Chine flag l'Ambassade du Chine en Bangui

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Bangui
République centrafricaine
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Commentaires au sujet de cette l'Ambassade

SITAMON
Mon, 25 Feb 2013 11:22 EST
DEMANDE DE BOURSE
Je suis titulaire d'un bac D et j'ai 18ans. Je souhaite avoir une bourse d'étude pour pourvoir continuer en premier année d'informatique ou télécommunication ;Veuillez agréer, Excellence, Monsieur l'Ambassadeur, l'expression de mon profond respect.

e mail: sitamonjoas_2010@yahoo.fr
tel:(+236) 75 04 13 76
je suis MONGABA BEN MABESSIMO STEPHANE
Sat, 9 Feb 2013 09:51 EST
MAITRE EN HISTOIRE
bonjour je suis titulaire d une maitise en histoire option rélations internationales je suis a la recherche d une bourse pour le mastere deux pour travaillé sur les crises centrafricaine aidé moi a avoir cette bourse pour allé étudier au canada aussi je souhaiterais avoir des stage de formotion en chine sur la prévention et la gestion des conflits dans le monde afin d avoir l expérience me contacté sur smabessimo@yahoo;fr ou au 236 75 54 90 42 77 44 20 86
NDOMODAKPA Justinien
Tue, 8 Jan 2013 04:00 EST
奖学金申请研究或中国
大使阁下
我荣幸地请你请给我一年的奖学金,2013-2014
我24岁,高级技术员证书与荣誉的电脑维修和网络计算。
我求求你给我一个奖学金的第三轮年度许可和电信系统和网络的奖学金,学习中国的语言,我真的很业余的发展我国RCA中国。
在预期的反应良好,请批准主席先生,我的问候和衷心的感谢。
这里是我的电子邮件:ndomodakpainfo@yahoo.fr
班吉(中非共和国)
silcgrc
Thu, 20 Dec 2012 07:40 EST
Déclaration
SOLIDARITE INTERNATIONALE DES LEADERS CHRETIENS
POUR LA GESTION ET RESOLUTION DES CONFLITS


E- mail : silcgrc2010@yahoo.fr


DECLARATION EXPRESSE DE LA SOLIDARITE INTERNATIONALE DES LEADERS
CHRETIENS POUR LA GESTION ET LA RESOLUTION DES CONFLITS
SUR LES CONFLITS EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE

