France flag le Consulat Général du France en Osaka

Consul GénéralM. Alain NAHOUM
AdresseCrystal Tower 10 F, 1-2-27 Shiromi, Chuo-ku
540-6010 Osaka
Japon
Téléphonelocal: (06) 4790.1505
international: +81.6.4790.1505
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Commentaires au sujet de cette le Consulat Général

jacques goguy
Tue, 12 Apr 2016 12:10 EDT
Pour la vérité
Les Brunet dit "les Thénardier" en plus détestable cruauté, d’une insoutenable inconsistance

Cette racaille a anéanti ma vie, volé ma jeunesse, souillé la mémoire de ma famille française et allemande, ces créatures ont détruit mon intégrité, ma conscience ; en utilisant des drogues pour me déposséder de tous mes biens ; ces monstres ont ruiné ma santé avec leur substance toxique, traîné mon honneur dans la boue, torturé ma conscience, par des actions commises, graves, incontrôlées, contre ma volonté, sous l’emprise de produits psychoactifs.

J’avais 19 ans, seul dans la vie, orphelin de père et de mère. En mille neuf cent soixante, je travaillais chez un décorateur, Roger Rat, je lui demande s'il connaissait une chambre à louer sur Thouars, il en connaissait une chez madame veuve Brunet Clotilde, rue Lafontaine, me conduit chez cette personne.

Pour mes vicissitudes perpétuelles, je loue cette chambre, pour mon malheur, je suis tombé chez les Thénardier .

Madame Clotilde, une mauvaise graine aux mille ressources diaboliques, cruelles en méchanceté, en vice incurable ; je suis tombé chez une misanthrope ombrageuse ; d’une monstruosité morale inconnue chez les humains.
Les Thénardier en plus atroces, des barbares inhumains, quand ces créatures ont découvert que j’étais l’héritier d’une immense fortune, une aubaine pour cette vieille charogne sulfureuse, qui a l'habitude de caresser l'injustice par des œuvres scandaleuses, le pigeon est tombé dans la basse-cour.

De plus, je suis un enfant né de la haine du bon peuple de France, je suis le fils d'un Boche, mon père me paraît bien sympathique, à l'examen de toutes les fripouilles, qui n'ont dépouillé de tous ses biens ; c'est vrai l'argent n'a pas d'odeur même celui d'outre-Rhin , on parle d'argent sale, ces bandits en usent, pour avoir volé des milliers d'employés, ils ont du sang sur les mains, du sang français.

Je suis né le premier septembre 1941, mon père Kurt Muller était un officier allemand, je suis un enfant né de la défaite du bon peuple de France ; nous sommes des milliers d’enfants nés de soldat de l’occupation. Après la guerre ; on était considérés comme des chiures, nous étions l'image vivante de l'allemand qui n'avait pas quitté la France ; une persécution haineuse et raciste nous a accompagnés, nous sommes responsables de la haine des Français pour le peuple allemand, de la déchirure d'une France écrasée par une invasion éclair de la Wehrmacht

Après la guerre les femmes ont été prises en otages, humiliées, la tête rasée, couverte de crachats par les résistants de dernière heure, la bassesse indigne de ces individus, des jaloux envieux de bonne chère refusée, une vengeance gratuite, une œuvre bestiale donnée à ces bourreaux, beaucoup de prisonniers français ont aimé des allemandes, ce qui devait être interdit, ce qui est permis pour les hommes, est censuré pour les femmes.

Pour protéger les enfants nés de parents allemands contre l’agressivité des Français,sur d’innocentes victimes, on a pratiqué des falsifications d’état civil ; l'enfant a gardé le nom de sa mère ; je suis dans ce cas de figure, mon père m’a reconnu à Airvault, ce document a été placé dans un registre qui ne correspond pas à ma naissance, j’ai les preuves de cette falsification.

