypte sont susceptibles de modifier l'équilibre du pouvoir dans la région, permettant à l'Iran, adversaire implacable à effacer le conflit religieux, vieux de 15 siècles, handicapant le rapprochement des musulmans chiites aux sunnites et exploité par l'occident et Israël. Cet équilibre donnera un accès nouveau pour ce pays, créant une distance entre l’Égypte et Israël, qui entre-temps, supervise les événements avec anxiété.
"Nous sommes préoccupés par certaines activités récentes provenant de l'Égypte," a déclaré un haut fonctionnaire israélien, citant "Le rapprochement entre l'Iran et l'Égypte" ainsi que "l'amélioration des relations entre l'Égypte et le Hamas."

Conclusion
La dissuasion nucléaire, reste le moyen le plus fort pour se protéger contre les convoitise occidentales et le banditisme européen.

Journaliste indépendant
Algérian Sociéty For International Relations
Ibrahima
Fri, 22 Apr 2011 18:29 EDT
libye
Sarkozy précipite le monde dans l'inconnu
Par Y.Mérabet


« Le colonel Kadhafi est un homme hautement respecté dans son pays et en Afrique. Ce respect n’est pas lié, comme aiment à le clamer les langues chagrines, aux pétrodollars, mais à ses actions. Il a été de tous les combats de libération des peuples » Calixthe Beyala


Les journalistes arabes, d'Al-Jaazira et de l'Arabya

Sans l'aval de la majorité française, Sarkozy, déclare donc que « Kadhafi doit partir immédiatement. Nous appelons tous ses partisans à le quitter avant qu’il ne soit trop tard. Nous appelons tous les Libyens qui estiment que Kadhafi mène la Libye à la catastrophe à se mobiliser dès à présent pour forger un processus de transition ». Voilà ce que l’on appelle de l’ingérence pure et simple ; ce qui est en contradiction avec la charte de l’ONU ! Au nom de qui parle t-il ? Du peuple libyen ? Des dizaines de milliers de manifestants battant le drapeau vert de la liberté soutiennent Kadhafi ? Des centaines de personnes qui accourent pour occuper les places et endroits jugés importants pour servir de boucliers humains afin d’empêcher leurs bombardements ? Il ne connait rien de ce peuple!
Kadhafi n’est pas un dictateur, comme le disent les croisés, c'est bien Sarkozy qui l'est, au sens où on veut nous le faire croire. Son pays est riche, son peuple vit correctement et le chômage est négligeable. C'est un pays plus transparent et plus démocratique que le reste du monde arabe, nous avons vu à la télévision comment ces journalistes arabes, se sont fait embobinés par ces traitres d'Émirs du golf, Ils ont été payés pour déformer l'image de la Libye et de son Guide, Ils saluent les bombardements par des avions Qataries sur la population civile libyenne, ces mécréants de l'islam tuent nos frères et nos enfants. De quel coté sont-ils? Du coté des croisés qui veulent exterminer la « Oumma muslima ». Sont-ils drogués, pour commettre ce crime? Veulent-ils prendre sur la conscience la mort de leur confrères arabes? Autant de questions,sans réponse pour cette tragédie arabe...
Les journalistes arabes d'Al-Djaazira et d'Al-Arabya, à la solde des émir arabes et des croisés, ont détruit l'entité arabe, il ne reste plus rien. Ces mercenaires-journalistes, une fois revenus à la raison, ne serviront à rien, ils seront rejetés par la 'Oumma Islamia'. Leur forfait est immoral?

Les efforts consenties par le Guide libyen pour le développement de son pays, sont énormes, le peuple libyen devait normalement s'en réjouir : La Libye est classée par rapport aux normes du PNUD en bonne position. Son IDH (indice de développement humain) en 2007 est de 0,847, ce qui la place au 56ème [Norvège : 0,971 (1er ); Arabie Saoudite : 0,843 (59ème ) ; Tunisie 98ème ; Algérie 104ème ; Egypte 123ème ; Maroc 130ème ]. Il est élevé et en augmentation. l'Indice « santé » passe de 0,496 en 1970 à 0,863 en 2010
Sachez, bien qu'en 1951, la Libye, longtemps appelée « royaume du vide », accède à l’indépendance dans le plus complet dénuement. Elle est le fruit de l’union anachronique entre un impérialisme britannique déclinant et une confrérie musulmane saharienne, les Senousis (dont le roi est issu). Sa seule exportation ? La ferraille ramassée sur les champs de bataille de la seconde guerre mondiale.
Sans doute Muamar Kadhafi est un pétrolier, comme ces grands américains qui gouvernent la planète, aura-t-il fait montre d’un esprit plus rationnel dans la conduite des affaires du secteur que dans ses autres initiatives politiques, intérieures ou extérieures — peut-être parce qu’il s’en est moins mêlé. Sans doute, aussi, les pétroliers du monde entier ont-ils appris à vivre — et à gagner de l’argent, beaucoup d’argent — dans l’environnement libyen, particulièrement instable sinon hostile. Ses rares partenaires le tenaient pour imprévisible, incohérent et capricieux. En 1986, le président américain Ronald Reagan l’avait avait envoyer la VIe flotte bombarder la Libye et de lui imposer un embargo pétrolier sévère. L’homme faisait alors figure de paria... Pourtant, le colonel Muamar Kadhafi a réussi, vingt ans après, à ramener son pays dans le peloton de tête des exportateurs de pétrole. Comment une telle prouesse a-t-elle été possible ?
La Libye est le 4ième pays producteur de pétrole d’Afrique, derrière le Nigeria, l’Algérie et l’Angola. Surtout, elle dispose des plus importantes réserves prouvées du continent africain. Son brut est de la meilleure qualité, la Libye est en face de l'Europe en quête d'énergie, très pauvre en ressources, perpétuellement en crise, un avantage pour ses approvisionnements pétroliers. Enfin, compte tenu de sa faible population, et de son développement industrielle faible, la Libye restera longtemps un exportateur de premier plan.

