Liban flag le Consulat Honoraire du Liban en Douala

Consul HonorifiqueMr Hazim Hazim
AdresseDouala
Cameroun
Adresse postalePO Box 5908
Téléphonelocal: 426.668
international: +237.426.668
Faxlocal: 420.677
international: +237.420.677

» Puis-je visiter Liban sans visa?

Commentaires au sujet de cette le Consulat Honoraire

siyou njunom rachidetou
Fri, 20 Jan 2012 05:57 EST
etudiante
Bonjour , Monsieur le consul je suis une jeunne camerounaise agee de 23 ans .titulaire d,un BP (brevet d,etudes professionnel en cuture .je vourai savoir ce qu,i faux faire pourobtenir le visa libanais ,je vie au cameroun .mn e-mail est siyouaicha@yahoo.fr .merci
Mwondo Jean
Tue, 17 Jan 2012 10:29 EST
Visa pour le Liban
Madame, Monsieur, bonjour,
Je souhaiterais visiter le liban en compagnie de ma fille âgée 3 ans. A cet effet, je souhaiterais connaître
- les conditions à remplir pour un détenteur du passeport camerounais pour obteneir le visa.
- En outre, peut faire la demande d'un visa en ligne?
- Existe-il des visas électoniques?
- Combien coûte un visa?
- Combien de temps cela peut-il prendre pour obtenir le visa?
En vous remerciant pout votre aitre. Je vous saurais gré de bien vouloir me répondre à: samory.280@gmail.com
alain
Mon, 9 Jan 2012 09:57 EST
mr
12 mars 2011

Les employées de maison au Liban


Vous croyez que ce blog était tombé à l'abandon?

>> et non!

C'est juste que je suis beaucoup plus occupée ce semestre car, en plus de mes cours à l'université, je fais un mémoire de recherche sur le thème des employées de maison au Liban. Ce sujet m'amène donc à en rencontrer beaucoup... Je recueille leurs histoires, j'offre une oreille attentive à leurs joies mais surtout leurs peines. Le sujet mériterait un blog en entier mais je vais tenter de vous en donner un bref aperçu dans cet article.



Avec deux amies philippines: Cheche, employée de maison, (à gauche) et Myra, travailleuse free lance (au centre)

Environ 200.000 migrantes originaires d’Asie et d’Afrique travaillent en tant qu’employée de maison au Liban. « Employée », c’est ce qui est écrit sur leur contrat. Peu d’informations leur sont fournies sur leur futur emploi comme témoigne Sylvie. Cette Camerounaise a décidé de venir travailler au Liban suivant le conseil de ses proches. Elle est partie avant de finir sa licence afin de se constituer des économies tout en continuant à suivre quelques cours durant son temps libre. Elle a vite déchanté. Dans la première famille où elle a travaillé (la meilleure des cinq reconnaît-elle a posteriori), ses patrons lui ont fait comprendre qu’elle n’était pas là pour avoir du temps libre. « Sur le contrat, il était écrit employeur/employée, pas maître/esclave ! Personne ne peut travailler s’il n’a pas de temps pour se reposer. » m’a confié Sylvie.

Les jeunes filles sont recrutées principalement au Sri Lanka, en Ethiopie, aux Philippines, au Népal mais aussi à Madagascar, au Sénégal, au Bengladesh et autres, via des agences de recrutement. Les patrons libanais doivent débourser une somme importante pour acquérir une aide ménagère. Ils paient ainsi les frais d’agence, le billet d’avion, les permis de séjour et de travail etc. Mais ensuite, le salaire accordé à l’employée tourne autour des 150$ par mois (les Népalaises et Bengladis sont les moins bien payées avec des salaires avoisinant les 100$ alors que ceux des Philippines peuvent monter jusqu’à 400$ par mois). A ce prix là, l’employée fait tout : ménage, repassage, lessive, repas, baby-sitter, « papy-sitter », promeneuse de chien et même parfois massage ! Si le nouveau contrat unifié impose un maximum de 8h de travail par jour, peu nombreux sont les patrons qui respectent cette consigne. Concrètement, la jeune femme, vivant sous le même toit que ses patrons, est susceptible d’être sollicitée à n’importe quel moment. De plus, les employées ne disposent pas toujours de leur intimité. Les plus chanceuses ont une petite chambre avec une salle de bain/toilette. Beaucoup sont celles qui disposent seulement d’un matelas dans la cuisine.

Je pourrais citer de nombreux faits qui ne respectent pas la dignité et même l’humanité de ces employées. Cependant, il est important de signaler, à ce stade de l’article, la diversité des situations. Certaines jeunes femmes sont très bien traitées. C’est le cas de Cheche (à gauche sur la photo) qui dispose d’une petite chambre/salle de bain, d’horaires de travail, de ses dimanches, d’un salaire plutôt élevé par rapport aux autres et de son passeport.