Après la défaite de l’Allemagne, ma famille française a tout fait pour me faire oublier cette période tragique, pour les Français et les enfants nés de parents allemands, ce qui a été préjudiciable pour mes recherches futures, nous avons tous le désir de connaître nos racines, qu’elles soient bonnes ou mauvaises

Ma famille Müller, Assmus Élisabeth, des industriels ; les Thénardier étaient informés de l’immense richesse de ma famille, une formidable aubaine pour ces créatures, on s'est bien gardé de me parler de cet héritage. La raison : la dégénérescence mentale de ces demeurés, d’une audace sans retenue ; ont commencé à être des escrocs criminels dans leur esprit malade, cela devait être un traumatisme neurologique morbide, qui devait les hanter, des pensées malsaines pour assouvir leurs pulsions criminelles, voler un trophée sans gloire.

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C'est une imposture contre tout entendement, cette racaille, pour me soumettre, a utilisé des méthodes d'une infâme bassesse ; la drogue.
Robert Brunet le fils de Clotilde, est allergique au travail, sa femme est employée dans une pharmacie, elle y subtilisait ses produits pour me conditionner.
Cette drogue pour une opération honteuse, criminelle, abjecte par son acte opératoire. Ces maudits ont abusé un semblant de conscience qui leur restait, pour des plaisirs illicites, immédiats, ce sont des homicides.

D'une hypocrisie doucereuse de lâcheté, se faire passer pour des anges dans leur entourage, ce sont des monstres psychopathes.
Pour réaliser cette forfaiture, ces vauriens ont tenu conseil, les Thénardier sont devenus les opérateurs de la plus importante escroquerie réalisée en France.

Pour échafauder un scénario digne du grand banditisme, on est un gibier de potence, où un malade mental, je pense que ces créatures étaient contaminées par ces deux virus. Je ne suis plus dans la France occupée, c'est la drogue qui m'habite. Je n’étais plus maître de mes pensées, ni de mes actes, je suis l'otage de ces créatures.

J’étais pris au piège de l’oiseleur pour des souffrances infernales. Quelle audace, les Thénardier n'ont aucune retenue, pour imaginer un stratagème si crapuleux, si coupable, si criminel, si dramatique.
Pour être honnête, il faut apprendre à distinguer le bien du mal, l'honnêteté consiste à faire l'un et à condamner l'autre. Ces créatures sont des bêtes dépourvues de raison.

Le risque était limité pour ces mécréants, mon père est mort le 28 janvier 1945, à Berlin, ma mère, le 19 janvier 1956, mon oncle connaissait ma famille allemande, pour cette raison, on l'avait isolé ; la drogue aurait perdu tout son effet, si mon oncle avait parlé de mon père ; je suis le principal témoin donné en pâture à Moloch à la conception antique qui opposait l’être et le devenir, étant sous le pouvoir de ces margoulins.

Ces mots, je les écris après la rupture de ces ardents antagonistes du bien.
Ces vauriens ont altéré la vérité qui a été jetée au bourbier, il faudra que le crime paye sa dette.

Je me souviens de tout, dans les moindres détails, je vais coucher mes observations sur ces pages.
Mon argumentation est rigoureuse et vigoureuse, en même temps procède abscons, pour les artifices tortueux qui déroutent l’esprit en quête de la vérité.

Les Thénardier, des loups sanguinaires aux dents longues ; déguisés en brebis.

La logique est statique, une argumentation logique satisfaite l’esprit. Pour cette raison, je serai le plus rigoureux et le plus clair possible dans les détails

Pour piéger un animal, il faut un appât qui l’attire et le séduit, en ce qui me concerne la chose est plus complexe, car elle n’est pas naturelle ; je suis devenu un objet pour les Thénardier qui me manipulaient selon leur bon plaisir.

Pour la maîtrise de leur projet infâme, ces créatures me proposent de prendre pension chez eux ; le piège se referme ; (J'étais déjà sous contrôle) je quitte mes amis de la pension de famille, son ambiance chaleureuse de la rue Denfert Rochereau, la nourriture était de qualité, la pension bien tenue par Madame Gaborie, c'est un, de mes regrets de jeunesse.