La République Centrafricaine de cette fin de siècle présente au monde l'image d'une terre en perdition où la guerre, la famine, la maladie, la souffrance et la mort constituent le "pain quotidien" d'une large majorité des habitants.
Depuis 1960, la RCA est le pays du monde la plus affectée par les luttes armées ou les crises politiques porteuses de germes de guerre. On pourrait, sans grand risque de verser dans l'exagération, affirmer que le pays, dans sa totalité, est un immense conflit dont les différents points chauds ne diffèrent que le degré d'intensité des affrontements qui s'y déroulent. Très peu de ses régions qui peuvent s'estimer présentement être durablement à l'abri d'une confrontation armée. Chacun d'eux héberge au moins une guerre ouverte, une guerre rampante ou une guerre latente.
Fort de l’appel de la SILC/GRC, qui s’est engagé à faire passer l’Organisation d’une culture de réaction à une culture de prévention. Maintes et maintes fois, on laisse les divergences dégénérer en différends et les différends dégénérer en conflits meurtriers qui engendrent la pauvreté. Des souffrances parmi les populations et des dommages pour l’environnement partout où ils se produisent. Si l’on avait tenu compte des signes qui les annonçaient et prévenu les conflits qui ont éclaté depuis le début des années 90, des millions de vies auraient pu être sauvées et un nombre incalculable de milliards de dollars économisés.
Aucune culture de prévention ne saurait se passer de médias efficaces et démocratiques qui sont du reste aussi tout à fait indispensables aux sociétés en marche vers la paix et la démocratie. Dans tout conflit, quel qu’en soit le stade, l’absence d’informations peut plonger les gens dans l’angoisse et le désespoir, et les rendre faciles à manipuler.
La RCA ne pourra vivre durablement en paix et en sécurité quand à ses frontières, la guerre fait rage, les réfugiés abondent et les rebelles installent leur base. Depuis le Sommet du Caire (1993), I'UA peut désormais intervenir dans la recherche des solutions aux conflits. Elle I’a fait à plusieurs reprises mais non sans peine. La prévention des crises est un état d’esprit à développer dans les communautés à la base et dans les politiques nationales. La Prévention des crises et la consolidation de la paix est la première ligne de services spécialisés que la SILC/GRC propose à la République Centrafricaine sortant de conflits ou de crises. Les interventions de SILC/GRC dans ce domaine sont de nature à permettre à la RCA de bâtir des stratégies de développement qui visent les causes profondes des conflits ou des crises.
De manière générale, ces interventions consistent à :
-fournir une assistance technique pour l’évaluation des conséquences des conflits ;
-Créer des possibilités de restauration de la paix, de mise en œuvre d’outils d’alerte précoce.
- appuyer l’intégration de la prévention des conflits dans les stratégies et programmes de développement ;
-Renforcer les capacités des société civil et celles des principaux belligérants en matière de prévention, d’analyse des conflits et de leur prise en compte dans la programmation (à travers des formations, la formulation d’outils concrets) ;
- appuyer techniquement et financièrement la mise en œuvre d’initiatives spécifiques de construction de la paix, la médiation à l’endroit des belligérants.
En Centrafrique, l’intervention de SILC/GRC dans la prévention des conflits et la consolidation de la paix, vise le renforcement des capacités nationales de prévention des crises de tout ordre. Dans cette perspective, elle met un accent particulier sur :
- Le cadre institutionnel et règlementaire ;
- La prise en compte systématique ou de la « prévention des crises » dans les stratégies opérationnelles et programmes sectoriels nationaux ainsi que la mise en œuvre effective ;
-La formation adéquate de personnes ressources.
Les conflits qui ont ravagé et continuent à ravager la Centrafrique depuis les années des indépendances sont, de l’avis de plusieurs analystes, un des freins au décollage économique et à la croissance du pays. Aujourd’hui encore la construction de la paix en RCA demeure un défi majeur auquel aucun leader politique ne pourrait se dérober. Ceci au regard de la carte des zones où les conflits violents sont encore en cours.
La carte des conflits décrit la situation actuelle des principales guerres et tensions dans les préfectures de la RCA, présente les zones de conflit intra-étatique, l’intervention d’armées étrangères, le soulèvement et terrorisme séparatiste(LRA) et les tentatives de règlement de compte contre la population civile. Cependant, comme nous le pensons, une description et une énumération sont insuffisantes : il faut dépasser une simple étude des rivalités territoriales, une conflictologie et théoriser le concept de guerre et analyser les rapports de forces.
Cette carte témoigne d’une vision spécifique de la RCA : un système conflictuel peuplé de foyers guerriers, de zones de tension, et de soulèvement terroriste. Les conflits, répartis de manière diffuse, sont pour la plupart intra-étatiques, témoignant de soubresauts identitaires. Aussi, elle montre de manière probante que la majorité des conflits tend à s’émanciper du cadre étatique et à se développer plus souvent à l’échelle régionale, ethnique ou identitaire. Ces conflits nous interpellent. Leur solution est un défi non seulement pour les politiques de notre pays mais aussi pour nos sociétés civiles. La paix est une priorité pour la RCA. Aider à la construire est un devoir moral de l’humanité. Les sociétés civiles et l’État peuvent s’appuyer sur un arsenal juridique international protégeant les populations civiles et permettant de traduire en justice les responsables des crimes commis lors des conflits (Charte des Nations Unies, Cour Pénale Internationale, Convention de Genève, Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, etc.).
Parmi les pays les moins développés du monde, la Centrafrique est non seulement la plus pauvre de toutes les régions du monde, mais aussi la seule qui continue de s’appauvrir ; pire, elle se trouve littéralement contournée par la construction triangulaire en cours (Europe- Amérique- Asie) qui dessine l’avenir économique et politique du monde. Appauvrie et marginalisée, la RCA est aussi la région du monde la plus touchée par la guerre : plus de quarante conflits s’y sont déroulés depuis cinquante et trois ans. Ces affrontements sont dans leur grande majorité des conflits internes opposant non seulement des armées régulières, mais également des milices et des groupes armés, et dont les populations civiles sont les principales victimes.
Aux conflits des années 1980, caractérisés par leur potentiel d’irradiation régionale. Le poids des rivalités ethniques, la fréquence des révoltes populaires, les mouvements de populations à l’intérieur et à l’extérieur des frontières ; ceux des années 1990 et 2012 ajoutent l’absence de but politique des belligérants, plus soucieux d’exploiter à leur profit les ressources du pays. La privatisation des acteurs directs ou indirects de la guerre, l’expansion de la criminalité organisée, profitant de la perméabilité des frontières et par-dessus tout de l’ampleur des violences à but génocidaire.
L’une des causes profondes de ces conflits réside dans l’entrée en crise du modèle d’État-Nation en Afrique. En effet, la RCA résulte de l’implosion du régime colonial. Sur aucun autre continent, les frontières des États ne reflètent aussi directement et aussi intrinsèquement la définition des sphères de contrôle des différentes puissances impériales.
En Centrafrique, la zone d’action de L’UFDR et CPJP, au regard de l’évolution de l’histoire récente, la région peut être considérée à juste titre comme un foyer de tensions sociopolitiques multiformes et récurrentes, tant il est vrai que l’on y a assisté au développement de nombreux conflits armés aux conséquences dramatiques, depuis l’accession à la souveraineté nationale du pays par le Général d’Armée François BOZEZE le 15 mars 2003. En effet, parmi seize préfectures de la RCA, à peine trois connaissent une relative stabilité politique et sociale (LOBAYE, SANGHA-MBAERE et MAMBERE-KADEÏ). Dans leur grande majorité, les autres préfectures de la région restent confrontées de manière quasi permanente à divers types de conflits, qui fragilisent l’équilibre sécuritaire régional et inhibent en conséquence le processus de développement économique et social de ces pays.
