Libye flag l'Ambassade du Libye en Doha

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Commentaires au sujet de cette l'Ambassade

abdelazize ri
Mon, 9 Jul 2012 07:47 EDT
le cheffeur d un camion
je suis marocain je cherche un contrat de travail en qatar j ai le niveu bac et un permie de conduir et jai traval 6 ans das le maroc l attend votre repense merci mon tel 00212661437763
Bachir
Wed, 21 Mar 2012 11:41 EDT
je cherche un travail
ingéniuer d'etat en génie des procédés option génie chimique mon nmr de tél est +213559106280
DHIF SLAH
Thu, 26 Jan 2012 14:54 EST
GENERAL HOTEL MANAGER
Subject : application for employement
Position allpied for : General hotel Manager
General Hotel Manager approved by the Ministry of th Tunisien Tourism for 4 and 5 stars hotels.
Attended large hotel school in Tunisia and in Germany and I have 30 years experience in Tunisia and abroad with important Tunisian groups and International fames chains : Sheration, Accor, Meridien THF...
Currently I work as General Hotel Manager for a 5 stars hotel in Tunisia and I will free starting march 2012.
Professional qualities :
Manager, Restorer, Cost Killer, Commercial, Born leader, faithful, honest, devoted ....
I am looking for a job in free Libya (laico or other campagnies)
Tel : 00216 98 405 058
E-mail Adress: dhif-slah@hotmail.fr
mezrichi abdellah
Sat, 24 Sep 2011 18:52 EDT
offre d'aide humanitaire
docteur en information et reseau telecommunica
je vous pris mon cher monsieur l'embassadeur de ma contacter j'ai une groose somme d'argent a offrir pour les peuples en besoin voila mon tele 00489 530 518
Ibrahima
Wed, 4 May 2011 00:05 EDT
Al-Jazeera
Contribution ASFIR sur la crise de libye



Al-Jazeera accusée de génocide
Par Y.Mérabet

Contribution ASFIR sur la crise de Libye



La couverture de la "révolution arabe" en Libye par la chaîne al-Jazeera et sa prise de position pour Al-Qaida et les rebelles libyens, ébranle le monde de l'information et défie toutes les chroniques. Faut-il, pour autant, « boycotter » al-Jazeera ou, pire, exiger des « mesures de rétorsion » ? Toujours est-il que la chaîne, hébergée au Qatar, ferait bientot l'objet d'une demande de mesure judiciaire…Ben-Laden utilise al-Jazeera comme sa boite postale et al-Jazeera fait le rapporteur. Après avoir destitué du pouvoir son propre père, Hamad ibn Khalifa Al Thani, l'Émir du Qatar a, lui aussi, fait sa fortune grâce au pétrole. Il est connu pour avoir financé la création de la chaîne de télévision arabe al-jazeera en 1996, responsable du génocide libyen en 2011.

Doit-on attendre que le tribunal correctionnel de Paris jugera al-Jazeera pour que la nation arabe bougera pour exiger des mesures de rétorsion contre elle?
Quant au tribunal de Paris,il a éré saisi par les autorités françaises obtenir la fermeture ou l'interdiction « à la chaîne al-Jazeera de diffuser ses émissions en France et de fermer ses bureaux » sur le territoire de l'Union européenne. Ce au motif d'une tribune libre diffusée par al-Jazeera qui avait invité un dénommé Yusuf al-Qaradavi. Lequel avait lancé un appel au meurtre visant Mouammar Kadhafi. Ce monsieur est un "savant ouléma", il anime un programme « Charia et Vie » sur la chaîne « qatarie » ; il s'exprime sur IslamOnline, il a inspiré les Frères musulmans, et tous les autres groupes terroristes y compris l'Aqmi géré par la France en Afrique du Nord et au Sahel. Le 21 février 2011, al-Qaradavi prononcé une fatwa contre Kadhafi en ces termes (adaptés de l'anglais): « Aux officiers et soldats qui sont en mesure de tuer Mouammar Kadhafi (...), je promulgue cette fatwa… ». C'est sur la version anglophone « Allez-y ! » (“Do it"), suite de la citation (...) . Ce n'est pas sa première fatwa pour souffler sur la braise qui brule le monde islamique , il a déjà prononcé une autre appelant le jihad en Algérie et au Maroc, nous avons un doute que le dernier attentat de Marrakech soit commandité à partir de Doha pour soulever la population marocain contre le roi. Voilà! l'œuvre satanique des commentateurs de l'Islam. Faudrait-il encore continuer à écouter ces " chayatines" échauffeurs d'esprit dans nos mosquées, qui se cachent derrière la révolution arabe. Sont-ils à la solde des croisés? Par leurs prêches du vendredi, ils ordonnent aux populations arabes (de toutes religions confondues) de prendre à l'assaut des édifices publiques de Damas, Deraa et d'autres villes syriennes que la puissante armée d'Israel Tsahal (Tsva Haganah lé-Israël) n'a pas pu s'approcher, en temps de guerre. Le vendredi saint des musulmans s'est transformé en "journée de la colère arabe", ou des manifestants syriens, manipulés par al-Qaida et chauffés par les "fatwas", même scénario que l'Algérie à vécu dans les années 1990. Ces manifestants transformés en démons, détruisent tout ce qui se trouve devant eux, tuent les soldats de l'armée syrienne sencés tenir l'ordre, pillent et brulent les commerces de leurs confrères syriens et détruisent les édifices publics (usines,écoles, hôpitaux etc.) que leurs enfants auront besoin plus tard. Échanger la paix sociale contre une démocratie occidentale périmée, je trouve ça dingues? Les occidentaux eux mémés n'en veulent plus de leur démocratie, il la rejette chez les arabes pour en faire d'eux des cochons.
Nous savons bien comment vivent les occidentaux chez eux, ils vivent sans dignité et sous la charité des arabes,ils n'ont rien à nous apprendre qu'ils gardent leur démocratie chez eux et nous gardons notre dignité chez nous.
Mais ce n’est pas la seule « gesticulation politique » membre des Frères musulmans et proche d'al-Qaida, de la méme école "al-Azhar" que le chef terrorite d'al-Qaida 'Ayman al-Zawahiri' condamnant Kadhafi. al-Jareeza en langue arabe multiplie les prises de parole et les tribunes visant le « Guide » de la République libyenne. Tahar Amor, secrétaire général du Mouvement pour l’amitié et la coopération entre les peuples d’Europe et de la Lybie (MSPL), qui a pris Me Isabelle Coutant-Peyre pour conseil afin d’obtenir la condamnation de Zied Tarrouche (al-Jazeera) pour « complicité d’incitation au meurtre », prend, lui, très au sérieux, cette fatwa. La citation vise aussi à « interdire la diffusion des émissions d’al-Jazeera en toute langue en France et Union européenne (…) ordonner la fermeture de ses représentations (…) de manière similaire à l’interdiction imposée à la chaîne libanaise al-Manar.
Cette fatwa ou cet avis a été répercuté sur près d’un millions de sites, la chaîne l’a rediffusé et même maintenu en podcast, en assurant en outre, selon Tahar Amor, la reprise libre de tout droit. Cela s’inscrit d’ailleurs, ce qui est constatable sur le site en arabe, dans un véritable flux d’informations et chroniques visant à soutenir le Conseil national libyen. De plus, ajoute-t-il, « il y a des objecteurs de conscience au sein d’al-Jazeera » qui sont de plus en plus mal à l’aise de constater que la chaîne ne soutient que les mouvements populaires qui conviennent au Qatar, condamnant explicitement ou implicitement les autres, ou en minorant la portée. Diverses personnalités de l’antenne l’ont d’ailleurs exprimé, voire ont démissionné tels Fayçal al-Qassem, Abbas Nasser, Ghassan Ben Jedou… Des images d’archives auraient été détournées pour les faire passer pour des actualités tournées à Banias (Syrie) ou au Yémen.
C'est bien, en termes simples, un appel au meurtre ou à l'assassinat, et en droit, un fait réprimé par la loi. D'où ce terme de protection des civiles d'autrui et cette citation en justice de l'association d'amitié et de coopération entre les peuples européens et libyens formulée par son conseil , aussi dénommée par son sigle MSPL, ou MSPlibyen, dont on ne trouve trace que sur le blogue-notes de Nicolas ou de Levy.
D’une part de ce que nous sentons que « les jeunes libyens aspirent eux-aussi à la liberté » et que « le peuple libyen désire ardemment la démocratie » et que beaucoup pensent que, comme au Maroc, les effets d’annonce du régime au pouvoir ont trop tardé à se concrétiser. D’autre part, le « peuple », dans sa présumée large majorité est à peu près comme énormément de leurs confrères arabes (Tunisiens, Egyptiens et Yéminites) sous la dictature de leurs dirigeants, soucieux de s’approvisionner, de sérénité. Peut-être prêts pour beaucoup, d’où que cela vienne, à donner crédit à qui laisse espérer d’assurer l’ordinaire.
Nombre d’Afghans ont finalement préféré le régime des Talibans à la poursuite des bombardements, combats, restrictions, &c., du temps de l’accession au gouvernement du si démocratique Tadjik Ahmad Shah Massoud (dit commandant Massoud, le héros de Bernard-Henri Lévy). Certes, c’est un résumé trop rapide, sujet à controverse.
Tout le monde veut bien reconnaître qu’il existe des pro-Kadhafi et des anti-Kadhafi dans des mesures que ce même monde ne saurait vraiment déterminer? Alors que les 80% sont des pro. et soutiennent leur Guide.
Ce flou est-il susceptible d’être dissipé par la presse en général, et par la très influente chaîne arabe al-Jazeera en particulier ? On peut vraiment en douter. De même que de la qualité de l’information à propos de la Libye, sujette à caution…et prouve sa complicité avec la coalision et l'Onu pour l'extermination des libyens.
C'est vrai que Al-Jazeera émettant en arabe peut en avoir fait beaucoup en faveur du Conseil national libyen, que moi j'apelle des "harkis" à la solde de la France, qui finirons un jour de s'échouer sur le sol français, comme les harkis d'origine algérienne. Pas dans la couverture des événements de l'instant, de l'heure ou du jour, mais en donnant bien davantage et exclusivement la parole au CNL ou à ses soutiens qu'au camp des libyens d'en face. Enfin, al-Jazeera ne se prive pas de prendre parti sur la Libye, elle ne critique plus le Qatar, qui la finance, et les Émirats voisins. Répression au Bahreïn, morts de miliers de nos frères chiites, pays envahie par l'armée du frère saoudien? Point trop parler, l'Iran revendique son golf persique usurpé par les arabes. La comparaison entre le traitement médiatique des soulèvements dans certains pays du Golfe persique (nomination originale, prouvant son appartenance à la perse antique) et de la Syrie et celui de l'insurrection libyenne vaut d'être soupesée? Une flagrante contradiction. : Le 30 novembre 2004, le CSA demandait « la suspension de la diffusion de la chaîne en Europe suite à de nombreux "dérapages antisémites"». Question dérapages « antisémites », Youssouf al-Qaradawi n'est pas vraiment en reste, sauf qu'il s'en prend rarement aux sémites arabes ; mais pour taper sur le sionisme, il vaut bien Sayed Hassan Nasrallah. Bizarrement, là, al-Qaradawi n'a pas trop choqué l'opinion française. Finalement, le CSA avait passé une convention avec la chaîne al-Manar. C'était le 17 décembre 2004.
Pour supporter le dérapage des bombardements par la coalision sur la population civiles libyenne à la recherche de la famille Kadhafi, il sont à la 2000ième victime (morts de civiles libyens), d'après les chiffres qui nous ont été communiqués par une ONG humanitaire française, alors la coalision préfère maintenant économiser des morts en utilisant des drones israéliens sophistiqués. C'est très bien, les drones, pour traquer les talibans dans les montagnes ; pour en éliminer d'éminents au Pakistan, soit « on » y parvient, soit pas, mais sont frappés « en général » une dizaine de civils qui deviennent des « dommages collatéraux ». Vu du centre de pilotage des drones, c'est peut-être plus supportable psychologiquement. À côté de cela, les « bombes médiatiques » , les effets d'al-Jazeera sur les masses arabes, paraissent quelque peu dérisoires et pleins de mensonges.
Aux débuts de la guerre Serbo-croate, il y a eu plus de tués et blessés dans la presse que parmi les combattants, à cette époque là, on pouvait pas encore soudoyer un journaliste avec des pétrodollars et les Quataris n'étaient pas encore assez riche pour se permettre au menu un 'arabe farci' au phosphore.