Ma nouvelle pension chez les Thénardier n’avait rien de chaleureux, de plus, la boustifaille était très ordinaire, genre Mc do, un restaurant sans étoiles, si une, la belle-de-nuit. Une victoire pour ces prédateurs, le pigeon est en cage, ces créatures maîtrisaient leur projet diabolique ; pour ces monstres, c'était d’une facilité enfantine, me manipuler avec leurs produits de merde, de plus, c'était sans risque, un crime en toute impunité.

Page 3
Pour spolier mes biens, ces créatures avaient tout prévu, me coller la courtisane, elle vivait avec sa mère ; à table la vieille sorcière démoniaque me provoquait d'intenses émotions, du genre, elle est belle ma fille, pour peu elle l'aurait mise à poil, une mise en valeur de la marchande d’amour, ce qui est sûre, c’est une belle salope.

Cette créature de onze ans mon aînée, Messaline de son état, très prisée des hommes en rut.
De ses plaisirs insatiables de débauche effrénée, elle avait un fils de ses libertinages, sans compter ses nombreuses suppressions d’anges, une dévoreuse d’hommes vigoureux.

Il faut être suicidaire pour épouser une telle pouffiasse.

J'avais 19 ans conditionnés par ces mécréants, et, cette créature qui s’offre avantageusement, pour assouvir ses pulsions sexuelles immodérées, me séduire sûrement, l’intention étant, de me coller cette traînée ; qui avait un avenir obscur d’une famille agrandie de bâtards, sans homme à la maison.

Tous les soirs elle venait se vautrer dans mon lit, pour mon éducation sexuelle, c'était une experte sans diplôme qui avait appris son métier, comme le maçon au pied du mur ; j'avais goûté au venin du serpent qui avait séduit Eve, ma condamnation 30 ans de calvaire avec la grue + la violence à ma vieillesse. Elle me faisait du chantage, je vais épouser Maurice Clochard, je serais mannequin à Paris, je pense qu'elle avait plus de chance sur le trottoir.
Elle disait ta mère était bien mère, à la différence mon père m'a reconnu.

Le drame se joue en coulisses, je suis le mouton que l’on mène à l‘abattoir. Sans famille, drogué par ces vautours ; ces créatures avaient obtenu l'agrément du conseil de tutelle ; pour que j'épouse la vieille sauterelle, une prostituée célèbre dans le département des Deux-Sèvres et de proximité, une femme dépourvue de moralité, de droiture, sans scrupules ; c'est le couronnement de leur complot machiavélique.

Je peux en vouloir à la confrérie des tutelles ; aux sages de Parthenay, des protecteurs de l'enfance privée de parents, c'est tout bonnement scandaleux, mon avenir a été détruit par cette injustice flagrante ; de plus, la mère Clotilde Thénardier n’est pas un exemple d’honnêteté, elle a été surprise à chaparder dans le magasin Novalia en début d'année 1961. Descendue à pied rue Saint-Médard, elle est remontée en voiture, avec les poulets au commissariat, son exploit est inscrit sur la main courante.

Je devais faire mon service militaire en septembre 61, il y avait urgence pour ce panier de crabes, de me coller la marchande d’amour, un militaire célibataire avait mille occasions de rencontrer une jeune fille de son âge, les Thénardier ne pouvaient pas prendre ce risque.

Les tutelles n'offrent aucune protection aux enfants sans famille ; cette institution judiciaire n’est que rituel et grenouillage, elle occupe des fonctionnaires plus ou moins honnêtes.

j’ai épousé la paillarde, le 4 avril 1961, je deviens père de famille, d’un fils né le 10 octobre 1952, je devais être un étalon précoce ; à cette époque, j’avais onze ans, je courrais dans la cour de l'école de Saint-Jouin-de-Marnes.

À cette noce étaient présents Brunet et sa femme, Saboureux et sa femme. Je voulais inviter la famille Guénéchaud, de braves gens, qui avaient pris soin de moi quand j'étais en apprentissage, mon oncle et sa femme. Les Thénardier ont décliné ces invitations, ces créatures ne pouvaient pas prendre le risque d'inviter mon oncle qui aurait parlé de mon héritage allemand, c'était la fête pour les Thénardier, pas pour moi, c'est le début de mon calvaire.