Une seule chose intéresse les pays occidentaux : « piller, piller sans arrêt.. les richesses arabes et africaines ». Une accusation qu'aucun ne renie et des échos dans la rue arabe et ailleurs, dans la presse africaine et jusqu’au Venezuela, où le président Chavez présente les Occidentaux comme des « seigneurs de la guerre » qui veulent « s’emparer du pétrole des libyens ». De fait, les pétroliers occidentaux, et tout particulièrement les groupes Français et Italiens, auront pas mal à perdre, et peut-être beaucoup plus encore à gagner, à l’issue du gambit dans lequel la rébellion libyenne les force à s’engager. L’Italien ENI est présent en Libye depuis la fin des années 50, et n’a jamais menacé de quitter le pays, pas même dans les années 80 et 90, lorsque Muamar Kadhafi lutter contre le néo colonialisme occidental et les croisés.
Pour les pétroliers français, se seront les plus grands perdants. Les activités de Total en Libye sont beaucoup plus modestes que celles d’ENI, avec une production de seulement 55 000 barils par jour. Mais au cours de la dernière décennie, le groupe français a découvert plusieurs nouveaux gisements, et dispose de contrats qui le lient potentiellement à la Libye jusqu’en 2032, en plus tout un éventail de contrats la vente d'armement, de centrales nucléaires et d'industries divers.Bien que la compagnie pétrolière nationale libyenne contrôle la majorité de la production du pays, Tripoli ouvrait jusqu’ici un large accès aux compagnies étrangères à travers des joints ventures, pour bénéficier de l’expertise et des capitaux nécessaires afin de maintenir la production nationale. Comme l’expliquait le directeur de la stratégie de Total quelques jours avant que la révolte libyenne ne prenne toute son ampleur, « le régime en place a absolument besoin des compagnies pétrolières internationales » pour « améliorer le potentiel du pays (…) où l’on trouve des champs matures, et où il reste de grandes marges pour l’exploration et le développement ».