En Libye, il se trouve qu'al-Jazeera déploie beaucoup de monde sur le terrain et film ses figurants sur une seule piste fraichement goudronnée pour cet effet. Et à chaque tire, ses figurants lèvent les deux doigts en signe de victoire. De source sécuritaire ses figurants recrutés parmi la jeunesse libyenne, Maghrébine et aussi Égyptienne par une agence Israélite à 3000 dollars/mois en plus du butin de guerre (site Juif.org), les services financiers de l'Émir du Quatar vient de virer 325 000 millions de dollars à une banque juif en Pennsylvanie USA, pour le recrutement de 15 000 mercenaires et leur équipements, il sera viré aux familles des recrus une avance de 70 000 dollars «source,revue de Qatar Islamic Bank (QIB)».

On peut se demander si c'est pour mieux nous informer ou pour complaire à la famille régnante du Qatar, les Khalifa.
Écoutons ce que disent nos frères de la chaine al-Manar,« En Syrie, les forces de sécurité poursuivent la chasse aux terroristes. ». C'est titré : « Aveux de terroristes syriens: "Les manifestations sont armées, non pacifiques" ». C'est peu ou prou le site du secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah qui « a salué les peuples révoltés et affirmé qu'il est prêt à leur offrir toute aide nécessaire. ». Mais comme par hasard, il y a révolte et révolte, insurrection et insurrection, et comme le régime syrien n'est pas trop fermement opposé au régime iranien… « Nous nous rassemblons aujourd’hui pour exprimer notre soutien aux peuples arabes, à leurs révolutions et leurs sacrifices, surtout en Tunisie, en Égypte, à Bahreïn, en Libye et au Yémen. Cette solidarité a une valeur morale parce que la ténacité, la résistance et la persévérance de ces peuples sont à l’origine de tout ce qui se passe aujourd’hui... ». Que le régime syrien soit à majorité alaouite ne pose guère problème à la chaîne al-Manar. La chaine franco-française France-2 et tout à fait sur la même longueur d'onde qu'al-Manar, al-Arabya; MBC, al-Jazeera etc. C'est une coalision de chaines d'information au service du sionisme et de l'occident.....

Journaliste indépendant
Algéran Society For International Relations





Economie et environnement

Entrée du ‘gaz sale’ dans le marché algérien
Par :Y. Mérabet

Le pétrole ou le gaz sale des ‘carrières’ comme on l’appel, en cours d’introduction par les américains sur le marché mondial n’est qu’un pavé jeté dans la marre, une diversion de la politique américaine pour déstructurer le marché mondial du GNL en plein évolution. Le 16 avril 2010 à Oran, les majors producteurs-exportateurs de GNL et les instances internationales de la protection de l’environnement s’allieront pour faire barrage à l’entrée des hydrocarbures sales dans le commerce international. En plus de la nocivité, la rentabilité économique de l’exploitation des hydrocarbures non-conventionnels (schistes bitumineux et autres) est hypothétique puisqu’elle nécessite d’une part un prix du baril de pétrole élevé, plutôt à 100 dollars, et d’autre part un prix du carbone plutôt bas de 50 dollars la tonne de CO2, et de surcroit que certains pays européens viennent de la supprimer carrément. Ces deux facteurs ont une probabilité limitée d’être réunis que d’ici dans deux ou trois décennies pour valider cette source d’énergie.


Les schistes, l’énergie la plus sale et le plus cher de la planète.

On estime aujourd’hui que la production de pétrole ou de gaz à partir de schistes bitumineux devient économiquement viables si le prix de baril se situe autour de 100 dollars c’est du moins qu’attendent les américains pour commercialiser à grande échelle leur ‘pétrole sale’ produit à partir des carrières de schistes bitumineux. Néanmoins, la maîtrise des impacts sur l’environnement et la réduction des coûts représentent des défis majeurs à relever et corrompre le monde vert pour accepter cette calamité écologique. L’industrie des schistes bitumineux est en train de se structure en catimini entre les Etats fortement industrialisés en panne d’énergie. On assiste aujourd’hui à l’émergence de nouveaux projets, notamment aux Etats-Unis, en Chine, en France, au Brésil, en Jordanie, au Maroc, avec des acteurs industriels qui cherchent activement des partenaires. Le nombre croissant d’acteurs se positionnant sur des projets d’exploitation laisse augurer un développement important des schistes bitumineux, source de pétrole de l’après-pétrole disent les un, permises d’un malheur écologique de notre planète disent les autres. L’affaire de manque d’énergie aux Etats-Unis a atteint son paroxysme, le pentagone planifie des actions militaires au Moyen-Orient pour assurer ses approvisionnements en énergie, des chiffres astronomiques sont bazardés par l'administration américaine pour l'information sur l'énergie (United States Energy Information Administration) qui estime les réserves mondiales de schiste bitumineux (énergie fossile non-conventionnelle) à 2800 à 3100 milliards de barils de pétrole (450 à 520×109 m3) potentiellement exploitables, dont 1000 à 1200 milliards de barils aux Etats-Unis , ces chiffres semblent exagérément gonflés, vraisemblablement de l’intox. Cependant, il ne faudrait pas cacher que des tentatives pour exploiter ces réserves ont cours depuis plus d'un siècle, bien avant l’invasion pacifique de l’Arabie Saoudite et du Koweït par les américains, l’occupation militaire de l’Irak et la tentative d’occupation de l’Iran , ont pour l'instant connu des résultats limités (temporaires). Le kérogène présent dans les schistes bitumineux peut être converti en pétrole à travers le processus chimique de la pyrolyse, ce que faisait le führer Adolphe Hitler, pendant la deuxième guerre mondiale pour palier au blocus des approvisionnements en carburant, que lui imposaient les américains et leurs alliés. Les schistes bitumineux peuvent aussi être brûlés directement comme un combustible de basse qualité pour la création d'énergie et le chauffage, et peuvent être utilisés comme matériau de base dans les industries chimiques et des matériaux de construction, c’est exactement comme cette bouse de vache que nos grandes mères utilisaient pour chauffer leur four traditionnel, et nos ancêtres l’utilisèrent comme mortier de construction, il y’a de ça deux siècles. Le gaz et le pétrole non-conventionnels sont des hydrocarbures sales et polluants, leur rendement est mauvais : cinq fois plus chers que le pétrole traditionnel avec bilan énergétique est très faible, voire négatif, dans le sens où l’énergie utilisée pour obtenir le pétrole est souvent supérieure à celle obtenue en brûlant le combustible. De plus, d’énormes quantités de vapeur d’eau sont consommées : il faut un à quatre barils d’eau chaude pour un baril de pétrole. Les schistes peuvent-être comparés à une mauvaise houille, plus mauvaise que celle qu’utilisent les chinois pour produire leur énergie et polluer notre planète.
L’utilisation des schistes comme combustible est une erreur écologique très grave, son impact sur l’environnement reste très mauvais, d’autant plus que certaines questions comme le stockage des cendres nocives restent en suspens. Au niveau international, l’expérience la plus connue est celle de la République d’Estonie où 90% de la production d’électricité provient de centrales thermiques fonctionnant aux schistes bitumineux ; d’ailleurs, ce changement de mode d’énergie s’est traduit par le retour de maladies chroniques : comme les crises respiratoires, des cancers et plus grave encore le retour du bacille de Koch (tuberculose). Le budget de la santé de l’Estonie a été augmenté de 6,4% pour palier aux maladies dues à l’exploitation des carrières de schistes. Pour ce qui de l'extraction des schistes que renferment les sables (sable bitumineux), ces sables nécessitent des quantités considérables d’eau douce et d’énergie (souvent de gaz naturel) et pourrait tripler les émissions annuelles de gaz à effet de serre. Au Canada, plus de 4 000 km2 de forêts ont déjà été détruits au détriment de la lutte contre le réchauffement planétaire pour produire ce pétrole non-conventionnel créant un déficit de 1,3 milliards d’absorption de tonnes de C02. Des rivières sont détournées et polluées pour fournir les énormes quantités d’eau nécessaire à l'extraction et à l'exploitation du non-conventionnel. Vu par satellite, de gigantesques trous béants défigurent la carte géographique canadienne, donnant l’air d’une planète galeuse ou les petits déserts commencent à naitre. Ce n'est pas seulement l'environnement qui est détruit, c'est aussi la santé humaine qui est menacée. La présence de substances chimiques toxiques ou de métaux lourds comme le mercure dans les lacs et les rivières autour des sites d'exploitation compromet la qualité de l’eau potable, de même que la santé des animaux qui boivent cette eau et des poissons qui y vivent. Quand les humains consomment ces animaux ou ces poissons, ils ingèrent en même temps les substances chimiques que ceux-ci ont consommées. L’exploitation des carrières schisteuses a crée des mines à ciel ouvert ou gitent ces immenses déchets miniers toxiques. Des quantités colossales de gaz et de carburant sont nécessaires pour la survie de l’Amérique en quête d’énergie de ‘bonne occasion’ et elle n’a pas trouvé mieux que d’utiliser la bouse de vache pour sauver son économie dégringolant. Au final, les émissions de gaz à effet de serre sont énormes et inquiétant. La production d'un baril de pétrole issu des sables bitumineux est trois à cinq fois plus émettrice de gaz à effet de serre qu'un baril de pétrole conventionnel, mais les Etats-Unis d’Amérique préfèrent faire des économies au détriment de la santé de leur population et du bien-être des habitants de la planète. Un égoïsme démesuré si les américains pensent que l’environnement a des limites frontalières géographiquement déterminées et que chaque pays fasse ce qu’il veut sur son territoire. Le réchauffement planétaire provoqué par les pays fortement industrialisée en occurrence les Etats-Unis et l’Europe et aussi ressenti par les lointains pays pauvres de la planète, ces dernier désindustrialisés dépouillés de leur richesses minières, émettent zéro (0) carbone dans l’atmosphère. Les riches et les pauvres se désolidarisent sur de l’équilibre de la balance de l’émission du C02, les Etats-Unis, l’Europe et la Chine de moindre importance ‘crachent’ dans l’atmosphère plus de 90% du volume mondial de rejet de CO2. Ils sont maitres à bord des calamités naturelles et du réchauffement planétaire. Greenpeace dénonce ce crime environnemental et demande aux pouvoirs politiques de bannir les pétroles non- conventionnels comme les sables bitumineux et de réduire nos émissions de gaz à effet de serre!