Oui, c’est une chance de disposer de son passeport. Normalement, ce précieux papier est pris à la migrante dès son arrivée à l’aéroport de Beyrouth pour devenir la propriété de ses patrons. L'argument de la peur de fuite de l’employée qu’on a fait venir à ses frais est utilisé pour justifier la détention de son passeport mais aussi, dans certains cas, l’interdiction de sortir de la maison, l’interdiction d’établir des contacts avec ses compatriotes vivant au Liban etc. Cette situation rend l’employée de maison extrêmement vulnérable et entraîne trop souvent toute forme d’abus : travail excessif, sous-nutrition, violence verbale et physique, abus sexuels… Malheureusement, je ne parle pas de cas isolés. La proportion de femmes abusées ou ayant été abusées que j’ai rencontrée m’a impressionnée.

Face à cela, peu de solutions. Les employées sont contraintes de finir le contrat de deux ou trois ans qu’elles ont signé et ne peuvent se plaindre à la police en cas d’abus. Si elles décident de fuir, la conséquence est la prison et l’obligation de dédommager son patron de 2000$ pour récupérer son passeport. Il faudra aussi qu’elles trouvent l’argent nécessaire à leur billet d’avion de retour. J’ai ainsi rencontré plusieurs migrantes qui travaillent en free lance (travaux ménager à l’heure) pour rembourser la somme qu’elles ont emprunté afin de racheter leur passeport. Elles vivent souvent dans de petits appartements en banlieue, partagés avec des compatriotes dans la même situation qu’elles, et rendent cette immigration féminine visible dans les rues Beyrouthines. Plusieurs lieux de sociabilité philippins, éthiopiens, sri lankais et autres se sont ainsi développés, fréquentés par les employées de maison disposant d’un jour de congé et les travailleuses free lance. Il s’agit surtout d’Eglises, mais aussi de petits commerces de produits exotiques, de salon de coiffure africains, de restaurants asiatiques etc. Ces lieux restent inconnus de beaucoup de Libanais car ils se créent dans des zones paupérisées et réputées dangereuses. Pourtant, lorsqu’on s’y promène le dimanche, l’ambiance semble plutôt à la fête !
NSI alexia
Fri, 25 Nov 2011 12:19 EST
besoin d'information
Bonsoir,juste pour savoir si les entreprises de recrutement des agents de ménage et baby sitting dans votre pays au CAMEROUN ont une autorisation légale?c'est important pour ma mère et ma cousine qui veulent postuler par rapport à l'annonce d'offre d'emploi dans ce domaine ce mois. Me contacter au 94154611 ou infomaxnsimeyong@gmail.com
mboya joseph
Wed, 9 Nov 2011 07:17 EST
renseignement
bonjour
je voudrais savoir si à votre niveau vous avez des offres d'emploi de femmes de ménage pour ma petite soeur
contact : boyabi@yahoo.fr
Albert Etienne TEMKENG
Sun, 16 Oct 2011 09:23 EDT
Directeur de l`Ecole Normale de Dschang
Monsieur, bonjour.
Je dois aller au Liban le mois prochain pour un colloque international en éducation.
- Quelles sont les conditions pour obtenir un visa?
- Ou se trouve le consulat du Liban dans la ville de Douala?
Merci de me répondre.
Voici mon e-mail:atemkeng@gmail.com
simeon noah
Sun, 2 Oct 2011 06:51 EDT
demande de visa
bonjour monsieur le consul je suis un jeune camerounais agé de 22ans,titulaire d un bac cientifique et je voudrai savoir ce qu il faut faire pour continuer ses etudes universitaires et professionnelles dans votre pays dans le genie civil.s il vous plait j ai besoin d etre orienté.voici mon adresse e-mail:boobasimeon@yahoo.fr.merci
JONEH DAVID
Thu, 29 Sep 2011 12:22 EDT
DIRECTEUR GENERAL GLORY TRAVEL
mr le consul
nous avions 03 professeurs d'universite qui ont reçu des invitations pour le liban et aimeront s'y rendre ont ils besoin de visas au depart d'ici(douala) ou auront ils ceuxci à l'aeroport de BEIRUT veillez me repondre au mail suivant
glory_travela@yahoo.fr
NANA NJAKO William
Wed, 21 Sep 2011 19:17 EDT
verification de mon visa pour le liban
Bonjour Mr le consul,
je suis camerounais footballeur; je viens de recevoir un visa m'invitant dans un club de football de votre pays et j'aimerai m'assurer si c'est vrai avant de m'aventurer. voici mon adresse:
ladoxias@yahoo.fr; tél: 99151817 Merci de recevoir une réponse prompte.
Mbida simoung
Tue, 30 Aug 2011 11:10 EDT
frabricant de jus artisal
cher monsieur,
je souhaiterais recevoir de vous l'adresse e-mail de l'institut libanais de développement économique et social pour des renseignements sur leur étude de faisabilité de production de jus de fruit naturel. étude dirigée par les ingénieurs agronomes:SOHA GEBRAN,CHARLES ABDALLAH,CAROLE HACHEM,SAMIR MEDAWAR.en juin 2001.
cette étude me sera d'une importance certaine pour le développement de ma structure artisanale.
veuillez agréer cher monsieur, l'expression de mon profond respect.

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