La France viole la souveraineté de l'État libyen

Qu’est-ce qui prend la France, de s'ingérer, dans les problèmes internes de la Libye? Pour la liberté et les droits de l’homme? Un faux prétexte ! La France est connue par la population de l'Afrique du Nord, comme un État hypocrite et mesquin, l'histoire d'Algérie est là pour témoigner, Bugeaud n'a t-il pas trahi le traité de la Tafna, signé avec l'Emir Abdel-Kader? Sarkozy, lui aussi a trahi son ami Muamar Kadhafi , en lui lançant des bombes dessus la tète
Selon sa rencontre avec des membres de ce «Conseil Libyen», un ramassis de sans papiers que Sarkozy a déniché dans les vieux hôtels de Barbes en fait d'eux une légion, en présence de Bernard-Henri Levy, il a été discuté de la reconnaissance de cette légion comme opposition au Guide libyen, sans consulter les pays africains et plus particulièrement les pays amis et voisins de la Libye, nous trouvons ça insolent, de la part de la France? Il a aussi été discuté, de la possibilité de brouiller les transmissions militaires de l’armée de Kadhafi, de détruire son ‘bunker’, de neutraliser les trois aéroports et d’imposer une zone d’exclusion de vols en plus du blocage des avoirs Libyens. En clair, détruire le régime libyen !
L'Union européenne s'en sort d'une manière encore plus pitoyable. En effet, si le premier objectif de Sarkozy était de démontrer l'incohérence et la faiblesse de la politique étrangère européenne, il n'aurait pas pu faire mieux. Le «ministre des Affaires Étrangères» européennes , Catherine Ashton, a été évincée de Libye. Les institutions européennes n'y ont joué aucun rôle. Comme l'a parfaitement dit une tribune du Monde: le dossier libyen «démontre l'immaturité de la politique européenne de sécurité et de défense: indigence du débat politique et inadaptation des cadres de planification et d'intervention». Personne n'imagine l'Europe sortir renforcée de ce dossier, même si le président français y arrive.
Kadhafi combat le terrorisme contrairement à Sarkozy qui le finance en payant des rançons. Malgré ce qui parait élucubrations, il est plus au fait des manigances occidentales et plus clairvoyant que ceux qui affirment diagnostiquer en lui un «tyran», un « autocrate » et tutti-quanti qui justifierait une guerre « humanitaire » alors qu’il est question de pétrole et de gaz et rien que de pétrole et de gaz ! En effet, avec des réserves prouvées de plus de 46 milliards de barils soit 3,5% des réserves mondiales, le double des EU, la Libye est bien la convoitise prioritaire qui la place ‘objectif’ dans le programme militaire pour le contrôle et l’appropriation des 60% prévus des réserves mondiales.
Les guerriers-philosophes français disent ; la « chance est la qualité la plus importante d'un général » et Sarkozy sera peut-être en veine en Libye. De son avis personnel, les rebelles pourraient gagner peut-être, et... Il pourrait restaurer sa popularité en faire un cadeau aux juifs d'israel dont, il fait partie. L'aventure comme à l'aventure, rien à perdre, rien à gagner: c'est un non-français de souche, un trimbaleur de valise, quitte ou double, il finira par rentrer au bercail chez ses pairs Tsiganes de Hongrie.
Le président français, Nicolas Sarkozy, a perdu de sa popularité à cause de la corruption de son gouvernement, parce que l'économie française est plus faible qu'elle ne devrait l'être, parce qu'il a, avec son ex-ministre des affaires Étrangères, choisi le mauvais camp en Tunisie, et parce qu’il est versatile et imprévisible. Il n'y a pas non plus de fausse guerre. La zone d'exclusion aérienne en Libye est bien réelle, tout comme le sont les bombardements censés aider les rebelles libyens. Trois Français sur quatre ne font pas confiance à Sarkozy. Près de trois Français sur quatre (74 %) ne font pas confiance à Nicolas Sarkozy et deux tiers (66 %) n’ont pas non plus confiance dans François Fillon, selon un baromètre Harris Interactive publié dans le Parisien/Aujourd’hui du lundi 11 avril 2011. La cote de confiance du chef de l’Etat s’établit à 20 %, en baisse de deux points par rapport au baromètre de mars. Celle du Premier ministre, à 26 %, est en recul de trois points.
Il n'y pas non plus de consultant sournois tapis en coulisses. Au contraire. L'homme qui a présenté Sarkozy aux rebelles de Benghazi n'est autre que Bernard-Henri Lévy, un pop, d'origine juive, si français qu'on n'arrive pas à trouver d'équivalent américain. Nous n'avons tout simplement pas de philosophes aux chemises constamment déboutonnées, mariés à de blondes actrices, et qui s'engagent, avec enthousiasme, pour des guerres, que ce soit au Bangladesh, en Angola, au Rwanda, en Bosnie, et au-delà; à l'origine de plusieurs massacres en Afrique, Tutsis, Ivoiriens, Tchadien, Libyens etc. Et encore ce sanguinaire de Sarkozy continu à plaider pour une intervention humanitaire en Libye. Sarkozy espère clairement que le massacre libyen le rendra populaire en France et briguera un deuxième mandat