Les américains veulent concurrencer le GNL avec de la bouse de vache

L'exploitation des gaz non conventionnels est une contravention infligée au protocole de Kyoto, écologiquement parlant ; mais économiquement il n’affectera pas le marché conventionnel du GNL. Longtemps, le marché du gaz est resté structuré et localisé, limité par le développement des réseaux de gazoducs entre les zones de production et celles de consommation. De grands efforts ont été consentis par les pays producteurs de gaz sur l’investissement des énergies propres plus particulièrement le gaz naturel qui égaille par sa ‘flamme bleue’ des millions de foyers à travers le monde. Cette même énergie tient promesse et participe efficacement au développement de l’industrie de pointes des pays fortement industrialisés et les pays émergeants. Le GNL, transporté par méthanier, a ouvert un marché au niveau mondial. Les usines de liquéfaction se sont multipliées en Algérie et au Moyen-Orient, notamment pour répondre aux marchés américains et japonais et leur servir un produit hautement raffiné de bonne qualité.
Le développement brutal, aux Etats-Unis, des gaz non-conventionnels pourrait remettre en cause les lourds investissements consentis pour le développement de l’industrie gazière mondiale, si la lutte contre le réchauffement planétaire s’affaiblie. Les gaz non-conventionnels pourraient en effet permettre aux Etats-Unis de se défaire des importations de gaz et attiser son échec sur la convoitise du pétrole du Golf Persique et devenir le premier pays exportateur de ce gaz sale et couteux, une chance peut-être des pays exportateurs de gaz de qualité de voir les prix grimper au dessus des 100 dollars la Tep, seul de rentabilité du gaz non-conventionnel. D'autant que le gaz naturel est envisagé comme l'une des énergies de demain, notamment pour produire de l'électricité (centrales associées à des techniques de captage, stockage de CO2 , que recommande le protocole de Kyoto et la conférence de Copenhague) Le marché du gaz qui de se redessine aujourd'hui avec l’entrée ‘des hydrocarbures sales’ serait brouillant pour les perspectives à court, moyen et long terme. Brutalement la carte gazière s'est complètement transformée. Dans un premier temps, le développement du gaz naturel liquéfié (GNL) a ouvert un marché mondial en parallèle des marchés traditionnels régionaux (le transport par gazoduc limitait les échanges jusqu'alors) et des marchés spots aux côtés des contrats de long terme, rendant déjà imprévisible un marché qui jusque là était assez serein. Aujourd'hui, c'est le développement des gaz non-conventionnels aux Etats-Unis qui perturbe le marché en créant une ‘bulle gazière’. L'exploitation de ces gaz aurait presque doublé en deux ans, modifiant la demande extérieure américaine. Cette évolution endogène ajoutée à une baisse de la demande mondiale en raison de la crise (-5 % en 2009), a en effet laissé de larges stocks de gaz, faisant chuter les prix. Aux Etats-Unis déjà, le charbon est désormais abandonné au profit du gaz, devenu compétitif et moins émetteur de CO2. Le retour à l’utilisation du gaz non-conventionnel comparable au retour de la houille sur le marché, n’aura aucune chance de concurrencer le GNL, c’est une question d’appréciation de confort et de qualité. L'abondance des gisements et le coût peu élevé de cette ressource fait craindre à certains une exploitation massive du gaz au détriment des énergies ''propres'' et un abandon des mesures d'économies d'énergie.
Conclusion : Pour le moment, les pétroles non-conventionnels ne couvrent que 5% de la consommation et les coûts sont prohibitifs. Mais certains experts optimistes estiment qu'avec la raréfaction du pétrole, la hausse des prix permettra aux pétroles non-conventionnels de combler la différence. La pollution générée va certainement restreindre leur utilisation jusqu'à ce que le déclin du pétrole soit vraiment avancé dans deux décennies peut-être. Cette alternative au pétrole conventionnel pourrait au moins être utilisée comme matière première et fournir les produits que les autres sources d'énergie ne peuvent pas (plastiques, engrais, etc.), bien qu'elle ne soit pas idéale en raison de l'intense consommation d'énergie nécessaire à la production, une fois le pétrole conventionnel épuisé, il s'agirait d'une des rares options pour l’après-pétrole américain. Le temps et l'argent nécessaires pour augmenter la production des schistes seraient énormes pour passer de 5% à 100%, mais suffisant pour alimenter leurs industries pétrochimiques en matière première, laissant l’énergie électrique aux sources renouvelables notamment: le solaire, l’éolien, et l’hydrogène etc. et au nucléaire, une fois la validation faite.

Expert en énergie
Algérian Society For International Relations
Posté par zino, 03 avril 2010 à 16:17
Ibrahima
Fri, 22 Apr 2011 18:33 EDT
Libye
Sarkozy précipite le monde dans l'inconnu
Par Y.Mérabet


« Le colonel Kadhafi est un homme hautement respecté dans son pays et en Afrique. Ce respect n’est pas lié, comme aiment à le clamer les langues chagrines, aux pétrodollars, mais à ses actions. Il a été de tous les combats de libération des peuples » Calixthe Beyala


Les journalistes arabes, d'Al-Jaazira et de l'Arabya

Sans l'aval de la majorité française, Sarkozy, déclare donc que « Kadhafi doit partir immédiatement. Nous appelons tous ses partisans à le quitter avant qu’il ne soit trop tard. Nous appelons tous les Libyens qui estiment que Kadhafi mène la Libye à la catastrophe à se mobiliser dès à présent pour forger un processus de transition ». Voilà ce que l’on appelle de l’ingérence pure et simple ; ce qui est en contradiction avec la charte de l’ONU ! Au nom de qui parle t-il ? Du peuple libyen ? Des dizaines de milliers de manifestants battant le drapeau vert de la liberté soutiennent Kadhafi ? Des centaines de personnes qui accourent pour occuper les places et endroits jugés importants pour servir de boucliers humains afin d’empêcher leurs bombardements ? Il ne connait rien de ce peuple!
Kadhafi n’est pas un dictateur, comme le disent les croisés, c'est bien Sarkozy qui l'est, au sens où on veut nous le faire croire. Son pays est riche, son peuple vit correctement et le chômage est négligeable. C'est un pays plus transparent et plus démocratique que le reste du monde arabe, nous avons vu à la télévision comment ces journalistes arabes, se sont fait embobinés par ces traitres d'Émirs du golf, Ils ont été payés pour déformer l'image de la Libye et de son Guide, Ils saluent les bombardements par des avions Qataries sur la population civile libyenne, ces mécréants de l'islam tuent nos frères et nos enfants. De quel coté sont-ils? Du coté des croisés qui veulent exterminer la « Oumma muslima ». Sont-ils drogués, pour commettre ce crime? Veulent-ils prendre sur la conscience la mort de leur confrères arabes? Autant de questions,sans réponse pour cette tragédie arabe...
Les journalistes arabes d'Al-Djaazira et d'Al-Arabya, à la solde des émir arabes et des croisés, ont détruit l'entité arabe, il ne reste plus rien. Ces mercenaires-journalistes, une fois revenus à la raison, ne serviront à rien, ils seront rejetés par la 'Oumma Islamia'. Leur forfait est immoral?

Les efforts consenties par le Guide libyen pour le développement de son pays, sont énormes, le peuple libyen devait normalement s'en réjouir : La Libye est classée par rapport aux normes du PNUD en bonne position. Son IDH (indice de développement humain) en 2007 est de 0,847, ce qui la place au 56ème [Norvège : 0,971 (1er ); Arabie Saoudite : 0,843 (59ème ) ; Tunisie 98ème ; Algérie 104ème ; Egypte 123ème ; Maroc 130ème ]. Il est élevé et en augmentation. l'Indice « santé » passe de 0,496 en 1970 à 0,863 en 2010
Sachez, bien qu'en 1951, la Libye, longtemps appelée « royaume du vide », accède à l’indépendance dans le plus complet dénuement. Elle est le fruit de l’union anachronique entre un impérialisme britannique déclinant et une confrérie musulmane saharienne, les Senousis (dont le roi est issu). Sa seule exportation ? La ferraille ramassée sur les champs de bataille de la seconde guerre mondiale.
Sans doute Muamar Kadhafi est un pétrolier, comme ces grands américains qui gouvernent la planète, aura-t-il fait montre d’un esprit plus rationnel dans la conduite des affaires du secteur que dans ses autres initiatives politiques, intérieures ou extérieures — peut-être parce qu’il s’en est moins mêlé. Sans doute, aussi, les pétroliers du monde entier ont-ils appris à vivre — et à gagner de l’argent, beaucoup d’argent — dans l’environnement libyen, particulièrement instable sinon hostile. Ses rares partenaires le tenaient pour imprévisible, incohérent et capricieux. En 1986, le président américain Ronald Reagan l’avait avait envoyer la VIe flotte bombarder la Libye et de lui imposer un embargo pétrolier sévère. L’homme faisait alors figure de paria... Pourtant, le colonel Muamar Kadhafi a réussi, vingt ans après, à ramener son pays dans le peloton de tête des exportateurs de pétrole. Comment une telle prouesse a-t-elle été possible ?
La Libye est le 4ième pays producteur de pétrole d’Afrique, derrière le Nigeria, l’Algérie et l’Angola. Surtout, elle dispose des plus importantes réserves prouvées du continent africain. Son brut est de la meilleure qualité, la Libye est en face de l'Europe en quête d'énergie, très pauvre en ressources, perpétuellement en crise, un avantage pour ses approvisionnements pétroliers. Enfin, compte tenu de sa faible population, et de son développement industrielle faible, la Libye restera longtemps un exportateur de premier plan.

Une seule chose intéresse les pays occidentaux : « piller, piller sans arrêt.. les richesses arabes et africaines ». Une accusation qu'aucun ne renie et des échos dans la rue arabe et ailleurs, dans la presse africaine et jusqu’au Venezuela, où le président Chavez présente les Occidentaux comme des « seigneurs de la guerre » qui veulent « s’emparer du pétrole des libyens ». De fait, les pétroliers occidentaux, et tout particulièrement les groupes Français et Italiens, auront pas mal à perdre, et peut-être beaucoup plus encore à gagner, à l’issue du gambit dans lequel la rébellion libyenne les force à s’engager. L’Italien ENI est présent en Libye depuis la fin des années 50, et n’a jamais menacé de quitter le pays, pas même dans les années 80 et 90, lorsque Muamar Kadhafi lutter contre le néo colonialisme occidental et les croisés.
Pour les pétroliers français, se seront les plus grands perdants. Les activités de Total en Libye sont beaucoup plus modestes que celles d’ENI, avec une production de seulement 55 000 barils par jour. Mais au cours de la dernière décennie, le groupe français a découvert plusieurs nouveaux gisements, et dispose de contrats qui le lient potentiellement à la Libye jusqu’en 2032, en plus tout un éventail de contrats la vente d'armement, de centrales nucléaires et d'industries divers.Bien que la compagnie pétrolière nationale libyenne contrôle la majorité de la production du pays, Tripoli ouvrait jusqu’ici un large accès aux compagnies étrangères à travers des joints ventures, pour bénéficier de l’expertise et des capitaux nécessaires afin de maintenir la production nationale. Comme l’expliquait le directeur de la stratégie de Total quelques jours avant que la révolte libyenne ne prenne toute son ampleur, « le régime en place a absolument besoin des compagnies pétrolières internationales » pour « améliorer le potentiel du pays (…) où l’on trouve des champs matures, et où il reste de grandes marges pour l’exploration et le développement ».