C'est sans risque la ribaude est casée; la kleptomane Clotilde cette maudite sorcière parlait à sa fille devant moi, comme si je n'existais pas ; tu ne vas pas lui laisser tout cela, elle parlait de la fortune de ma famille allemande, tu le donnes à ton frère, cela prouve bien que j'étais conditionné, elle testait l’efficacité de ses produits, j’étais resté impassible, sans réaction, à cette époque, j'ai même oublié cette anecdote.

Page 3 bis

Il ne faut pas confondre concubinage, un homme et une femme qui vivent ensemble ; et un homme qui profite des ardeurs excessives d'une gourgandine, qui se donnait au premier venu.

Des expériences de concubinages, elle en a fait plusieurs ; une aventure avec un Africain qui devait aimer la bonne chère, blanche exposée pour favoriser son entreprise , pour des nuits agitées, sans sommeil, dans une débauche de partie de jambes en l'air. Cet homme du nom de Kakou avait arrondi la dame, cela ne devait pas être au programme, de plus, Kakou ne devait pas avoir une passion excessive, pour cette femme de petite vertu qui était limitée intellectuellement, elle-même ne devait pas trop aimer cet homme, pour ne pas avoir gardé son enfant, ou bien elle est raciste pour avoir avorté.
C'est une concubine pleine de ressources, qui use de concupiscence, d'artifices grossiers, de partouze, de substances ou méthodes interdites, pour satisfaire ses désirs immoraux.

Cette hétaïre qui n'a pas la grace antique, c'est une dévergondée, qui participait a des parties fines chez madame Roy qui tenait un magasin d'appareils ménagé route de Saumur, on y participait des orgies avec des notables du Thouars genre DSK, dans les années 1957-1960, des spectacles étaient donnés en petit comités dans cette bonne ville, des ballets roses, je connais une personne qui se donnait en spectacle la fille de Jean R.

Quand, je pense à tout le mal que cette créature m'a fait subir, je ne peux pas être tendre avec cette furie meurtrière.
La justice a des égards pour cette trainée, nul ne possède d'autre droit que celui de toujours faire son devoir.

Cette femme est la doyenne des garces, protégée par le nombre important d'individus impliqués dans cette affaire, on a jeté une obscurité inévitable à la vérité. Les Thénardier m'ont drogué lorsqu'ils étaient sûrs que leur patient était pris dans la nasse.

Ce mariage, un attelage disparate, une vieille carne, qui trottait à côté de bucéphale, les tutelles ont vraiment mauvais goût, pour m'avoir choisi une ancienne pouliche de compétition.
Un mariage, c'est mettre deux beaux chevaux qui trottent ensemble, du même pas, la tête relevée.
À mon avis, les tutelles sont une escroquerie, ces gens par fantaisie débridée, inexcusable de réputation exécrable d'autorité, par d'incroyables sottises, détruisent des vies.

Ma colère est active contre mon pays d'adoption, c'est la galère, l'oppression, le racisme, l'injustice, escroquerie tout genre, des prises en otages, racket, c'est le goulag politico-judiciaire français.

C'est le côté parjure des tutelles, qui n'ont aucun respect pour les enfants sans famille, des vassaux, d'une république d'usurpateurs d'inégalité sociale ; le peuple est si utile pour la vie de l'état, et si méprisé par ses dirigeants, qui nous écrasent d'impôts illégaux. Il est urgent pour le peuple de rappeler à ses devoirs le gouvernement pour des réformes indispensables pour la survie de la France.

Mon malheur avait été prémédité, le jour où j'ai mis les pieds rue Lafontaine, j'ai perdu mon autonomie d'homme libre, chez des monstres sanguinaires. L'argent, c'est la racine de mes déboires, l'immense fortune de ma famille allemande a fait une multitude d'envieux, les Thénardier des instruments qui ont servi des hommes politiques, des voyous ont exploité mes biens à mon insu, ces bandits volaient les bénéfices d'actions qui étaient placés dans de grosses entreprises.