présidentiel. Certains éléments de cette histoire sont familiers. La France envie depuis longtemps non seulement le leadership américain dans le monde, mais son statut de démocratie en chef: les Français considèrent être autant liés que nous à l'invention de la liberté, de l'égalité et de la fraternité*, et ils veulent, aussi, s'en voir attribuer les mérites.Mais l'obstination de ce président à prendre des risques pour jouer un rôle – n'importe quel rôle, quel qu’en soit le prix – pour la gloire de la France, et la sienne propre, est sans précédent. Charles de Gaulle avait tenu tête à l'Otan à une époque où la France était protégée par le parapluie nucléaire américain. L'enthousiasme de Sarkozy pour une guerre dont il ne peut prévoir les conséquences arrive à un moment où l'Otan est divisé, et ou l'Union européenne – depuis sa création la pièce maîtresse de la politique étrangère de la France – n'a jamais été aussi faible. Dans l’intérêt de ce qui reste de solidarité au sein de la coalition, aucun membre de l'Otan n'a opposé son veto à l'opération en Libye, sous l'impulsion du Président Obama. Mais l'Allemagne et la Turquie – deux piliers historiques de la coalition – l'ont combattue publiquement, et avec véhémence. D'autres fulminent en silence. Selon une source de première main, Sarkozy, en personne, n'a accepté de mettre ces opérations sous commandement de l'Otan que parce que la Maison Blanche a menacé de s'en désinvestir totalement. Il aurait apparemment pensé que l'armée américaine allait continuer à soutenir une intervention qu'il commandait. Raids aériens; villes conquises puis reperdues; l’Otan et le groupe de contact; la CIA et Al-Qaeda; les Américains et Sarkozy; la situation en Libye peut paraître complexe, depuis le 7 mars 2011, début des opérations de la coalition.
Bernard-Henry Levy, ce missionnaire des néoconservateurs américano-sionistes qui s’incruste toujours là où cela sert les intérêts d’Israël, apparait dans cette affaire l’architecte chargé de faire sous-traiter « l’opération Libye » par la France.
Il est rapporté par la presse occidentale, en particulier par ‘Libero’ (Italie) citant des documents de renseignement français, que la «révolte populaire» contre Kadhafi a été orchestrée par Paris depuis le mois d’octobre 2010 après la trahison de l’homme de confiance de Kadhafi, Mesmari, qui a trouvé refuge à Paris. À la mi-janvier, le plan pour le renversement de Kadhafi était près et les meneurs en place à Benghazi. Certaines fuites se sont parvenus à certains pays amis de la Libye, et Kadhafi fut averti en fin aout 2010, le temps de se préparer militairement surtout. Kadhafi a ses puissants services de renseignement dont il ne fait pas entièrement confiance, il sous-traite le renseignement avec d'autres services étrangers.
Bernard Henry Levi, a rencontré Mostafa Abdeljalil, une personne qui avait ses comptes personnels à régler avec Kadhafi, après une minutieuse enquête des services de renseignements français, cet intrus fut présenté fut invité au 'Souk de l'Elysée' pour étre nommé à la téte de la rébélion libyenne, le titre de Président du Conseil Libyen lui fut attribué par Sarkozy. Par simple discision personnelle de l'individu Sarkozy, le Président de la Jamahiria Al-Arabia élu par son peuple, fut destué et remplacé par un comité de rebelles? Depuis quand la France, gère les Etats souverains? Alors que fait Ban Ki-moon à l'ONU, que font les ambassadeurs arabes dans cette institution?
C'est Sarkozy, qui a inventé sa rébellion en Libye et a installé des rebelles à sa tête. Une rébellion que dirigent 04 principaux opposants connus pour leurs liens avec la NED/CIA qui vivent aux USA et en Angleterre depuis plus de 35 ans (03 ont des passeports Américains et un anglais) et deux autres sont des dissidents de dernière minute (Mostefa Abdeljalil ex ministre de la justice que les libyens ne cessent de dénoncer les frasques et avidités ainsi qu’un officier supérieur connu pour ses déboires et ses félonies au Tchad . Ils apparaissent à tour de rôle dans les 04 chaines Aljazeera, Alarabia, Alhurra et la BBC.
Reconnaitre une telle entité vague composée de rebelles ne maîtrisant pas les buts et l’évolution de leurs actions, qui se déclarent « révolutionnaires » – en adoptant et exhibant le drapeau de l’ex monarchies – comme «représentant légitime» d’un peuple qui dispose déjà d’un État souverain, reconnu et membre de l’ONU, en le menaçant de frappes aériennes pour accélérer la chute du pouvoir légal, est la pire stupidité politique.
Cette monarchie Idrissienne, vassale de la Couronne d’Angleterre, que Kadhafi a fait abdiquer un certain 1er septembre 1969. Des « révolutionnaires » qui sollicitent des frappes destructrices de ce qu’ils disent être leur pays et qui ne s’offusquent pas de voir des centaines de civils tués, des milliers de bléssés, y compris des enfants, par les bombardements de l’aviation de la coalition Américano-Anglo-Franco-Qataro-Emirati ? Quelle déchéance !