La France viole la souveraineté de l'État libyen

Qu’est-ce qui prend la France, de s'ingérer, dans les problèmes internes de la Libye? Pour la liberté et les droits de l’homme? Un faux prétexte ! La France est connue par la population de l'Afrique du Nord, comme un État hypocrite et mesquin, l'histoire d'Algérie est là pour témoigner, Bugeaud n'a t-il pas trahi le traité de la Tafna, signé avec l'Emir Abdel-Kader? Sarkozy, lui aussi a trahi son ami Muamar Kadhafi , en lui lançant des bombes dessus la tète
Selon sa rencontre avec des membres de ce «Conseil Libyen», un ramassis de sans papiers que Sarkozy a déniché dans les vieux hôtels de Barbes en fait d'eux une légion, en présence de Bernard-Henri Levy, il a été discuté de la reconnaissance de cette légion comme opposition au Guide libyen, sans consulter les pays africains et plus particulièrement les pays amis et voisins de la Libye, nous trouvons ça insolent, de la part de la France? Il a aussi été discuté, de la possibilité de brouiller les transmissions militaires de l’armée de Kadhafi, de détruire son ‘bunker’, de neutraliser les trois aéroports et d’imposer une zone d’exclusion de vols en plus du blocage des avoirs Libyens. En clair, détruire le régime libyen !
L'Union européenne s'en sort d'une manière encore plus pitoyable. En effet, si le premier objectif de Sarkozy était de démontrer l'incohérence et la faiblesse de la politique étrangère européenne, il n'aurait pas pu faire mieux. Le «ministre des Affaires Étrangères» européennes , Catherine Ashton, a été évincée de Libye. Les institutions européennes n'y ont joué aucun rôle. Comme l'a parfaitement dit une tribune du Monde: le dossier libyen «démontre l'immaturité de la politique européenne de sécurité et de défense: indigence du débat politique et inadaptation des cadres de planification et d'intervention». Personne n'imagine l'Europe sortir renforcée de ce dossier, même si le président français y arrive.
Kadhafi combat le terrorisme contrairement à Sarkozy qui le finance en payant des rançons. Malgré ce qui parait élucubrations, il est plus au fait des manigances occidentales et plus clairvoyant que ceux qui affirment diagnostiquer en lui un «tyran», un « autocrate » et tutti-quanti qui justifierait une guerre « humanitaire » alors qu’il est question de pétrole et de gaz et rien que de pétrole et de gaz ! En effet, avec des réserves prouvées de plus de 46 milliards de barils soit 3,5% des réserves mondiales, le double des EU, la Libye est bien la convoitise prioritaire qui la place ‘objectif’ dans le programme militaire pour le contrôle et l’appropriation des 60% prévus des réserves mondiales.
Les guerriers-philosophes français disent ; la « chance est la qualité la plus importante d'un général » et Sarkozy sera peut-être en veine en Libye. De son avis personnel, les rebelles pourraient gagner peut-être, et... Il pourrait restaurer sa popularité en faire un cadeau aux juifs d'israel dont, il fait partie. L'aventure comme à l'aventure, rien à perdre, rien à gagner: c'est un non-français de souche, un trimbaleur de valise, quitte ou double, il finira par rentrer au bercail chez ses pairs Tsiganes de Hongrie.
Le président français, Nicolas Sarkozy, a perdu de sa popularité à cause de la corruption de son gouvernement, parce que l'économie française est plus faible qu'elle ne devrait l'être, parce qu'il a, avec son ex-ministre des affaires Étrangères, choisi le mauvais camp en Tunisie, et parce qu’il est versatile et imprévisible. Il n'y a pas non plus de fausse guerre. La zone d'exclusion aérienne en Libye est bien réelle, tout comme le sont les bombardements censés aider les rebelles libyens. Trois Français sur quatre ne font pas confiance à Sarkozy. Près de trois Français sur quatre (74 %) ne font pas confiance à Nicolas Sarkozy et deux tiers (66 %) n’ont pas non plus confiance dans François Fillon, selon un baromètre Harris Interactive publié dans le Parisien/Aujourd’hui du lundi 11 avril 2011. La cote de confiance du chef de l’Etat s’établit à 20 %, en baisse de deux points par rapport au baromètre de mars. Celle du Premier ministre, à 26 %, est en recul de trois points.
Il n'y pas non plus de consultant sournois tapis en coulisses. Au contraire. L'homme qui a présenté Sarkozy aux rebelles de Benghazi n'est autre que Bernard-Henri Lévy, un pop, d'origine juive, si français qu'on n'arrive pas à trouver d'équivalent américain. Nous n'avons tout simplement pas de philosophes aux chemises constamment déboutonnées, mariés à de blondes actrices, et qui s'engagent, avec enthousiasme, pour des guerres, que ce soit au Bangladesh, en Angola, au Rwanda, en Bosnie, et au-delà; à l'origine de plusieurs massacres en Afrique, Tutsis, Ivoiriens, Tchadien, Libyens etc. Et encore ce sanguinaire de Sarkozy continu à plaider pour une intervention humanitaire en Libye. Sarkozy espère clairement que le massacre libyen le rendra populaire en France et briguera un deuxième mandat présidentiel. Certains éléments de cette histoire sont familiers. La France envie depuis longtemps non seulement le leadership américain dans le monde, mais son statut de démocratie en chef: les Français considèrent être autant liés que nous à l'invention de la liberté, de l'égalité et de la fraternité*, et ils veulent, aussi, s'en voir attribuer les mérites.Mais l'obstination de ce président à prendre des risques pour jouer un rôle – n'importe quel rôle, quel qu’en soit le prix – pour la gloire de la France, et la sienne propre, est sans précédent. Charles de Gaulle avait tenu tête à l'Otan à une époque où la France était protégée par le parapluie nucléaire américain. L'enthousiasme de Sarkozy pour une guerre dont il ne peut prévoir les conséquences arrive à un moment où l'Otan est divisé, et ou l'Union européenne – depuis sa création la pièce maîtresse de la politique étrangère de la France – n'a jamais été aussi faible. Dans l’intérêt de ce qui reste de solidarité au sein de la coalition, aucun membre de l'Otan n'a opposé son veto à l'opération en Libye, sous l'impulsion du Président Obama. Mais l'Allemagne et la Turquie – deux piliers historiques de la coalition – l'ont combattue publiquement, et avec véhémence. D'autres fulminent en silence. Selon une source de première main, Sarkozy, en personne, n'a accepté de mettre ces opérations sous commandement de l'Otan que parce que la Maison Blanche a menacé de s'en désinvestir totalement. Il aurait apparemment pensé que l'armée américaine allait continuer à soutenir une intervention qu'il commandait. Raids aériens; villes conquises puis reperdues; l’Otan et le groupe de contact; la CIA et Al-Qaeda; les Américains et Sarkozy; la situation en Libye peut paraître complexe, depuis le 7 mars 2011, début des opérations de la coalition.
Bernard-Henry Levy, ce missionnaire des néoconservateurs américano-sionistes qui s’incruste toujours là où cela sert les intérêts d’Israël, apparait dans cette affaire l’architecte chargé de faire sous-traiter « l’opération Libye » par la France.
Il est rapporté par la presse occidentale, en particulier par ‘Libero’ (Italie) citant des documents de renseignement français, que la «révolte populaire» contre Kadhafi a été orchestrée par Paris depuis le mois d’octobre 2010 après la trahison de l’homme de confiance de Kadhafi, Mesmari, qui a trouvé refuge à Paris. À la mi-janvier, le plan pour le renversement de Kadhafi était près et les meneurs en place à Benghazi. Certaines fuites se sont parvenus à certains pays amis de la Libye, et Kadhafi fut averti en fin aout 2010, le temps de se préparer militairement surtout. Kadhafi a ses puissants services de renseignement dont il ne fait pas entièrement confiance, il sous-traite le renseignement avec d'autres services étrangers.
Bernard Henry Levi, a rencontré Mostafa Abdeljalil, une personne qui avait ses comptes personnels à régler avec Kadhafi, après une minutieuse enquête des services de renseignements français, cet intrus fut présenté fut invité au 'Souk de l'Elysée' pour étre nommé à la téte de la rébélion libyenne, le titre de Président du Conseil Libyen lui fut attribué par Sarkozy. Par simple discision personnelle de l'individu Sarkozy, le Président de la Jamahiria Al-Arabia élu par son peuple, fut destué et remplacé par un comité de rebelles? Depuis quand la France, gère les Etats souverains? Alors que fait Ban Ki-moon à l'ONU, que font les ambassadeurs arabes dans cette institution?
C'est Sarkozy, qui a inventé sa rébellion en Libye et a installé des rebelles à sa tête. Une rébellion que dirigent 04 principaux opposants connus pour leurs liens avec la NED/CIA qui vivent aux USA et en Angleterre depuis plus de 35 ans (03 ont des passeports Américains et un anglais) et deux autres sont des dissidents de dernière minute (Mostefa Abdeljalil ex ministre de la justice que les libyens ne cessent de dénoncer les frasques et avidités ainsi qu’un officier supérieur connu pour ses déboires et ses félonies au Tchad . Ils apparaissent à tour de rôle dans les 04 chaines Aljazeera, Alarabia, Alhurra et la BBC.
Reconnaitre une telle entité vague composée de rebelles ne maîtrisant pas les buts et l’évolution de leurs actions, qui se déclarent « révolutionnaires » – en adoptant et exhibant le drapeau de l’ex monarchies – comme «représentant légitime» d’un peuple qui dispose déjà d’un État souverain, reconnu et membre de l’ONU, en le menaçant de frappes aériennes pour accélérer la chute du pouvoir légal, est la pire stupidité politique.
Cette monarchie Idrissienne, vassale de la Couronne d’Angleterre, que Kadhafi a fait abdiquer un certain 1er septembre 1969. Des « révolutionnaires » qui sollicitent des frappes destructrices de ce qu’ils disent être leur pays et qui ne s’offusquent pas de voir des centaines de civils tués, des milliers de bléssés, y compris des enfants, par les bombardements de l’aviation de la coalition Américano-Anglo-Franco-Qataro-Emirati ? Quelle déchéance !