Localement, en l'année de grâce et de garce 1960, un politique du Thouars, ont aidé les Thénardier dans l'œuvre sulfureuse de cette racaille, me coller la Vénus d' infâme débauche, cet individu sans pudeur avait décidé d'exploiter la fortune de mon père ; à la lecture du conseil de tutelle, ça pue un arrangement local, le jour où j'ai mis les pieds chez les Brunet, c'était prévu que l'on me fourgue la pute qui étaient connues des notables, genre DSK qui fréquentait la maison de débauche route de Saumur .

J'étais pris au piège.

Page n° 4

Ces créatures ne perdent pas de temps, la bique me demande de mettre ma signature sur la partie basse d'une feuille blanche (il y a problème) j'ai signé, ce qui est contraire à mes principes ; cela prouve que ces crapules me droguaient, je demande l'utilité de ma signature ; elle me dit, c’est pour mon frère Robert ; le handicaper du travail, un paresseux comme lui, cela veut dire quelque chose, qui pue l'a
jacques goguy
Fri, 25 Dec 2015 04:32 EST
Pour la justice
le japon ne doit pas être un refuge pour un voyou Eric Goguy
Il n'y a pas de prescription article 591 du Code de procédure pénale : Les arrêts de la chambre de l'instruction ainsi que les arrêts et jugements rendus en dernier ressort par les juridictions de jugement, lorsqu'ils sont revêtus des formes prescrites par la loi, ne peuvent être cassés que pour violation de la loi.

Jacques Goguy Mûller
2, rue du Fief de la Croix
79330 Saint Varent
Tel 0549676803
Saint Varent le 23 décembre 2015

Madame le Procureure de la République
Du Tribunal de Grande Instance de Niort
2, rue du Palais BP 8819.
79028 Niort Cedex.


Objet : j'accuse Jacky Prinçay et ses complices de crime commis en bande organisée.
Lettre en recommandé avec avis de réception


Madame le Procureure de la République,

Le 21 décembre 2015, j'ai déposé un dossier au TI de Bressuire, à transmettre à la Cour d'assises de Niort, j'apporte la preuve que l'état civil de ma mère a été falsifié. Cet acte criminel a été commis par Jacky Prinçay, cet individu complice de Suire, ancien contrôleur général de la police est impliqué dans une affaire criminelle.

Cette opération scandaleuse et inacceptable a été effectuée après le 10 août 2001, une mention portée en marge de l'acte de reconnaissance de ma mère a été détruite, elle indiquait le registre qui contient ma reconnaissance établie par mon père en mairie d'Airvault.

Détruire, altérer un document public, falsifier l'état civil, soit dans le dessin de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunité à son auteur, c'est de l'abus de confiance publique et à l'ordre social ; la destruction d'information dans un acte authentique, c'est un crime.

La falsification, le fait d'avoir sciemment détruit une information capitale dans un acte authentique, c'est une entrave à la justice, un obstacle à la manifestation de la vérité article 2 et 3 et 434-4 du Code de procédure pénale.
Faux en écriture publique article 441-4 du Code pénal.
Il s'agit des écritures gouvernementales, des écritures judiciaires (jugements), des sentences arbitrales, des assignations ou des actes d'appel ou de pourvoi en cassation, etc.
Le faux commis en écriture publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende. L'usage du faux est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 250 000€ d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.
J'ai été condamné par le juge Olivier Abram sur des faux en écriture publics produit par Suire, qui se dit en service, cet escroc est à la retraite, ainsi que son complice Guillot, ce sont des criminels pervers, sadiques qui se donnent également le titre de Maîtres.

La réalisation de cette forfaiture, de ce crime d'État, a été possible avec le concours de ce résidu de débauche, Eric Goguy qui n'est pas mon fils, cette crapule ne fait pas partie de mon monde, je ne suis pas de la famille des Thénardier, en plus ignobles.