Al-Qaeda et Sarkozy derrières la rébellion

Les multiples références de Kadhafi aux «jeunes drogués par Al-Qaida» lors de ses discours hallucinés avaient discrédité l’hypothèse d’une présence importante de terroristes sur le territoire libyen. De plus en plus, cette question revient sur le devant de la scène. Elle inquiète notamment les conservateurs américains, qui ne veulent pas prendre le risque d’aider, voire d’armer indirectement des terroristes que les États-Unis combattent sur d’autres fronts. Selon le patron militaire de l'Otan, l’Américain James Stavridis, des «signes de présence» d’Al-Qaida ont été ainsi détectés parmi les rebelles. Sans établir forcément de liens avec cette organisation, lors de ses reportages, Christophe Ayad, envoyé spécial de Libération, a pu toutefois noter que certains rebelles étaient plus habiles que d’autres: «Certains d’entre eux manient le lance-roquettes avec une familiarité déconcertante. Quand on leur demande où ils ont appris, ils se contentent de sourire. La plupart viennent du djebel al-akhdar, la Montagne verte, dans la région de Derna et d’Al-Bayda, où un maquis islamiste a tenu tête à Kadhafi au milieu des années 90.»
Pour Seth Jones, ancien conseiller du Pentagone pour les opérations spéciales, interviewé par l’AFP, il faut au contraire «partir du principe» qu'une partie des armes risque de tomber dans les mains d'Al-Qaida.
Selon plusieurs médias américains dont le New York Times, de «petits groupes» d'agents de la CIA sont déployés sur le terrain pour prendre contact avec la rébellion et guider les frappes de la coalition. Barack Obama aurait donné l'autorisation d'aider secrètement les rebelles. De plus, selon la chaîne ABC, «des dizaines de membres des forces spéciales britanniques et d'agents du service d'espionnage MI6 travaillent» également en Libye. En particulier pour recueillir des renseignements sur les positions des forces loyalistes. Il est plus que probable qu’il y ait aussi des forces spéciales françaises. L’envoi de troupes militaires officielles, comme en Afghanistan et en Irak, est pour le moment formellement écartée
Depuis le début des interventions le 19 mars, Barack Obama est critiqué par une partie de sa base, et par les conservateurs. Les premiers lui reprochent de s’engager dans un nouveau conflit onéreux. Les seconds d’avoir tergiversé et donné l’impression qu’il avait été presque forcé par Sarkozy de partir en guerre. Le lobby juif américain très proche de Nicolas Sarkozy qui lui aussi juif a fait pression sur Obama pour engager l'armée américaine dans le conflit, cet engagement sert les intérêts politiques internes du président français. l'heure actuelle, malgré un discours récurrent autour de l'idée que les États-Unis ne sont qu'en soutien, l'armée américaine a pour le moment assuré la majorité des opérations.
Un effet anecdotique, mais symbolique sur le terrain. De nombreux rebelles arborent plutôt le drapeau français, remerciement sans doute à l'activisme diplomatique de la France.On ne voit pas de drapeaux américains sur les photos des agences de presse. Les trois difficultés qu'éprouvent les rebelles pour combattre les forces loyales du Guide libyen : Les rebelles ne sont pas des soldats. Malgré toute leur bonne volonté, ils n'ont aucune expérience de la guerre. Ils font penser à Fabrice del Dongo, le héros de la Chartreuse de Parme de Stendhal, qui se rend à Waterloo persuadé que la guerre est une chose magnifique et qui est finalement complètement impuissant et balloté d'un endroit à un autre. L'impétuosité de la jeunesse ne suffit pas face à l'armée de Kadhafi qui reste encore organisée malgré les bombardements.
•Lors d'opérations de guérillas, en territoires accidentés ou dans une ville, l'inexpérience peut être compensée par un terrain favorable. Ce n'est malheureusement pas le cas en Libye. Toute la guerre se déroule le long d'une unique route côtière, qui traverse quelques villes. Ils est donc très facile d'avance rapidement et de reculer tout aussi rapidement. Des dizaines de voitures équipés de mitrailleuses font une interminable va et vient sur une route goudronnée neuve, préparée à l'avance pour tourner le film.
•Troisième point, l'esprit de guerre, on a l'impression de voir et de suivre un jeu vidéo, ou des enfants à peine la quinzaine d'année exhibent des tires en l'air de mitrailleuses, fixent leurs mitrailleuses sur une cible imaginaire et tirent de longues rafales, puis lève ses deux doigts en l'air et crie ' Allah Akbar..Allah Akbar'. .
L’idée est de plus en plus évoquée, mais elle est polémique. La résolution de l’ONU le permettrait, selon la coalition, ou au contraire non, selon plusieurs pays hostiles depuis le départ à l'intervention, comme la Russie.Selon Michael O'Hanlon, expert à l'Institution Brookings, interviewé par l’AFP, «si des livraisons devaient avoir lieu, elles concerneraient sans doute des lance-roquettes antichars, des systèmes de communications et des médicaments», c'est aussi une façon d'affaiblir les forces libyennes pour que les rebelles et Al-Qaida prennent le dessus, sur qui? Sur Kadhafi et la majorité écrasante de civiles qui manifestent le maintient du pouvoir Kadhafi . Les rebelles réclament régulièrement une telle aide. «Nous voulons deux choses: que les avions bombardent les chars et l'artillerie lourde de Kadhafi et qu'on nous donne des armes pour qu'on puisse se battre», Peut-on localiser exactement l'endroit ou se trouve Kadhafi et le bombarder sans faire tuer des civiles pro-Kadhafi ? c'est vraiment absurde? Cette idée d'armer les rebelles vient d'Al-Qaida , qui après avoir raflé tout l'armement des casernes libyennes, voudrait d'autres armes plus sophistiquées pour combattre plus tard les chrétiens, puisqu'il s'agit d'une croisade franco-anglaise contre un pays musulman. Hugo Chavez, opposant acharné des américains, selon lui, Kadhafi «fait ce qu'il a à faire: résister à une agression impériale. Même si le président d'un pays est le pire des despotes, il n'est pas justifié qu'un groupe de pays le bombarde et commence à tuer des innocents au nom de la paix».
Par de l'argent taché de sang, la France veut sauver son industrie militaire en faillite
L'industrie militaire française, qui emploie plus de 100 000 ouvriers souffre de la mévente de sa production et risque de fermer ses portes, il a fallu un juif-français qui face ça,ce sale boulot, ré-ouvrir le marché de la mort, tuer et vendre en même temps sa ferraille aux arabes qui ne savent utiliser leur fortune. Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.
La population libyenne est en train de payer cette publicité par les destructions, les morts et les blessés qu'elle provoque en son sein, et pas seulement parmi les soutiens de Kadhafi. Mais elle va également coûter cher aux contribuables français. Ainsi, l'heure de vol d'un Rafale est évaluée à 40 000 euros, à quoi il convient d'ajouter le prix des missiles et autres munitions utilisées. Pour les autres avions, les tarifs varient de 15 à 30 000 euros. Quand on sait qu'en trois jours les Rafale et autres Mirage ont effectué un total de 400 heures de vol, la facture promet d'être salée. D'autant que la marine est également partie prenante, avec notamment le porte-avions Charles-de-Gaulle avec ses 2000 marins, dont les ronds dans l'eau reviennent à 50 000 euros de l'heure. Sans compter le coût des navires affectés à sa protection et son ravitaillement. D'émir de Qatar s'est engagé à déposer un chèque de 11 milliards de dollars si Sarkozy fait tomber Kadhafi, question de L'intervention française en Libye : Une facture salée pour les contribuables Français. Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.La population libyenne est en train de payer cette publicité par les destructions, les morts et les blessés qu'elle provoque en son sein, et pas seulement parmi les soutiens de Kadhafi. Mais elle va également coûter cher aux contribuables français Ainsi, l'heure de vol d'un Rafale est évaluée à 40 000 euros, à quoi il convient d'ajouter le prix des missiles et autres munitions utilisées. Pour les autres avions, les tarifs varient de 15 à 30 000 euros. D'autant que la marine est également partie prenante, avec notamment le porte-avions Charles-de-Gaulle, dont les ronds dans l'eau reviennent à 50 000 euros de l'heure. Sans compter le coût des navires affectés à sa protection et son ravitaillement.
Quand on sait que jusqu'à présence avec les bombardement français sur la population libyenne ont couté 7,3 milliards de dollars. Il faudrait compter jusqu'au 3 mai 2010 que la colère de l'Émir passe pour et que la somme du chèque soit consommée, pour la France cesse de tuer des civiles libyens, et juste le temps qu'un émir d'Al-Qaida sera installé en Libye pour prendre la relève du Guide libyen.