Al-Qaeda et Sarkozy derrières la rébellion

Les multiples références de Kadhafi aux «jeunes drogués par Al-Qaida» lors de ses discours hallucinés avaient discrédité l’hypothèse d’une présence importante de terroristes sur le territoire libyen. De plus en plus, cette question revient sur le devant de la scène. Elle inquiète notamment les conservateurs américains, qui ne veulent pas prendre le risque d’aider, voire d’armer indirectement des terroristes que les États-Unis combattent sur d’autres fronts. Selon le patron militaire de l'Otan, l’Américain James Stavridis, des «signes de présence» d’Al-Qaida ont été ainsi détectés parmi les rebelles. Sans établir forcément de liens avec cette organisation, lors de ses reportages, Christophe Ayad, envoyé spécial de Libération, a pu toutefois noter que certains rebelles étaient plus habiles que d’autres: «Certains d’entre eux manient le lance-roquettes avec une familiarité déconcertante. Quand on leur demande où ils ont appris, ils se contentent de sourire. La plupart viennent du djebel al-akhdar, la Montagne verte, dans la région de Derna et d’Al-Bayda, où un maquis islamiste a tenu tête à Kadhafi au milieu des années 90.»
Pour Seth Jones, ancien conseiller du Pentagone pour les opérations spéciales, interviewé par l’AFP, il faut au contraire «partir du principe» qu'une partie des armes risque de tomber dans les mains d'Al-Qaida.
Selon plusieurs médias américains dont le New York Times, de «petits groupes» d'agents de la CIA sont déployés sur le terrain pour prendre contact avec la rébellion et guider les frappes de la coalition. Barack Obama aurait donné l'autorisation d'aider secrètement les rebelles. De plus, selon la chaîne ABC, «des dizaines de membres des forces spéciales britanniques et d'agents du service d'espionnage MI6 travaillent» également en Libye. En particulier pour recueillir des renseignements sur les positions des forces loyalistes. Il est plus que probable qu’il y ait aussi des forces spéciales françaises. L’envoi de troupes militaires officielles, comme en Afghanistan et en Irak, est pour le moment formellement écartée
Depuis le début des interventions le 19 mars, Barack Obama est critiqué par une partie de sa base, et par les conservateurs. Les premiers lui reprochent de s’engager dans un nouveau conflit onéreux. Les seconds d’avoir tergiversé et donné l’impression qu’il avait été presque forcé par Sarkozy de partir en guerre. Le lobby juif américain très proche de Nicolas Sarkozy qui lui aussi juif a fait pression sur Obama pour engager l'armée américaine dans le conflit, cet engagement sert les intérêts politiques internes du président français. l'heure actuelle, malgré un discours récurrent autour de l'idée que les États-Unis ne sont qu'en soutien, l'armée américaine a pour le moment assuré la majorité des opérations.
Un effet anecdotique, mais symbolique sur le terrain. De nombreux rebelles arborent plutôt le drapeau français, remerciement sans doute à l'activisme diplomatique de la France.On ne voit pas de drapeaux américains sur les photos des agences de presse. Les trois difficultés qu'éprouvent les rebelles pour combattre les forces loyales du Guide libyen : Les rebelles ne sont pas des soldats. Malgré toute leur bonne volonté, ils n'ont aucune expérience de la guerre. Ils font penser à Fabrice del Dongo, le héros de la Chartreuse de Parme de Stendhal, qui se rend à Waterloo persuadé que la guerre est une chose magnifique et qui est finalement complètement impuissant et balloté d'un endroit à un autre. L'impétuosité de la jeunesse ne suffit pas face à l'armée de Kadhafi qui reste encore organisée malgré les bombardements.
•Lors d'opérations de guérillas, en territoires accidentés ou dans une ville, l'inexpérience peut être compensée par un terrain favorable. Ce n'est malheureusement pas le cas en Libye. Toute la guerre se déroule le long d'une unique route côtière, qui traverse quelques villes. Ils est donc très facile d'avance rapidement et de reculer tout aussi rapidement. Des dizaines de voitures équipés de mitrailleuses font une interminable va et vient sur une route goudronnée neuve, préparée à l'avance pour tourner le film.
•Troisième point, l'esprit de guerre, on a l'impression de voir et de suivre un jeu vidéo, ou des enfants à peine la quinzaine d'année exhibent des tires en l'air de mitrailleuses, fixent leurs mitrailleuses sur une cible imaginaire et tirent de longues rafales, puis lève ses deux doigts en l'air et crie ' Allah Akbar..Allah Akbar'. .
L’idée est de plus en plus évoquée, mais elle est polémique. La résolution de l’ONU le permettrait, selon la coalition, ou au contraire non, selon plusieurs pays hostiles depuis le départ à l'intervention, comme la Russie.Selon Michael O'Hanlon, expert à l'Institution Brookings, interviewé par l’AFP, «si des livraisons devaient avoir lieu, elles concerneraient sans doute des lance-roquettes antichars, des systèmes de communications et des médicaments», c'est aussi une façon d'affaiblir les forces libyennes pour que les rebelles et Al-Qaida prennent le dessus, sur qui? Sur Kadhafi et la majorité écrasante de civiles qui manifestent le maintient du pouvoir Kadhafi . Les rebelles réclament régulièrement une telle aide. «Nous voulons deux choses: que les avions bombardent les chars et l'artillerie lourde de Kadhafi et qu'on nous donne des armes pour qu'on puisse se battre», Peut-on localiser exactement l'endroit ou se trouve Kadhafi et le bombarder sans faire tuer des civiles pro-Kadhafi ? c'est vraiment absurde? Cette idée d'armer les rebelles vient d'Al-Qaida , qui après avoir raflé tout l'armement des casernes libyennes, voudrait d'autres armes plus sophistiquées pour combattre plus tard les chrétiens, puisqu'il s'agit d'une croisade franco-anglaise contre un pays musulman. Hugo Chavez, opposant acharné des américains, selon lui, Kadhafi «fait ce qu'il a à faire: résister à une agression impériale. Même si le président d'un pays est le pire des despotes, il n'est pas justifié qu'un groupe de pays le bombarde et commence à tuer des innocents au nom de la paix».
Par de l'argent taché de sang, la France veut sauver son industrie militaire en faillite
L'industrie militaire française, qui emploie plus de 100 000 ouvriers souffre de la mévente de sa production et risque de fermer ses portes, il a fallu un juif-français qui face ça,ce sale boulot, ré-ouvrir le marché de la mort, tuer et vendre en même temps sa ferraille aux arabes qui ne savent utiliser leur fortune. Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.
La population libyenne est en train de payer cette publicité par les destructions, les morts et les blessés qu'elle provoque en son sein, et pas seulement parmi les soutiens de Kadhafi. Mais elle va également coûter cher aux contribuables français. Ainsi, l'heure de vol d'un Rafale est évaluée à 40 000 euros, à quoi il convient d'ajouter le prix des missiles et autres munitions utilisées. Pour les autres avions, les tarifs varient de 15 à 30 000 euros. Quand on sait qu'en trois jours les Rafale et autres Mirage ont effectué un total de 400 heures de vol, la facture promet d'être salée. D'autant que la marine est également partie prenante, avec notamment le porte-avions Charles-de-Gaulle avec ses 2000 marins, dont les ronds dans l'eau reviennent à 50 000 euros de l'heure. Sans compter le coût des navires affectés à sa protection et son ravitaillement. D'émir de Qatar s'est engagé à déposer un chèque de 11 milliards de dollars si Sarkozy fait tomber Kadhafi, question de L'intervention française en Libye : Une facture salée pour les contribuables Français. Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.La population libyenne est en train de payer cette publicité par les destructions, les morts et les blessés qu'elle provoque en son sein, et pas seulement parmi les soutiens de Kadhafi. Mais elle va également coûter cher aux contribuables français Ainsi, l'heure de vol d'un Rafale est évaluée à 40 000 euros, à quoi il convient d'ajouter le prix des missiles et autres munitions utilisées. Pour les autres avions, les tarifs varient de 15 à 30 000 euros. D'autant que la marine est également partie prenante, avec notamment le porte-avions Charles-de-Gaulle, dont les ronds dans l'eau reviennent à 50 000 euros de l'heure. Sans compter le coût des navires affectés à sa protection et son ravitaillement.
Quand on sait que jusqu'à présence avec les bombardement français sur la population libyenne ont couté 7,3 milliards de dollars. Il faudrait compter jusqu'au 3 mai 2010 que la colère de l'Émir passe pour et que la somme du chèque soit consommée, pour la France cesse de tuer des civiles libyens, et juste le temps qu'un émir d'Al-Qaida sera installé en Libye pour prendre la relève du Guide libyen.

Cet empressement et activisme de la France à vouloir chasser « Kadhafi et sa clique » n’a pas eu l’approbation de toute l’Europe; en particulier de l’Allemagne. Pour avoir plus de légitimité, Sarkozy et ses maîtres cherchent alors une caution surtout arabe pour mener «sa guerre» qu’il trouve chez le méprisable Amr Moussa l’inamovible Secrétaire Général de cette perverse et putréfiée Ligue dite « arabe » que domine les pétrodollars du Golfe. Le silence des États-membres de la Ligue arabe , laisse encore aller plus loin, le chef de la Ligue Arabe, Amr Moussa, qui a déclaré dimanche 11 avril 2011 que son organisation allait demander au conseil de sécurité des Nations Unies d’imposer une zone d’exclusion aérienne au-dessus de Gaza, comme c’est le cas au-dessus de la Libye. Une zone d’exclusion aérienne qui sera difficile à faire appliquer aux quelques 170 roquettes et obus de mortier tirés ces dernières 48 heures sur Israël, répliquent tout de suite Israël.
Dans cette ambiance de l’outrage contre la Libye et de la formidable campagne de désinformation, de propagande subversive et de diversion, le Guide Libyen a lancé un pavé sur Sarkozy suscitant un sérieux doute sur le financement de sa campagne pour les présidentielles de 2007. Un autre scandale pointe si la politique étrangère de Sarkozy se vérifie obéir à des injonctions extérieures aux institutions au point ou le site français Rue 89 titre un article «Juppé remanié par BHL, la France seule contre Kadhafi ».
La Tunisie et l’Egypte étant, pour le moment, sortis de leur mainmise tout en persistant dans les combines pour les maintenir dans leur giron, il fallait profiter dans la foulée de ces « révolutions » populaires pacifiques pour régler son compte à ce Kadhafi ; cette impénitente personnalité anti-sioniste et anti-impérialiste, imprévisible et principal verrou qui entrave le projet mondialiste du « Grand Moyen-Orient » rebaptisé « Nouveau Moyen-Orient ».
La «révolte libyenne», ne revendique rien de social, car les libyens à l'aise leur pays que n'importe qui , la distribution de la richesse pétrolière est équitable pour les 6,5 millions de libyens. Cette révolte fermentée par les services de renseignements français en collaboration d'opposants libyens vivants à Paris à Londres. Tout a commencé par des manifestations clairsemées de groupes armés encadrés par des éléments d'Al-Qaida, demandant directement, la chute du pouvoir suscitant, ainsi, de sérieux doutes quant à leurs caractères spontanés, populaires et pacifique.
Il y beaucoup de doute et pas de réponse légale à donner à ceux qui ont pris les armes pour tuer et attaquer les dépôts d’armements? Cela est à prouver, si ce n’est pas l’armée qui ai reçu l’ordre d’abandonner ses positions et de ne pas tirer, pour que les rebelles puissent s'accaparer des armes,
se sont accaparés les armes y compris lourdes. Plus tard Kadhafi dans cents ans son discours il dit. « J'ai ouvert les arsenaux pour que peuple fasse sa révolte».
Si c'était le cas en occident on les aurait exterminé en toute justice, ces terroristes! Les conspirateurs occidentaux n’ont pas hésité à les désigner « révolutionnaires » qui ont besoin d'une protection humanitaire. Cette poignée de rebelles exige que Kadhafi est sa famille quitte la Libye, pour laisser la place aux émirs d'Al-Qaida, la France les considère comme des civiles armés victimes de la répression de Kadhafi. Écoutons ce que Poutine a dit: «C’est maintenant au tour de la Libye, sous le prétexte de protéger la population civile. Où sont la logique et la conscience? Il n’y a ni l’une ni l’autre».
Croyant alors à une faiblesse et à une chute imminente du régime, la réaction immédiate était l’exigence du «départ immédiat » du Guide. Ils lancent alors une formidable propagande – que mènent les chaines arabes souillées Al-Jazira (Qatarie) et Al-Arabya (saoudite) – et une aide logistique aux insurgés que finance principalement le Qatar.