Dans cette partie de la préfecture sous l’emprise de régimes politiques autocratiques caractérisés par la répression politique systématique des opposants et la violation flagrante des principes élémentaires de bonne gouvernance, le processus de développement économique est comme grippé. Ainsi selon l’organisation internationale Alerte, les indices clés des conflits dans la région sont principalement le manque de confiance et la cristallisation de perceptions négatives réciproques entre les principaux acteurs politiques. L’exclusion sociale, les problèmes identitaires, l’absence de transparence dans la gestion des affaires publiques, ainsi que l’action à la fois sournoise et pernicieuse de certaines firmes internationales qui jouent derrière les rideaux, constituent des facteurs aggravants des conflits sociaux dans ses régions. Le roi Salomon nous dit que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu. « Cependant, quoique le pécheur fasse cent fois le mal et qu’il y persévère longtemps, je sais aussi que le bonheur est pour ceux qui craignent Dieu, parce qu’ils ont de la crainte devant lui. Mais le bonheur n’est pas pour le méchant, et il ne prolongera point ses jours, pas plus que l’ombre, parce qu’il n’a pas de la crainte devant Dieu » (Ecclésiaste 8 :12-13). De nombreux passages bibliques montrent que Dieu prend soin de ceux qui sont faits à Son image, et qu’Il punira ceux qui oppriment, exploitent ou ignorent les besoins du pauvre. David écrivit : « L’Eternel est élevé au-dessus de toutes les nations […] De la poussière il retire le pauvre, du fumier il relève l’indigent […] Il jugera ton peuple avec justice, et tes malheureux avec équité […] Il fera droit au malheureux du peuple, il sauvera les enfants du pauvre, et il écrasera l’oppresseur » (Psaume 113 :4-7 ; 72 :1-4). Salomon répéta également cet avertissement : « Ne dépouille pas le pauvre, parce qu’il est pauvre, et n’opprime pas le malheureux à la porte ; car l’Eternel défendra leur cause, et il ôtera la vie à ceux qui les auront dépouillés » (Proverbes 22 :22-23).
Ces facteurs concourent par ailleurs à faire de la Centrafrique un espace de paradoxe où la richesse du sous-sol coexiste dans toute sa splendeur avec la pauvreté absolue d’une population qui ne couvre pas ses besoins fondamentaux. En effet, le leadership et la corruption endémique érigés en système de gouvernance mettent les populations à l’écart des profits liés à l’exploitation des immenses richesses naturelles de la sous-région. Dès lors, à tort ou à raison, les ressources notamment l’uranium, le pétrole ainsi que le ciment en cours de production naturelles sont considérées aujourd’hui comme le véritable nerf des conflits dans la région Nord, Nord-Ouest, Sud-est et Centre- Est.
La plupart des préfectures de la région ont vécu des moments de crises sociales et politiques qui restent encore mal maîtrisées. Cela est particulièrement vrai pour la Vakaga, la Bamingui-Bangoran, la Hotte-kotto, l’Ouham, l’Ouham-Pendé, le Haut-Mbomou et la Nana- Grébizi. Bien que l’on assiste au niveau institutionnel à l’émergence de structures de collaboration dans la région, les rapports entre les pays restent distants et suspicieux. Ainsi, contrairement aux avancées notables dans la zone CEMAC, la libre circulation des personnes et des biens reste encore un vœu pieux pour les populations de la Centrafrique.
Ainsi, il existe aujourd’hui deux systèmes, qui n’obéissent pas à la même logique des conflits. L’un, en effet, apparaît beaucoup plus développé et se trouve face à des situations inédites, des problèmes d’un nouvel ordre, des conflits moins classiques, qui ne seront pas appréhendés de la même manière, et qui demandent la plupart du temps à être réglés par la négociation. D’un autre côté semble persister un système dans lequel les antagonismes ont pour enjeu certes l’étendue du territoire mais surtout la cohérence ethnique. Ainsi, la SILC/GRC déclare que « dans les sociétés où l’appartenance ethnique est un élément important de l’identité, la rivalité épouse souvent les clivages ethniques. », pour se repérer dans les contextes instables, nous devons avoir recours à un « constructivisme réaliste », en prenant en compte le résultat d’interactions existant à un moment donné et celui d’interactions d’acteurs qui évoluent. La SILC/GRC confirme que la RCA n’est pas une société unifiée, et qu’il comprend plusieurs spatialités autonomes bien que souvent reliées, et l’on peut ainsi faire rentrer les deux logiques des conflits précédemment identifiées dans deux spatialités différentes. Or c’est dans le cadre de cette logique universaliste que semblent agir différentes instances, différentes structures de sécurité, dans le but de régler les conflits mais, malgré le développement de la nouvelle technologie d’information et de communication les communautés internationales ont échoués à leurs missions.
Il existe trois systèmes de sécurité : un système de puissance, grâce à la dissuasion militaire, un système de droit avec l’ONU, et un système de valeurs qui défend la démocratie et les droits de l’homme. Cependant, ces systèmes sont face à des paradoxes : comment concilier par exemple le principe de la souveraineté nationale et celui du droit d’ingérence ? Par ailleurs, l’intervention internationale, en particulier l’accompagnement de force militaire, soulève des questions de la bonne gouvernance, de légitimité, et met en lumière les contradictions propres à son mandat ainsi que la persistance de rapports de force au sein des organisations internationales.
En outre, du fait du silence inhérente de l’ONU et de l’UNION EUROPEINNE, les institutions d’États ou internationales paraissent parfois inefficaces. La résolution des conflits est donc souvent l’objet central d’activités de certaines organisations privées, internationales qui ne s’intéressent qu’aux problèmes politiques et à leur résolution. Le règlement des conflits apparaît souvent comme une « chasse gardée ». Les pays membres de la CEMAC entendent aussi donner à cette organisation un rôle, au moyen de la dissuasion militaire, dans la prévention et règlement des conflits. Mais ce rôle de la CEMAC est contesté par de nombreux pays et de nombreux acteurs.
Au niveau régional, il y a des organisations comme l’UA, la CEEAC, CEPGL qui joue un rôle non négligeable dans la recherche des solutions aux conflits qui opposent la RCA. Mais comme ces Organisations sont subordonnées aux grandes puissances, elles font recoure toujours à elles.
En effet, au niveau de l’Afrique Centrale, la CEEAC essaie de se rétablir tant bien que mal et d’assurer sa mission d’intégration régionale. Aujourd’hui, il existe une reconnaissance globale de l’influence et du potentiel croissant de la contribution des Organisations de la Société Civile (OSC) à la paix et à la sécurité. Dans son rapport de 2011 sur la prévention du Conflit Armé la SILC/GRC a lancé un appel pour l’interaction étroite entre les bailleurs et les organisations de la société civile.
La Résolution 1625 du Conseil de Sécurité de l
FEITON
Tue, 11 Dec 2012 06:47 EST
Demande de Bourse d'étude
Excellence, Monsieur l'ambassadeur
J'ai l'honneur de venir auprès de votre haute bienveillance solliciter une demande de bourse afin de pouvoir poursuivre mes études supérieure. En effet de nationalité Centrafricaine suis titulaire d'un Bac C et aimerais poursuivre des études dans le domaine de la télécommunication ou la maintenance informatique. Cette bourse pourra me permettre de pouvoir continuer mes études.
Dans l'attente d'une suite favorable, veuillez agréer, Mr L’ambassadeur l’expression de mes sincères salutations et remerciements.