Cet empressement et activisme de la France à vouloir chasser « Kadhafi et sa clique » n’a pas eu l’approbation de toute l’Europe; en particulier de l’Allemagne. Pour avoir plus de légitimité, Sarkozy et ses maîtres cherchent alors une caution surtout arabe pour mener «sa guerre» qu’il trouve chez le méprisable Amr Moussa l’inamovible Secrétaire Général de cette perverse et putréfiée Ligue dite « arabe » que domine les pétrodollars du Golfe. Le silence des États-membres de la Ligue arabe , laisse encore aller plus loin, le chef de la Ligue Arabe, Amr Moussa, qui a déclaré dimanche 11 avril 2011 que son organisation allait demander au conseil de sécurité des Nations Unies d’imposer une zone d’exclusion aérienne au-dessus de Gaza, comme c’est le cas au-dessus de la Libye. Une zone d’exclusion aérienne qui sera difficile à faire appliquer aux quelques 170 roquettes et obus de mortier tirés ces dernières 48 heures sur Israël, répliquent tout de suite Israël.
Dans cette ambiance de l’outrage contre la Libye et de la formidable campagne de désinformation, de propagande subversive et de diversion, le Guide Libyen a lancé un pavé sur Sarkozy suscitant un sérieux doute sur le financement de sa campagne pour les présidentielles de 2007. Un autre scandale pointe si la politique étrangère de Sarkozy se vérifie obéir à des injonctions extérieures aux institutions au point ou le site français Rue 89 titre un article «Juppé remanié par BHL, la France seule contre Kadhafi ».
La Tunisie et l’Egypte étant, pour le moment, sortis de leur mainmise tout en persistant dans les combines pour les maintenir dans leur giron, il fallait profiter dans la foulée de ces « révolutions » populaires pacifiques pour régler son compte à ce Kadhafi ; cette impénitente personnalité anti-sioniste et anti-impérialiste, imprévisible et principal verrou qui entrave le projet mondialiste du « Grand Moyen-Orient » rebaptisé « Nouveau Moyen-Orient ».
La «révolte libyenne», ne revendique rien de social, car les libyens à l'aise leur pays que n'importe qui , la distribution de la richesse pétrolière est équitable pour les 6,5 millions de libyens. Cette révolte fermentée par les services de renseignements français en collaboration d'opposants libyens vivants à Paris à Londres. Tout a commencé par des manifestations clairsemées de groupes armés encadrés par des éléments d'Al-Qaida, demandant directement, la chute du pouvoir suscitant, ainsi, de sérieux doutes quant à leurs caractères spontanés, populaires et pacifique.
Il y beaucoup de doute et pas de réponse légale à donner à ceux qui ont pris les armes pour tuer et attaquer les dépôts d’armements? Cela est à prouver, si ce n’est pas l’armée qui ai reçu l’ordre d’abandonner ses positions et de ne pas tirer, pour que les rebelles puissent s'accaparer des armes,
se sont accaparés les armes y compris lourdes. Plus tard Kadhafi dans cents ans son discours il dit. « J'ai ouvert les arsenaux pour que peuple fasse sa révolte».
Si c'était le cas en occident on les aurait exterminé en toute justice, ces terroristes! Les conspirateurs occidentaux n’ont pas hésité à les désigner « révolutionnaires » qui ont besoin d'une protection humanitaire. Cette poignée de rebelles exige que Kadhafi est sa famille quitte la Libye, pour laisser la place aux émirs d'Al-Qaida, la France les considère comme des civiles armés victimes de la répression de Kadhafi. Écoutons ce que Poutine a dit: «C’est maintenant au tour de la Libye, sous le prétexte de protéger la population civile. Où sont la logique et la conscience? Il n’y a ni l’une ni l’autre».
Croyant alors à une faiblesse et à une chute imminente du régime, la réaction immédiate était l’exigence du «départ immédiat » du Guide. Ils lancent alors une formidable propagande – que mènent les chaines arabes souillées Al-Jazira (Qatarie) et Al-Arabya (saoudite) – et une aide logistique aux insurgés que finance principalement le Qatar.