Kadhafi, l'enfant prodige de l'Afrique

Il avait été déployée la même machine de propagande contre Ceausescu le dictateur « Dracula communiste » avec ses « charniers » et « femmes enceintes éventrées », contre Saddam Hussein « le tyran irakien » avec ses « armes de destructions massives », contre l’indomptable Iran et son « projet de fabrication d’armes nucléaires », contre l’Afghanistan et ses terroristes d’Al Qaida, contre le Hezbollah du Liban cette « organisation terroriste » qui a mis fin au mythe de l’invincibilité d’Israël, contre les palestiniens et ses « islamistes terroristes » du Hamas.
Les revoilà – dans le sillage des soulèvements des peuples arabes contre l’archaïsme de leurs systèmes et de leurs dirigeants – saisir cette opportunité pour déchoir Kadhafi en ayant recours à un système de propagande intensif, avec cette fois des sous-traitants/relais musulmans, pour diaboliser un farouche réfractaire à l’ordre impérialiste et colonialiste pour le rendre celui qui « bombarde avec l’aviation son peuple », qui « massacre son peuple qui manifeste les mains nues avec ses ‘brigades’ » (pour désigner l’armée libyenne), le « fou de Tripoli », le « criminelle et psychopathe », qui provoque « 6000 morts en quelques jours » etc.
Ces « révolutionnaires » de pacotilles comptent parmi eux des alliés d’Al-Qaida – cela est confirmé par certaines infos occidentales, les études des spécialistes de l’académie militaire US de West Point, par la déclaration/vidéo du libyen N°3 de cette organisation et dernièrement encore par les État-major – que l’on a vu assassiner, par dizaines, des personnes civiles ou militaires (de peau noires) par l’égorgement à l’épée puis pendus aux pieds ou brulés sous la désinformation qu’ils étaient «mercenaires» au services de Kadhafi alors qu’ils sont libyens (1/3 des libyens sont noirs de peau).
La propagande occidentale immorale ne montre pas ces images terribles. Elle le fera sûrement, pour se donner faussement bonne conscience, et en user contre l’associé de circonstance ; mais une fois la mission accomplie car, Al-Qaida comme dit un analyste « c’est seulement où et quand ça arrange les États Unis ». Cette propagande n’admet aussi qu’un seul ‘son de cloche’- que mène des médias à grande diffusion devenus des instruments au service d’une oligarchie ploutocratique que finance principalement le Qatar – qui fait qu’elle se permet de gros mensonges à savoir des bombardements des villes par l’aviation de Kadhafi, des défections /assassinats /kamikaze d’officiers qui apparaissent à la télé pour démentir, des massacres de « milliers » de civils.
Aucun des journalistes étrangers en Libye ne confirment, à ce jour, les accusations affirmées ou présumées.
Réitérons ces questions. Qui soutient qui dans cette histoire? Qui souhaite la chute de Kadhafi contrairement à Ben Ali et Moubarek que l’on a soutenu jusqu’à la fin? Observons ! Ne s’agit-il pas de la mise à exécution du projet ‘Nouveau Moyen-Orient’ devant fondre le monde musulman – d’essence spirituelle réfractaire à l’ordre occidental temporel – dans les fondements euro-atlantistes et mondialistes en l’obligeant à adopter leurs principes politico-philosophiques ? Pour se faire, il leur faut recomposer ce monde musulman sur la base des travaux de penseurs et stratèges tels Bernard Lewis, Ralph Peters et Zbigniew Brzezinski. Cela consiste en un nouveau tracé géographique, qui bouleverse leurs frontières actuelles, qui doit reposer sur le principe «diviser pour régner » en créant des mini États pétroliers et ethniques et ce, pour mieux contrôler et s’assurer cette richesse.
Cet objectif ne peut aboutir qu’en agitant les peuples, en suscitant des conflits entre arabes et persans, entre sunnites et chiites, entre musulmans et chrétiens pour ensuite manipuler et recomposer dans le sens souhaité.
Mais le monde musulman connait, subitement et de façon inattendue, des révoltes de masses qui remettent en cause tous les fondements et structures politiques archaïques – qui arrangent d’ailleurs l’Occident – de leur État/nation exigeant les mêmes principes humains sur lesquels reposes les sociétés occidentales à savoir la démocratie, les libertés individuelles et collectives et non ce « chaos constructif » espéré qui devait les diviser pour les ‘intégrer’ dans leur doctrine.
La Tunisie et l’Égypte semblent leur échapper, il fallait se rattraper vite sur la Libye, un maillon fondamental, en accélérant le désordre.
Mais les choses ont pris une autre tournure! Les forces armées libyennes ont avancé en contrôlant la majorité du territoire avec une rapidité déroutante selon les journalistes sur place. Dans chaque ville délivrée on a observé des milliers de manifestants en fête qui crient leurs joies et leur soulagement.
Dans une pertinente conclusion d’un article du Figaro, intitulé « La débandade des insurgés face à l’armée libyenne » signé par Adrien Jaulmes : « Le problème des termes militaires dans la situation actuelle est qu’ils décrivent des événements qui n’ont pas vraiment lieu. Il n’y a ni ligne de front ni réelles batailles. Tout se joue ou presque dans les esprits. Là où il y a quinze jours tout le monde se joignait à une révolte qui semblait devoir renverser Kadhafi, on se met à réfléchir et à penser à la suite. Et les mêmes mécanismes collectifs qui ont donné son élan à la rébellion ont commencé ces derniers jours à jouer en sens inverse. » Tout est donc construit sur du faux ! L’échec du complot ne peut être qu’inexorable même si les ennemis /amis de Kadhafi réussissent à en finir avec lui en l’assassinant ; éventualité qu’il déclare accepter en martyr.

Ce qui fait dire à James Clapper, le directeur des services de renseignements américains que «le régime de Muamar Kadhafi peut l’emporter…». On concocte en urgence deux résolutions (la 1970 et 1973) même si elles sont en contradictions flagrantes avec la Charte des Nations Unis. Le passage par le conseil de sécurité n’était qu’un moyen pour prêter main forte aux rebelles en déroute afin d’éviter que sonne le glas de cette révolution « commandée » et prévenir l’échec de leur stratégie. Le monde constate une filouterie dans l’application même des résolutions de l’ONU qui déborde carrément sur une agression au point où Vladimir Poutine déclare penser « à l’appel aux croisades à l’époque du Moyen-âge quand on appelait les gens à partir quelque part pour libérer cet endroit ».
Le ministre de l’intérieur français Claude Guéant connu pour ses réactions « désobligeantes » a déclaré «Le monde entier s’apprêtait à contempler à la télévision des massacres commis par le colonel Kadhafi, heureusement, le président a pris la tête de la croisade pour mobiliser le Conseil de sécurité des Nations unies et puis la Ligue arabe et l’Union africaine ». D’autres politiciens, analystes et stratèges du monde critiquent de façon virulente cette agression contre la Libye. Il n’y a que les dirigeants arabes qui restent amorphes, muets et abrutis bien qu’ils soient tous visés par cette stratégie de domination qui dépasse le cadre du droit international.
Dans le cas tunisien Sarkozy avait mal jugé, mais en se précipitant pour se rattraper sur cet autre cas Libyen – pensant être le 1er à avoir la bonne idée – il va certainement entrainer les choses vers l’« inconnu » selon des observateurs. Le stratège représentant la Russie à l’OTAN a déjà prédit l’issue : c’est-à-dire une guerre contre des combattants réputés farouches, contre un peuple imprévisible qui s’unira vite face à cette coalition qui tue en fait des civils qu’elle prétend défendre, qui détruit les infrastructures, les maisons de citoyens, des hôpitaux et qui s’emploie à diviser la Libye. Une guerre que les peuples arabes et musulmans surtout d’Afrique ne laisseront pas sans répercussions jusque sur le sol des agresseurs !

Journaliste indépendant

Algérian Society For International Relations
119,Rue Didouche Mourad Alger-centre














Sarkozy précipite le monde dans l'inconnu
Par Y.Mérabet


« Le colonel Kadhafi est un homme hautement respecté dans son pays et en Afrique. Ce respect n’est pas lié, comme aiment à le clamer les langues chagrines, aux pétrodollars, mais à ses actions. Il a été de tous les combats de libération des peuples » Calixthe Beyala


Les journalistes arabes, d'Al-Jaazira et de l'Arabya

Sans l'aval de la majorité française, Sarkozy, déclare donc que « Kadhafi doit partir immédiatement. Nous appelons tous ses partisans à le quitter avant qu’il ne soit trop tard. Nous appelons tous les Libyens qui estiment que Kadhafi mène la Libye à la catastrophe à se mobiliser dès à présent pour forger un processus de transition ». Voilà ce que l’on appelle de l’ingérence pure et simple ; ce qui est en contradiction avec la charte de l’ONU ! Au nom de qui parle t-il ? Du peuple libyen ? Des dizaines de milliers de manifestants battant le drapeau vert de la liberté soutiennent Kadhafi ? Des centaines de personnes qui accourent pour occuper les places et endroits jugés importants pour servir de boucliers humains afin d’empêcher leurs bombardements ? Il ne connait rien de ce peuple!
Kadhafi n’est pas un dictateur, comme le disent les croisés, c'est bien Sarkozy qui l'est, au sens où on veut nous le faire croire. Son pays est riche, son peuple vit correctement et le chômage est négligeable. C'est un pays plus transparent et plus démocratique que le reste du monde arabe, nous avons vu à la télévision comment ces journalistes arabes, se sont fait embobinés par ces traitres d'Émirs du golf, Ils ont été payés pour déformer l'image de la Libye et de son Guide, Ils saluent les bombardements par des avions Qataries sur la population civile libyenne, ces mécréants de l'islam tuent nos frères et nos enfants. De quel coté sont-ils? Du coté des croisés qui veulent exterminer la « Oumma muslima ». Sont-ils drogués, pour commettre ce crime? Veulent-ils prendre sur la conscience la mort de leur confrères arabes? Autant de questions,sans réponse pour cette tragédie arabe...
Les journalistes arabes d'Al-Djaazira et d'Al-Arabya, à la solde des émir arabes et des croisés, ont détruit l'entité arabe, il ne reste plus rien. Ces mercenaires-journalistes, une fois revenus à la raison, ne serviront à rien, ils seront rejetés par la 'Oumma Islamia'. Leur forfait est immoral?