Mr FEITON-HAÏNAT Clovis
BP 2047. Tel : 70501240 Bangui (RCA)
E-mail: feiton-clovis@live.fr
ZONIWA Jean-Pierre
Mon, 10 Dec 2012 20:43 EST
Ingénieur Agronome,Dierecteur de l'Animation,de la Commercialisation et du Crédit à L'ACDA-Bangui.
DEMANDE DE BOURSE D'ETUDE POUR UN STAGE A COTONOU AU BENIN.
Excellence Monsieur l'Ambassadeur,
j'ai l'honneur de venir très respectueusement auprès de votre haute personnalité sollicité une bourse d'étude pour un stage de six mois en alternances au Bénin sur l’économie coopérative.
En effet, je suis un Ingénieur Agronome et titulaire de licence en économie. Au niveau de notre pays la République Centrafricaine, j’ ai une importante responsabilité. Celle d’accompagner nos producteurs agricoles à s’organiser en coopératives et en systèmes pré coopératives. Le fait que notre pays vie à 80% des activités agricoles, L’OMD a été défini au niveau de notre pays pour la lutte contre la pauvreté à travers le DSERP-1 puis le DSEP- 2,et l’agriculture a été mise en relief comme étant le secteur primordial de la croissance rapide. Ainsi, le besoin d’intégrer intensivement l’environnement économique aux activités de nos populations agricoles s’est cruellement exprimé. Pour ma part ,Je reste persuadé que cette bourse ,une fois m’accordée, me permettra de renforcer mes capacités professionnelles pour relever ces défis auxquels concours mon pays la République Centrafricaine.
Dans l'attente d'une suite favorable et vous en souhaitant très bonne réception.
Veuillez agréer, Excellence, Monsieur l'Ambassadeur, l'expression de mon profond respect.
Haute considération,