Kadhafi, l'enfant prodige de l'Afrique

Il avait été déployée la même machine de propagande contre Ceausescu le dictateur « Dracula communiste » avec ses « charniers » et « femmes enceintes éventrées », contre Saddam Hussein « le tyran irakien » avec ses « armes de destructions massives », contre l’indomptable Iran et son « projet de fabrication d’armes nucléaires », contre l’Afghanistan et ses terroristes d’Al Qaida, contre le Hezbollah du Liban cette « organisation terroriste » qui a mis fin au mythe de l’invincibilité d’Israël, contre les palestiniens et ses « islamistes terroristes » du Hamas.
Les revoilà – dans le sillage des soulèvements des peuples arabes contre l’archaïsme de leurs systèmes et de leurs dirigeants – saisir cette opportunité pour déchoir Kadhafi en ayant recours à un système de propagande intensif, avec cette fois des sous-traitants/relais musulmans, pour diaboliser un farouche réfractaire à l’ordre impérialiste et colonialiste pour le rendre celui qui « bombarde avec l’aviation son peuple », qui « massacre son peuple qui manifeste les mains nues avec ses ‘brigades’ » (pour désigner l’armée libyenne), le « fou de Tripoli », le « criminelle et psychopathe », qui provoque « 6000 morts en quelques jours » etc.
Ces « révolutionnaires » de pacotilles comptent parmi eux des alliés d’Al-Qaida – cela est confirmé par certaines infos occidentales, les études des spécialistes de l’académie militaire US de West Point, par la déclaration/vidéo du libyen N°3 de cette organisation et dernièrement encore par les État-major – que l’on a vu assassiner, par dizaines, des personnes civiles ou militaires (de peau noires) par l’égorgement à l’épée puis pendus aux pieds ou brulés sous la désinformation qu’ils étaient «mercenaires» au services de Kadhafi alors qu’ils sont libyens (1/3 des libyens sont noirs de peau).
La propagande occidentale immorale ne montre pas ces images terribles. Elle le fera sûrement, pour se donner faussement bonne conscience, et en user contre l’associé de circonstance ; mais une fois la mission accomplie car, Al-Qaida comme dit un analyste « c’est seulement où et quand ça arrange les États Unis ». Cette propagande n’admet aussi qu’un seul ‘son de cloche’- que mène des médias à grande diffusion devenus des instruments au service d’une oligarchie ploutocratique que finance principalement le Qatar – qui fait qu’elle se permet de gros mensonges à savoir des bombardements des villes par l’aviation de Kadhafi, des défections /assassinats /kamikaze d’officiers qui apparaissent à la télé pour démentir, des massacres de « milliers » de civils.
Aucun des journalistes étrangers en Libye ne confirment, à ce jour, les accusations affirmées ou présumées.
Réitérons ces questions. Qui soutient qui dans cette histoire? Qui souhaite la chute de Kadhafi contrairement à Ben Ali et Moubarek que l’on a soutenu jusqu’à la fin? Observons ! Ne s’agit-il pas de la mise à exécution du projet ‘Nouveau Moyen-Orient’ devant fondre le monde musulman – d’essence spirituelle réfractaire à l’ordre occidental temporel – dans les fondements euro-atlantistes et mondialistes en l’obligeant à adopter leurs principes politico-philosophiques ? Pour se faire, il leur faut recomposer ce monde musulman sur la base des travaux de penseurs et stratèges tels Bernard Lewis, Ralph Peters et Zbigniew Brzezinski. Cela consiste en un nouveau tracé géographique, qui bouleverse leurs frontières actuelles, qui doit reposer sur le principe «diviser pour régner » en créant des mini États pétroliers et ethniques et ce, pour mieux contrôler et s’assurer cette richesse.
Cet objectif ne peut aboutir qu’en agitant les peuples, en suscitant des conflits entre arabes et persans, entre sunnites et chiites, entre musulmans et chrétiens pour ensuite manipuler et recomposer dans le sens souhaité.
Mais le monde musulman connait, subitement et de façon inattendue, des révoltes de masses qui remettent en cause tous les fondements et structures politiques archaïques – qui arrangent d’ailleurs l’Occident – de leur État/nation exigeant les mêmes principes humains sur lesquels reposes les sociétés occidentales à savoir la démocratie, les libertés individuelles et collectives et non ce « chaos constructif » espéré qui devait les diviser pour les ‘intégrer’ dans leur doctrine.
La Tunisie et l’Égypte semblent leur échapper, il fallait se rattraper vite sur la Libye, un maillon fondamental, en accélérant le désordre.
Mais les choses ont pris une autre tournure! Les forces armées libyennes ont avancé en contrôlant la majorité du territoire avec une rapidité déroutante selon les journalistes sur place. Dans chaque ville délivrée on a observé des milliers de manifestants en fête qui crient leurs joies et leur soulagement.
Dans une pertinente conclusion d’un article du Figaro, intitulé « La débandade des insurgés face à l’armée libyenne » signé par Adrien Jaulmes : « Le problème des termes militaires dans la situation actuelle est qu’ils décrivent des événements qui n’ont pas vraiment lieu. Il n’y a ni ligne de front ni réelles batailles. Tout se joue ou presque dans les esprits. Là où il y a quinze jours tout le monde se joignait à une révolte qui semblait devoir renverser Kadhafi, on se met à réfléchir et à penser à la suite. Et les mêmes mécanismes collectifs qui ont donné son élan à la rébellion ont commencé ces derniers jours à jouer en sens inverse. » Tout est donc construit sur du faux ! L’échec du complot ne peut être qu’inexorable même si les ennemis /amis de Kadhafi réussissent à en finir avec lui en l’assassinant ; éventualité qu’il déclare accepter en martyr.