Les efforts consenties par le Guide libyen pour le développement de son pays, sont énormes, le peuple libyen devait normalement s'en réjouir : La Libye est classée par rapport aux normes du PNUD en bonne position. Son IDH (indice de développement humain) en 2007 est de 0,847, ce qui la place au 56ème [Norvège : 0,971 (1er ); Arabie Saoudite : 0,843 (59ème ) ; Tunisie 98ème ; Algérie 104ème ; Egypte 123ème ; Maroc 130ème ]. Il est élevé et en augmentation. l'Indice « santé » passe de 0,496 en 1970 à 0,863 en 2010
Sachez, bien qu'en 1951, la Libye, longtemps appelée « royaume du vide », accède à l’indépendance dans le plus complet dénuement. Elle est le fruit de l’union anachronique entre un impérialisme britannique déclinant et une confrérie musulmane saharienne, les Senousis (dont le roi est issu). Sa seule exportation ? La ferraille ramassée sur les champs de bataille de la seconde guerre mondiale.
Sans doute Muamar Kadhafi est un pétrolier, comme ces grands américains qui gouvernent la planète, aura-t-il fait montre d’un esprit plus rationnel dans la conduite des affaires du secteur que dans ses autres initiatives politiques, intérieures ou extérieures — peut-être parce qu’il s’en est moins mêlé. Sans doute, aussi, les pétroliers du monde entier ont-ils appris à vivre — et à gagner de l’argent, beaucoup d’argent — dans l’environnement libyen, particulièrement instable sinon hostile. Ses rares partenaires le tenaient pour imprévisible, incohérent et capricieux. En 1986, le président américain Ronald Reagan l’avait avait envoyer la VIe flotte bombarder la Libye et de lui imposer un embargo pétrolier sévère. L’homme faisait alors figure de paria... Pourtant, le colonel Muamar Kadhafi a réussi, vingt ans après, à ramener son pays dans le peloton de tête des exportateurs de pétrole. Comment une telle prouesse a-t-elle été possible ?
La Libye est le 4ième pays producteur de pétrole d’Afrique, derrière le Nigeria, l’Algérie et l’Angola. Surtout, elle dispose des plus importantes réserves prouvées du continent africain. Son brut est de la meilleure qualité, la Libye est en face de l'Europe en quête d'énergie, très pauvre en ressources, perpétuellement en crise, un avantage pour ses approvisionnements pétroliers. Enfin, compte tenu de sa faible population, et de son développement industrielle faible, la Libye restera longtemps un exportateur de premier plan.

Une seule chose intéresse les pays occidentaux : « piller, piller sans arrêt.. les richesses arabes et africaines ». Une accusation qu'aucun ne renie et des échos dans la rue arabe et ailleurs, dans la presse africaine et jusqu’au Venezuela, où le président Chavez présente les Occidentaux comme des « seigneurs de la guerre » qui veulent « s’emparer du pétrole des libyens ». De fait, les pétroliers occidentaux, et tout particulièrement les groupes Français et Italiens, auront pas mal à perdre, et peut-être beaucoup plus encore à gagner, à l’issue du gambit dans lequel la rébellion libyenne les force à s’engager. L’Italien ENI est présent en Libye depuis la fin des années 50, et n’a jamais menacé de quitter le pays, pas même dans les années 80 et 90, lorsque Muamar Kadhafi lutter contre le néo colonialisme occidental et les croisés.
Pour les pétroliers français, se seront les plus grands perdants. Les activités de Total en Libye sont beaucoup plus modestes que celles d’ENI, avec une production de seulement 55 000 barils par jour. Mais au cours de la dernière décennie, le groupe français a découvert plusieurs nouveaux gisements, et dispose de contrats qui le lient potentiellement à la Libye jusqu’en 2032, en plus tout un éventail de contrats la vente d'armement, de centrales nucléaires et d'industries divers.Bien que la compagnie pétrolière nationale libyenne contrôle la majorité de la production du pays, Tripoli ouvrait jusqu’ici un large accès aux compagnies étrangères à travers des joints ventures, pour bénéficier de l’expertise et des capitaux nécessaires afin de maintenir la production nationale. Comme l’expliquait le directeur de la stratégie de Total quelques jours avant que la révolte libyenne ne prenne toute son ampleur, « le régime en place a absolument besoin des compagnies pétrolières internationales » pour « améliorer le potentiel du pays (…) où l’on trouve des champs matures, et où il reste de grandes marges pour l’exploration et le développement ».

La France viole la souveraineté de l'État libyen

Qu’est-ce qui prend la France, de s'ingérer, dans les problèmes internes de la Libye? Pour la liberté et les droits de l’homme? Un faux prétexte ! La France est connue par la population de l'Afrique du Nord, comme un État hypocrite et mesquin, l'histoire d'Algérie est là pour témoigner, Bugeaud n'a t-il pas trahi le traité de la Tafna, signé avec l'Emir Abdel-Kader? Sarkozy, lui aussi a trahi son ami Muamar Kadhafi , en lui lançant des bombes dessus la tète
Selon sa rencontre avec des membres de ce «Conseil Libyen», un ramassis de sans papiers que Sarkozy a déniché dans les vieux hôtels de Barbes en fait d'eux une légion, en présence de Bernard-Henri Levy, il a été discuté de la reconnaissance de cette légion comme opposition au Guide libyen, sans consulter les pays africains et plus particulièrement les pays amis et voisins de la Libye, nous trouvons ça insolent, de la part de la France? Il a aussi été discuté, de la possibilité de brouiller les transmissions militaires de l’armée de Kadhafi, de détruire son ‘bunker’, de neutraliser les trois aéroports et d’imposer une zone d’exclusion de vols en plus du blocage des avoirs Libyens. En clair, détruire le régime libyen !
L'Union européenne s'en sort d'une manière encore plus pitoyable. En effet, si le premier objectif de Sarkozy était de démontrer l'incohérence et la faiblesse de la politique étrangère européenne, il n'aurait pas pu faire mieux. Le «ministre des Affaires Étrangères» européennes , Catherine Ashton, a été évincée de Libye. Les institutions européennes n'y ont joué aucun rôle. Comme l'a parfaitement dit une tribune du Monde: le dossier libyen «démontre l'immaturité de la politique européenne de sécurité et de défense: indigence du débat politique et inadaptation des cadres de planification et d'intervention». Personne n'imagine l'Europe sortir renforcée de ce dossier, même si le président français y arrive.
Kadhafi combat le terrorisme contrairement à Sarkozy qui le finance en payant des rançons. Malgré ce qui parait élucubrations, il est plus au fait des manigances occidentales et plus clairvoyant que ceux qui affirment diagnostiquer en lui un «tyran», un « autocrate » et tutti-quanti qui justifierait une guerre « humanitaire » alors qu’il est question de pétrole et de gaz et rien que de pétrole et de gaz ! En effet, avec des réserves prouvées de plus de 46 milliards de barils soit 3,5% des réserves mondiales, le double des EU, la Libye est bien la convoitise prioritaire qui la place ‘objectif’ dans le programme militaire pour le contrôle et l’appropriation des 60% prévus des réserves mondiales.
Les guerriers-philosophes français disent ; la « chance est la qualité la plus importante d'un général » et Sarkozy sera peut-être en veine en Libye. De son avis personnel, les rebelles pourraient gagner peut-être, et... Il pourrait restaurer sa popularité en faire un cadeau aux juifs d'israel dont, il fait partie. L'aventure comme à l'aventure, rien à perdre, rien à gagner: c'est un non-français de souche, un trimbaleur de valise, quitte ou double, il finira par rentrer au bercail chez ses pairs Tsiganes de Hongrie.
Le président français, Nicolas Sarkozy, a perdu de sa popularité à cause de la corruption de son gouvernement, parce que l'économie française est plus faible qu'elle ne devrait l'être, parce qu'il a, avec son ex-ministre des affaires Étrangères, choisi le mauvais camp en Tunisie, et parce qu’il est versatile et imprévisible. Il n'y a pas non plus de fausse guerre. La zone d'exclusion aérienne en Libye est bien réelle, tout comme le sont les bombardements censés aider les rebelles libyens. Trois Français sur quatre ne font pas confiance à Sarkozy. Près de trois Français sur quatre (74 %) ne font pas confiance à Nicolas Sarkozy et deux tiers (66 %) n’ont pas non plus confiance dans François Fillon, selon un baromètre Harris Interactive publié dans le Parisien/Aujourd’hui du lundi 11 avril 2011. La cote de confiance du chef de l’Etat s’établit à 20 %, en baisse de deux points par rapport au baromètre de mars. Celle du Premier ministre, à 26 %, est en recul de trois points.
Il n'y pas non plus de consultant sournois tapis en coulisses. Au contraire. L'homme qui a présenté Sarkozy aux rebelles de Benghazi n'est autre que Bernard-Henri Lévy, un pop, d'origine juive, si français qu'on n'arrive pas à trouver d'équivalent américain. Nous n'avons tout simplement pas de philosophes aux chemises constamment déboutonnées, mariés à de blondes actrices, et qui s'engagent, avec enthousiasme, pour des guerres, que ce soit au Bangladesh, en Angola, au Rwanda, en Bosnie, et au-delà; à l'origine de plusieurs massacres en Afrique, Tutsis, Ivoiriens, Tchadien, Libyens etc. Et encore ce sanguinaire de Sarkozy continu à plaider pour une intervention humanitaire en Libye. Sarkozy espère clairement que le massacre libyen le rendra populaire en France et briguera un deuxième mandat présidentiel. Certains éléments de cette histoire sont familiers. La France envie depuis longtemps non seulement le leadership américain dans le monde, mais son statut de démocratie en chef: les Français considèrent être autant liés que nous à l'invention de la liberté, de l'égalité et de la fraternité*, et ils veulent, aussi, s'en voir attribuer les mérites.Mais l'obstination de ce président à prendre des risques pour jouer un rôle – n'importe quel rôle, quel qu’en soit le prix – pour la gloire de la France, et la sienne propre, est sans précédent. Charles de Gaulle avait tenu tête à l'Otan à une époque où la France était protégée par le parapluie nucléaire américain. L'enthousiasme de Sarkozy pour une guerre dont il ne peut prévoir les conséquences arrive à un moment où l'Otan est divisé, et ou l'Union européenne – depuis sa création la pièce maîtresse de la politique étrangère de la France – n'a jamais été aussi faible. Dans l’intérêt de ce qui reste de solidarité au sein de la coalition, aucun membre de l'Otan n'a opposé son veto à l'opération en Libye, sous l'impulsion du Président Obama. Mais l'Allemagne et la Turquie – deux piliers historiques de la coalition – l'ont combattue publiquement, et avec véhémence. D'autres fulminent en silence. Selon une source de première main, Sarkozy, en personne, n'a accepté de mettre ces opérations sous commandement de l'Otan que parce que la Maison Blanche a menacé de s'en désinvestir totalement. Il aurait apparemment pensé que l'armée américaine allait continuer à soutenir une intervention qu'il commandait. Raids aériens; villes conquises puis reperdues; l’Otan et le groupe de contact; la CIA et Al-Qaeda; les Américains et Sarkozy; la situation en Libye peut paraître complexe, depuis le 7 mars 2011, début des opérations de la coalition.
Bernard-Henry Levy, ce missionnaire des néoconservateurs américano-sionistes qui s’incruste toujours là où cela sert les intérêts d’Israël, apparait dans cette affaire l’architecte chargé de faire sous-traiter « l’opération Libye » par la France.
Il est rapporté par la presse occidentale, en particulier par ‘Libero’ (Italie) citant des documents de renseignement français, que la «révolte populaire» contre Kadhafi a été orchestrée par Paris depuis le mois d’octobre 2010 après la trahison de l’homme de confiance de Kadhafi, Mesmari, qui a trouvé refuge à Paris. À la mi-janvier, le plan pour le renversement de Kadhafi était près et les meneurs en place à Benghazi. Certaines fuites se sont parvenus à certains pays amis de la Libye, et Kadhafi fut averti en fin aout 2010, le temps de se préparer militairement surtout. Kadhafi a ses puissants services de renseignement dont il ne fait pas entièrement confiance, il sous-traite le renseignement avec d'autres services étrangers.
Bernard Henry Levi, a rencontré Mostafa Abdeljalil, une personne qui avait ses comptes personnels à régler avec Kadhafi, après une minutieuse enquête des services de renseignements français, cet intrus fut présenté fut invité au 'Souk de l'Elysée' pour étre nommé à la téte de la rébélion libyenne, le titre de Président du Conseil Libyen lui fut attribué par Sarkozy. Par simple discision personnelle de l'individu Sarkozy, le Président de la Jamahiria Al-Arabia élu par son peuple, fut destué et remplacé par un comité de rebelles? Depuis quand la France, gère les Etats souverains? Alors que fait Ban Ki-moon à l'ONU, que font les ambassadeurs arabes dans cette institution?
C'est Sarkozy, qui a inventé sa rébellion en Libye et a installé des rebelles à sa tête. Une rébellion que dirigent 04 principaux opposants connus pour leurs liens avec la NED/CIA qui vivent aux USA et en Angleterre depuis plus de 35 ans (03 ont des passeports Américains et un anglais) et deux autres sont des dissidents de dernière minute (Mostefa Abdeljalil ex ministre de la justice que les libyens ne cessent de dénoncer les frasques et avidités ainsi qu’un officier supérieur connu pour ses déboires et ses félonies au Tchad . Ils apparaissent à tour de rôle dans les 04 chaines Aljazeera, Alarabia, Alhurra et la BBC.
Reconnaitre une telle entité vague composée de rebelles ne maîtrisant pas les buts et l’évolution de leurs actions, qui se déclarent « révolutionnaires » – en adoptant et exhibant le drapeau de l’ex monarchies – comme «représentant légitime» d’un peuple qui dispose déjà d’un État souverain, reconnu et membre de l’ONU, en le menaçant de frappes aériennes pour accélérer la chute du pouvoir légal, est la pire stupidité politique.
Cette monarchie Idrissienne, vassale de la Couronne d’Angleterre, que Kadhafi a fait abdiquer un certain 1er septembre 1969. Des « révolutionnaires » qui sollicitent des frappes destructrices de ce qu’ils disent être leur pays et qui ne s’offusquent pas de voir des centaines de civils tués, des milliers de bléssés, y compris des enfants, par les bombardements de l’aviation de la coalition Américano-Anglo-Franco-Qataro-Emirati ? Quelle déchéance !