Les faits exposés sont des actions terroristes, ces créatures ont du sang sur les mains, ne rien faire, cela prouve que la justice est complice de criminels.

Veuillez agréer, Madame le Procureure de la République, l'expression de mes respectueux sentiments.

Vous pouvez diffuser cette lettre, je prends la responsabilité de mes écrits. Je vais m'occuper personnellement du bâtard qui est au Japon: voir bijouterie renault de sablé, juge oliver abram, suire le bandit, jacques goguy etc
jacques.goguy@orange.fr
Fri, 18 Apr 2014 11:41 EDT
Le responsable de mes malheurs est au japon
Association Nationale des Victimes des Erreurs et Dysfonctionnements Judiciaires.
Jacques Goguy délégué ANVEDJ 79.
Juriste bénévole contre les administrations criminelles d’État.
2, rue de Fief de la Croix
79330 St-Varent.
Tél. 05 49 67 68 03.
St-Varent, le 7 avril 2014
Monsieur Pierre Lambert Préfet des Deux-Sèvres
4, rue Du Guesclin BP 70000
79099 Niort Cedex 9

Objet : Je suis victime d’individus qui m’ont spolié en utilisant des drogues.
Un détournement d’héritage qui a détruit l’industrie du pays.
Pièces jointes : Réponse de la préfecture de Paris.
Courrier adressé au procureur général de Poitiers.
Courrier adressé à la juge Cormery de Bressuire.
Sont impliqué dans ce dossier : Suire, ancien contrôleur général de la police, Guillot ancien commandant de police.
Lettre en recommandé avec avis de réception.


Monsieur le Préfet,

Cela fait des années que je réclame justice, dans un pays ou l’honnête fait défaut, la justice s’est égarée de sa voie naturelle, elle est à la solde des voyous ; victime, drogué par des gangsters, je suis la proie de mes bourreaux ; fait signalé dans mes diverses plaintes.

L’offensé se présente en position défavorable devant le juge étant drogué, il est dans l’incapacité de s’exprimer convenablement, la drogue à des effets pervers sur les neurones, la victime est vulnérable, devient un jouet pour les magistrats, qui profitent de son état de faiblesse.

Ce qui est scandaleux, indécent dans cette affaire est le fait que, ce sont d’anciens policiers qui ont organisé cette escroquerie ; les effets de ce détournement de fonds placés dans des usines françaises, un désastre pour l’emploi, des dizaines d’usines ont fermé.

Suire, ancien contrôleur général de la police, maître d’œuvre de ce drame, ce bandit est franc-maçon, par sa position, il influence les juges pour faire dévier les jugements à son avantage « cette sale affaire ne doit pas transpirer, ce serait une atteinte à l’orgueil insolent de cette créature » Suire a le pouvoir de cacher son crime, j’ai été condamné dix fois pour avoir dénoncé cette abominable affaire

La démesure, la lâcheté, la sottise de ces individus, qui me volent mon héritage, et me font condamner illégalement à leur avantage, avec l’espoir que j’abandonnerai cette lamentable histoire ; c’est une erreur profonde, plus on m’opprime, plus cela me motive, j’ai une sainte horreur de cette espèce de délinquants qui ont indignement profané l’uniforme de la police.

Je fais suite à la réponse du courrier de la préfecture de police de Paris, qui m’invite à vous confier cette affaire.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de ma respectueuse considération.

Jacques Goguy.

Aucune réponse de la préfecture ? Nous sommes jugés dans des synagogues sataniques, influencées par la franc-maçonnerie dominante dans ce pays. La France n’est plus le pays des droits de l’homme, mais de la voyoucratie, le peuple rampant avec la soumission classique, c’est la remise en question des institutions, ne plus voter pour nos tortionnaires, c’est un devoir dans ce monde corrompu.
Je prends la responsabilité de mes écrits : voir sur Internet : juge cormery de bressuire—guillot flic—suire ancien contrôleur général de la police—sur Facebook jacques goguy—eric goguy etc

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