Ce qui fait dire à James Clapper, le directeur des services de renseignements américains que «le régime de Muamar Kadhafi peut l’emporter…». On concocte en urgence deux résolutions (la 1970 et 1973) même si elles sont en contradictions flagrantes avec la Charte des Nations Unis. Le passage par le conseil de sécurité n’était qu’un moyen pour prêter main forte aux rebelles en déroute afin d’éviter que sonne le glas de cette révolution « commandée » et prévenir l’échec de leur stratégie. Le monde constate une filouterie dans l’application même des résolutions de l’ONU qui déborde carrément sur une agression au point où Vladimir Poutine déclare penser « à l’appel aux croisades à l’époque du Moyen-âge quand on appelait les gens à partir quelque part pour libérer cet endroit ».
Le ministre de l’intérieur français Claude Guéant connu pour ses réactions « désobligeantes » a déclaré «Le monde entier s’apprêtait à contempler à la télévision des massacres commis par le colonel Kadhafi, heureusement, le président a pris la tête de la croisade pour mobiliser le Conseil de sécurité des Nations unies et puis la Ligue arabe et l’Union africaine ». D’autres politiciens, analystes et stratèges du monde critiquent de façon virulente cette agression contre la Libye. Il n’y a que les dirigeants arabes qui restent amorphes, muets et abrutis bien qu’ils soient tous visés par cette stratégie de domination qui dépasse le cadre du droit international.
Dans le cas tunisien Sarkozy avait mal jugé, mais en se précipitant pour se rattraper sur cet autre cas Libyen – pensant être le 1er à avoir la bonne idée – il va certainement entrainer les choses vers l’« inconnu » selon des observateurs. Le stratège représentant la Russie à l’OTAN a déjà prédit l’issue : c’est-à-dire une guerre contre des combattants réputés farouches, contre un peuple imprévisible qui s’unira vite face à cette coalition qui tue en fait des civils qu’elle prétend défendre, qui détruit les infrastructures, les maisons de citoyens, des hôpitaux et qui s’emploie à diviser la Libye. Une guerre que les peuples arabes et musulmans surtout d’Afrique ne laisseront pas sans répercussions jusque sur le sol des agresseurs !

Journaliste indépendant

Algérian Society For International Relations
119,Rue Didouche Mourad Alger-centre
aouadi abdeljabar
Sat, 18 Dec 2010 16:06 EST
emmploi infirmier
suis infermier qui a trois ans dexperience au reanimation et urgence de centre de toxication montfleri samur jai travailler sur des ambulance priver labouratoire dans klink sokra el manzah klink tawfik berj du lac jai fais tous les stage cherurgie pidiatris medecine cardio urologie suis dinamique et polivalant jai eu le deplome detats en sience infirmier mon numero+21622892367 emaile george198505@hotmail.fr
reguieg abdelkader
Mon, 29 Nov 2010 16:49 EST
cherche de travaill
je suis tuyauteur industriel jeun cilebateur algerien j ai 29ans j ai fais mon stage en engtp et j ai 1anne d'experience avec engtp je cherche de travaill sur le domaine mon email kaderlive@hotmail.fr merci
abdelhanin
Tue, 16 Nov 2010 12:40 EST
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je suis un technicien en ginie chimique .j'ai 23ans.je cherche un travaille dans me domaine .et mercie .tel:40563296
MOHAMED HAMMAMI
Thu, 14 Oct 2010 14:35 EDT
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MON NOM MOHAMED HAMMAMI . JE SUIS TUNISIEN J'AI 24 ANS .J'AI UN DIPLOME DE ETECHNICIEN PROFESSIONNELLE EN ÉLECTROMÉCANIQUE AUTO JE CHERCHE UN EMPLOI DAN LA DOMAINE MECANIQUE AUTO MON SPÉCIALISTE PHOTOMÉCANIQUE EN CATERPILLAR EN TUNISE EXPÉRIENCE DE 3 ANS
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Mon, 27 Sep 2010 15:05 EDT
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Fri, 27 Aug 2010 08:06 EDT
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Tue, 3 Aug 2010 16:50 EDT
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je suis technicienne supérieur en technologie alimentaire de la session 2009, je suis a la recherche d'emploi j'ai une expérience pendant 1 an et demie
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fethi zaghdoud
Sat, 31 Oct 2009 11:28 EDT
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