ZONIWA Jean-Pierre, DACC à la DG de l’ACDA
Tél :00(236)77057200//72507200//75570445//70027200
Email : zoniwajeanpierreael@yahoo.fr
Juliana Enderson
Tue, 4 Dec 2012 08:42 EST
COORESPONDANCE
Salut
On m'appelle Juliana Enderson , je suis canadienne âgée de 29 ans, je suis Comptable dans une organisation dénommer CIC Merci de m'écrire à mon courriel : juliana_enderson@yahoo.ca
Je t'embrasse !!
NDOMODAKPA Justinien
Sun, 2 Dec 2012 05:58 EST
DEMANDE DE BOURSE D'ETUDE DE LA LANGUE CHINOIS
Excellence Monsieur l'Ambassadeur,
j'ai l'honneur de venir très respectueusement auprès de votre haute personnalité vous sollicité une bourse d'étude de la langue chinoise d'aller étudier cette langue en chine pour une meilleur maîtrise.
je suis titulaire de Brevet de Technicien Supérieur en Maintenance Réseau Informatique je voudrais continuer mes études ma licence en Administrateur réseau télécommunication en chine d'où nécessite il me faut tous d'abord étudier la langue chinois j'aimerai savoir dans mois la bourse sera disponible et si vous pouvez me donner plus information concernant l'étude de cette langue a mon adresse; E-mail: ndomodakpainfo@yahoo.fr
Très cordialement Justinien
DEKA MOHAMED ELMI
Wed, 28 Nov 2012 03:45 EST
DEMANDE DE BOURSE D'ETUDES POUR MASTER 1
je souhaite avoir une bourse d'etudes pour pouvoir continuer mon master 1 en technologies.J'aimerais que vous m'accorder cette demande de bourse en toute sincerité .mon email deka_hinda@hotmail.fr
tél:00253 77 85 72 08
merci
SAKPA Jean-paul
Sun, 14 Oct 2012 12:19 EDT
Demande de Bourse
Monsieur l'ambassadeur,
L'honneur me revient de venir par la présente auprès de votre très haute bienveillance solliciter une bourse d'étude, pour l'année académique 2013-2014.
En effet,selon les conventions de coopération entre nos deux gouvernements; étant detenteur d'une licence en banque-finances.J'aimerais par le biais de bourse sollicitée allé approfondir et enrichir mes savoir-faires en prémière année de mastère en finances sur votre sol.Je vous recontacterai dans les jours qui suivent pour réponse, et pour toute information contactez-moi à l'adresse ci-dessous.
Comptant sur votre mansuétude, veuillez agréer, Monsieur l'ambassadeur, l'expression de mes sentiments distingués.

E.mail: sakpa.jeanpaul@yahoo.fr
jpsakpa@gmail.com
Tel: +236 75 03 63 91/ 75 03 63 92

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