Al-Qaeda et Sarkozy derrières la rébellion

Les multiples références de Kadhafi aux «jeunes drogués par Al-Qaida» lors de ses discours hallucinés avaient discrédité l’hypothèse d’une présence importante de terroristes sur le territoire libyen. De plus en plus, cette question revient sur le devant de la scène. Elle inquiète notamment les conservateurs américains, qui ne veulent pas prendre le risque d’aider, voire d’armer indirectement des terroristes que les États-Unis combattent sur d’autres fronts. Selon le patron militaire de l'Otan, l’Américain James Stavridis, des «signes de présence» d’Al-Qaida ont été ainsi détectés parmi les rebelles. Sans établir forcément de liens avec cette organisation, lors de ses reportages, Christophe Ayad, envoyé spécial de Libération, a pu toutefois noter que certains rebelles étaient plus habiles que d’autres: «Certains d’entre eux manient le lance-roquettes avec une familiarité déconcertante. Quand on leur demande où ils ont appris, ils se contentent de sourire. La plupart viennent du djebel al-akhdar, la Montagne verte, dans la région de Derna et d’Al-Bayda, où un maquis islamiste a tenu tête à Kadhafi au milieu des années 90.»
Pour Seth Jones, ancien conseiller du Pentagone pour les opérations spéciales, interviewé par l’AFP, il faut au contraire «partir du principe» qu'une partie des armes risque de tomber dans les mains d'Al-Qaida.
Selon plusieurs médias américains dont le New York Times, de «petits groupes» d'agents de la CIA sont déployés sur le terrain pour prendre contact avec la rébellion et guider les frappes de la coalition. Barack Obama aurait donné l'autorisation d'aider secrètement les rebelles. De plus, selon la chaîne ABC, «des dizaines de membres des forces spéciales britanniques et d'agents du service d'espionnage MI6 travaillent» également en Libye. En particulier pour recueillir des renseignements sur les positions des forces loyalistes. Il est plus que probable qu’il y ait aussi des forces spéciales françaises. L’envoi de troupes militaires officielles, comme en Afghanistan et en Irak, est pour le moment formellement écartée
Depuis le début des interventions le 19 mars, Barack Obama est critiqué par une partie de sa base, et par les conservateurs. Les premiers lui reprochent de s’engager dans un nouveau conflit onéreux. Les seconds d’avoir tergiversé et donné l’impression qu’il avait été presque forcé par Sarkozy de partir en guerre. Le lobby juif américain très proche de Nicolas Sarkozy qui lui aussi juif a fait pression sur Obama pour engager l'armée américaine dans le conflit, cet engagement sert les intérêts politiques internes du président français. l'heure actuelle, malgré un discours récurrent autour de l'idée que les États-Unis ne sont qu'en soutien, l'armée américaine a pour le moment assuré la majorité des opérations.
Un effet anecdotique, mais symbolique sur le terrain. De nombreux rebelles arborent plutôt le drapeau français, remerciement sans doute à l'activisme diplomatique de la France.On ne voit pas de drapeaux américains sur les photos des agences de presse. Les trois difficultés qu'éprouvent les rebelles pour combattre les forces loyales du Guide libyen : Les rebelles ne sont pas des soldats. Malgré toute leur bonne volonté, ils n'ont aucune expérience de la guerre. Ils font penser à Fabrice del Dongo, le héros de la Chartreuse de Parme de Stendhal, qui se rend à Waterloo persuadé que la guerre est une chose magnifique et qui est finalement complètement impuissant et balloté d'un endroit à un autre. L'impétuosité de la jeunesse ne suffit pas face à l'armée de Kadhafi qui reste encore organisée malgré les bombardements.
•Lors d'opérations de guérillas, en territoires accidentés ou dans une ville, l'inexpérience peut être compensée par un terrain favorable. Ce n'est malheureusement pas le cas en Libye. Toute la guerre se déroule le long d'une unique route côtière, qui traverse quelques villes. Ils est donc très facile d'avance rapidement et de reculer tout aussi rapidement. Des dizaines de voitures équipés de mitrailleuses font une interminable va et vient sur une route goudronnée neuve, préparée à l'avance pour tourner le film.
•Troisième point, l'esprit de guerre, on a l'impression de voir et de suivre un jeu vidéo, ou des enfants à peine la quinzaine d'année exhibent des tires en l'air de mitrailleuses, fixent leurs mitrailleuses sur une cible imaginaire et tirent de longues rafales, puis lève ses deux doigts en l'air et crie ' Allah Akbar..Allah Akbar'. .
L’idée est de plus en plus évoquée, mais elle est polémique. La résolution de l’ONU le permettrait, selon la coalition, ou au contraire non, selon plusieurs pays hostiles depuis le départ à l'intervention, comme la Russie.Selon Michael O'Hanlon, expert à l'Institution Brookings, interviewé par l’AFP, «si des livraisons devaient avoir lieu, elles concerneraient sans doute des lance-roquettes antichars, des systèmes de communications et des médicaments», c'est aussi une façon d'affaiblir les forces libyennes pour que les rebelles et Al-Qaida prennent le dessus, sur qui? Sur Kadhafi et la majorité écrasante de civiles qui manifestent le maintient du pouvoir Kadhafi . Les rebelles réclament régulièrement une telle aide. «Nous voulons deux choses: que les avions bombardent les chars et l'artillerie lourde de Kadhafi et qu'on nous donne des armes pour qu'on puisse se battre», Peut-on localiser exactement l'endroit ou se trouve Kadhafi et le bombarder sans faire tuer des civiles pro-Kadhafi ? c'est vraiment absurde? Cette idée d'armer les rebelles vient d'Al-Qaida , qui après avoir raflé tout l'armement des casernes libyennes, voudrait d'autres armes plus sophistiquées pour combattre plus tard les chrétiens, puisqu'il s'agit d'une croisade franco-anglaise contre un pays musulman. Hugo Chavez, opposant acharné des américains, selon lui, Kadhafi «fait ce qu'il a à faire: résister à une agression impériale. Même si le président d'un pays est le pire des despotes, il n'est pas justifié qu'un groupe de pays le bombarde et commence à tuer des innocents au nom de la paix».
Par de l'argent taché de sang, la France veut sauver son industrie militaire en faillite
L'industrie militaire française, qui emploie plus de 100 000 ouvriers souffre de la mévente de sa production et risque de fermer ses portes, il a fallu un juif-français qui face ça,ce sale boulot, ré-ouvrir le marché de la mort, tuer et vendre en même temps sa ferraille aux arabes qui ne savent utiliser leur fortune. Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Dassault doit effectivement se féliciter de la publicité qui est ainsi faite pour ses Rafale, qu'il n'a toujours pas réussi à vendre en dehors de l'armée française.
La population libyenne est en train de payer cette publicité par les destructions, les morts et les blessés qu'elle provoque en son sein, et pas seulement parmi les soutiens de Kadhafi. Mais elle va également coûter cher aux contribuables français. Ainsi, l'heure de vol d'un Rafale est évaluée à 40 000 euros, à quoi il convient d'ajouter le prix des missiles et autres munitions utilisées. Pour les autres avions, les tarifs varient de 15 à 30 000 euros. Quand on sait qu'en trois jours les Rafale et autres Mirage ont effectué un total de 400 heures de vol, la facture promet d'être salée. D'autant que la marine est également partie prenante, avec notamment le porte-avions Charles-de-Gaulle avec ses 2000 marins, dont les ronds dans l'eau reviennent à 50 000 euros de l'heure. Sans compter le coût des navires affectés à sa protection et son ravitaillement. D'émir de Qatar s'est engagé à déposer un chèque de 11 milliards de dollars si Sarkozy fait tomber Kadhafi, question de L'intervention française en Libye : Une facture salée pour les contribuables Français. Certains commentateurs ont souligné que l'intervention française constitue une opportunité pour les marchands d'armes de l'Hexagone. Da
bilong bi mbeleg
Mon, 14 Mar 2011 06:05 EDT
emploi
Bonjour monsieur .

je me prénome romeo,je suis un Africain de bonne moralité de nationalité Camerounaise,je suis âgé de 28ans.
je suis suis un technicien du DAO et spécialement en bâtiment,
aufait je suis trés apte sur les logiciels suivants AUTOCAD,ARCHITECTURAL,SOLIDE WOLDE,et la BURAUTIQUE.

Dans l'espoir d'une suite favorable,recevez mon plus profond respect.

cordialement.

bilongromeo@yahoo.fr
mezrichi abdellah
Fri, 25 Feb 2011 15:05 EST
docteur en information et développement
cher monsieur l'ambassadeur je vous prie de me contacte j’ai une solution a vous communique afin de réglé le problème dans votre paye respectueux

voilà mon tel 00489 530 518
walid sammoud
Sun, 30 Jan 2011 10:30 EST
cherche un contrat
salut,je suis un technicien en fabrication mécanique ,j'ai une expérience de deux ans on domaine mécanique de précision aéronautique(fraisage CNC) , j'ai 25 ans, tunisien .
je cherche un contrat de travail CDD ou CDI
et merci...
Jlassi Tarek
Thu, 20 Jan 2011 06:54 EST
Demande d'emploi
J'ai 24ans.Je suis tunisien.J'ai un diplome en licence fondamental en chimie 2010.je cherche un emploi chez vous.
Sil vous plait contactez 00216 40638401

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